Ça me perturbe...
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@Lord Griffith Et je trouve que plus on avance, plus j'ai l'impression que les gens parlent de façon agressive.
@Lord Griffith Me demande aussi, si c'est pas lié à la culture hip hop/rap/rnb. Sérieux, quand t'entend certaines personnes parler, on dirait qu'iels sortent tout droit d'un clip. Et s'ajoute aussi, cette agressivité des réseaux sociaux qui se reflète dans la vie réelle.
Ce qui donne maintenant l'impression que les gens vont te massacrer chaque fois qu'ils ouvrent la bouche.
Quand j'entend par exemple ma petite cousine de 10 ans parler, on dirait qu'elle te prend pour quelqu'un de complètement stupide ou qu'on la fait chier. Alors que ce ne sont pas ses intentions.
Ce qui donne maintenant l'impression que les gens vont te massacrer chaque fois qu'ils ouvrent la bouche.
Quand j'entend par exemple ma petite cousine de 10 ans parler, on dirait qu'elle te prend pour quelqu'un de complètement stupide ou qu'on la fait chier. Alors que ce ne sont pas ses intentions.
Dernière édition :
@Lord Griffith : Effectivement je me souviens que quand j'étais enfant, les femmes prenaient des intonations un peu plus "chantantes" que les hommes dans mon entourage direct, des voix plus douces mais un peu forcées (à part ma mère, qui a toujours eu une voix posée et claire). Pour moi, j'avais l'impression que c'était une façon de se donner un style, de jouer sur sa féminité, voire d'être dans la séduction (c'est ainsi que je le ressentais, enfant). Ca me perturbait beaucoup car dans ma famille, au contraire, les femmes ont plus tendance à avoir une voix claire, distincte et bien posée, autoritaire par moments (sauf moi 
je n'ai pas cette chance). Mais comme c'est du domaine du ressenti (et des souvenirs), j'ai du mal à clairement me positionner là dessus... Je suis curieuse de lire des études à ce sujet, d'ailleurs, s'il y en a !
Ca me fait bizarre de penser à ça car je n'avais jamais mis de mots là dessus, mais effectivement ça m'a toujours perturbée. Il y a 15 ans de ça, je me faisais encore la remarque, que les femmes de 50-60 ans avaient souvent "cette voix là". Bien sûr ça ne s'appliquait pas à tout le monde, mais c'était suffisamment marquant pour que je le note. Et aujourd'hui, j'ai l'impression que c'est beaucoup plus lisse.
Personnellement je préfère les intonations plus hachées et brouillonnes, et l'accent typique de ma région natale, car je m'y reconnais plus. Je n'ai pas l'habitude d'entendre des voix très traînantes, douces.
Et par dessus tout j'aime les personnes qui ont un cheveux sur la langue, je trouve ça terriblement séduisant !
je n'ai pas cette chance). Mais comme c'est du domaine du ressenti (et des souvenirs), j'ai du mal à clairement me positionner là dessus... Je suis curieuse de lire des études à ce sujet, d'ailleurs, s'il y en a ! Ca me fait bizarre de penser à ça car je n'avais jamais mis de mots là dessus, mais effectivement ça m'a toujours perturbée. Il y a 15 ans de ça, je me faisais encore la remarque, que les femmes de 50-60 ans avaient souvent "cette voix là". Bien sûr ça ne s'appliquait pas à tout le monde, mais c'était suffisamment marquant pour que je le note. Et aujourd'hui, j'ai l'impression que c'est beaucoup plus lisse.
Personnellement je préfère les intonations plus hachées et brouillonnes, et l'accent typique de ma région natale, car je m'y reconnais plus. Je n'ai pas l'habitude d'entendre des voix très traînantes, douces.
Et par dessus tout j'aime les personnes qui ont un cheveux sur la langue, je trouve ça terriblement séduisant !
@Lord Griffith Pour ça faudrait voir à l'échelle de tout les pays, mais c'est vrai qu'en France on tend beaucoup vers l'individualisme et on veut tellement se débarrasser de politesses inutiles que certains dépassent les bornes. Les réseaux sociaux aussi (quand tu réalise que tu ne peux plus rien poster, même un message innocent sans que quelqu'un vienne te cracher sa haine à la tronche) et comme dit plus haut, cette culture du "parler comme dans les clips de rap" en croyant que c'est stylé alors que c'est juste agressif.
@Lord Griffith Beh ouais parce que tu comprend, c'est tellement stylé de balancer des insultes comme ça. 
@Lord Griffith J'ai jamais compris cette mode et je ne la comprend toujours pas. Et j'y crois pas à cette réappropriation de l'insulte dont parle souvent le féminisme et sur MadmoiZelle. Pour moi ça reste des insultes, c'est méchant, dégradant et y a rien de positif.
Puis y a pas que les t-shirts, y a aussi cette fausse bienveillance entre amies où les filles s'appellent "affectueusement" pétasse, connasse, sale pute, salope et etc...
Quoi que, même pas que chez la gente féminine, on en trouve pas mal chez les mecs qui se balancent "affectueusement" des insultes misogyne et homophobes.
Puis c'est assez contradictoire avec le fait de s'efforcer à chercher des insultes qui ne soient pas homophobes, sexistes, racistes, dégradantes et etc... tout en affichant fièrement ces dites insultes.
Puis y a pas que les t-shirts, y a aussi cette fausse bienveillance entre amies où les filles s'appellent "affectueusement" pétasse, connasse, sale pute, salope et etc...
Quoi que, même pas que chez la gente féminine, on en trouve pas mal chez les mecs qui se balancent "affectueusement" des insultes misogyne et homophobes.
Puis c'est assez contradictoire avec le fait de s'efforcer à chercher des insultes qui ne soient pas homophobes, sexistes, racistes, dégradantes et etc... tout en affichant fièrement ces dites insultes.
@Lord Griffith Je pense que chacun voit midi à sa porte et chaque culture a sa définition de la politesse. Je trouve les Américains très impolis (selon mes standards) et fort à parier qu'ils sont les premiers à trouver les français "rude" (alors que bon ils disent pas bonjour à la caisse du supermarché 
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Trémazane
C'est l'automne !!!
J'ai toujours bien vécu mes règles. C'était un temps sans douleur, qui s'inscrivait dans un cycle que je ne ressentais pas (pas de SPM!!!). ça a été comme ça, grosso modo pendant 10 ans. Mais ça a beaucoup changé. Et ça me perturbe de ouf!
Depuis quelques mois (peut-être bien un an et demi maintenant que j'y pense...) j'ai mal pendant mes règles. Surtout le premier jour mais même parfois plusieurs jours. Seule une bouillotte me fait du bien (mais là forcément je suis à l'hôtel et je n'ai rien qui puisse faire bouillotte à portée de main...
).
Et surtout, ça fait quelques cycles (mais c'est surtout sur celui-ci et le précédent que ça a été flagrant) que j'identifie la semaine précédent les règles. Avant, un SPM chez moi, c'était vite fait quelques tiraillements dans les seins. Maintenant, ce foutu SPM c'est un mal être profond pendant une bonne semaine. Putain, c'est épuisant! C'est une période où tout me fatigue, où plus rien ne me dit, où je pourrais quitter mon compagnon (alors qu'en vrai je l'aime follement) ou mon job (que j'aime nettement moins follement, mais pas au point de vouloir sincèrement le quitter, du moins pas aussi précipitement). Je suis d'une nature résolument optimiste : avec le SPM je vois TOUT en noir. En clair, c'est une période où je ne me reconnais pas. Et c'est hautement perturbant.
Et ce qui me perturbe d'autant plus, c'est qu'il n'y a pas de changement majeur dans ma vie matérielle (comprendre "dans mon alimentation", "pas de prise d'une contraception", etc).
Depuis quelques mois (peut-être bien un an et demi maintenant que j'y pense...) j'ai mal pendant mes règles. Surtout le premier jour mais même parfois plusieurs jours. Seule une bouillotte me fait du bien (mais là forcément je suis à l'hôtel et je n'ai rien qui puisse faire bouillotte à portée de main...
).Et surtout, ça fait quelques cycles (mais c'est surtout sur celui-ci et le précédent que ça a été flagrant) que j'identifie la semaine précédent les règles. Avant, un SPM chez moi, c'était vite fait quelques tiraillements dans les seins. Maintenant, ce foutu SPM c'est un mal être profond pendant une bonne semaine. Putain, c'est épuisant! C'est une période où tout me fatigue, où plus rien ne me dit, où je pourrais quitter mon compagnon (alors qu'en vrai je l'aime follement) ou mon job (que j'aime nettement moins follement, mais pas au point de vouloir sincèrement le quitter, du moins pas aussi précipitement). Je suis d'une nature résolument optimiste : avec le SPM je vois TOUT en noir. En clair, c'est une période où je ne me reconnais pas. Et c'est hautement perturbant.
Et ce qui me perturbe d'autant plus, c'est qu'il n'y a pas de changement majeur dans ma vie matérielle (comprendre "dans mon alimentation", "pas de prise d'une contraception", etc).
Janetgarcia (miss météo mexicaine sexy ) sort avec le motivational speaker Lewis howes. Il est américain.
Le mec parle pas espagnol (il prend des cours je crois) et elle ne parle pas anglais. Elle a interviewé jen selter (« fitgirl » américaine ) et elle était incapable de faire une phrase en anglais. Tout le truc était en espagnol et jen répondait en anglais.
Du coup je me demande comment on peut sortir avec quelqu’un pendant un an, dire qu’on l’aime sans parler de langue commune.
Le mec parle pas espagnol (il prend des cours je crois) et elle ne parle pas anglais. Elle a interviewé jen selter (« fitgirl » américaine ) et elle était incapable de faire une phrase en anglais. Tout le truc était en espagnol et jen répondait en anglais.
Du coup je me demande comment on peut sortir avec quelqu’un pendant un an, dire qu’on l’aime sans parler de langue commune.
C'est à la fois un "ça me perturbe" et un "Je comprend pas".
J'ai une pote qui depuis 4 ans à des soucis de santé, qui font qu'elle a des crises d'angoisses dès qu'elle sort longtemps et ça la fatigue. Heureusement ça va un peu mieux. C'est cool, mais ce qui me perturbe grandement, c'est que quand je vais chez elle, elle est incapable d'aller plus loin que le paté de maisons de son quartier et au centre commercial qui est juste à coté de chez elle. Mais par contre, elle est plusieurs fois parti loin, elle est allée au Hellfest, est allée dans sa famille, est partie à la mer voir une pote et là, elle prévoit avec une autre pote de partir en Italie dans un an. Donc, avec moi, elle est incapable d'aller loin, mais sort loin avec d'autres potes. Et quand je lui ai dit "Mais tu prend les transports non ?" elle me sort qu'elle ressent pas la même chose en voiture qu'en car/train. Je trouve son excuse un peu bancale…. du coup, ça me vexe parce que ça me donne l'impression qu'il y a un souci avec moi et j'ose pas lui dire parce que je veux pas la vexer elle. Du coup, je ne sais absolument pas quoi penser cette situation.
J'ai une pote qui depuis 4 ans à des soucis de santé, qui font qu'elle a des crises d'angoisses dès qu'elle sort longtemps et ça la fatigue. Heureusement ça va un peu mieux. C'est cool, mais ce qui me perturbe grandement, c'est que quand je vais chez elle, elle est incapable d'aller plus loin que le paté de maisons de son quartier et au centre commercial qui est juste à coté de chez elle. Mais par contre, elle est plusieurs fois parti loin, elle est allée au Hellfest, est allée dans sa famille, est partie à la mer voir une pote et là, elle prévoit avec une autre pote de partir en Italie dans un an. Donc, avec moi, elle est incapable d'aller loin, mais sort loin avec d'autres potes. Et quand je lui ai dit "Mais tu prend les transports non ?" elle me sort qu'elle ressent pas la même chose en voiture qu'en car/train. Je trouve son excuse un peu bancale…. du coup, ça me vexe parce que ça me donne l'impression qu'il y a un souci avec moi et j'ose pas lui dire parce que je veux pas la vexer elle. Du coup, je ne sais absolument pas quoi penser cette situation.
@Lord Griffith @TennanTen Pourtant quand on lit des romans anciens (XVIIIe ou XIXe siècle par exemple) je ne trouve pas que dans les discussions (même si elles sonf fictives) les gens soient moins insultants que maintenant. C'est juste que de nos jours "fieffé idiot" ça fait sourire, mais à l'époque c'était une insulte. Et pour avoir bossé d'un point de vue beaucoup plus historique sur le XVIIIe siècle français, je ne trouve vraiment pas que les gens étaient plus tendres entre eux qu'aujourd'hui. Genre dans les journaux ils n'y allaient vraiment pas avec le dos de la cuillère. Après peut-être qu'avec internet, les textos, les vidéos, on s'en rend plus compte (ou alors ça dépend de la sensibilité des gens).
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