Je ne sais pas ce qui m'arrive, mais ça m'arrive sans arrêt en ce moment que j'écrive un message +/- long et que je me ravise au moment de le publier.
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Ça me perturbe...
- Initiateur de la discussion Pinceau_
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@Eclaireur Oui je comprend =)
Y a que ici qu'il faut que ce soit vraiment grave, sur les réseaux comme FB, Insta et Twitter je bloque direct si les propos me dérangent vraiment même s'ils sont pas agressifs envers moi. D'ailleurs je commente rarement sur ces réseaux et j'ai tendance à effacer mes messages juste pour pas me faire tomber connement dessus. Parce que bon, les gens qui ne savent pas s'exprimer sans être agressifs, ça me fatigue.
Y a que ici qu'il faut que ce soit vraiment grave, sur les réseaux comme FB, Insta et Twitter je bloque direct si les propos me dérangent vraiment même s'ils sont pas agressifs envers moi. D'ailleurs je commente rarement sur ces réseaux et j'ai tendance à effacer mes messages juste pour pas me faire tomber connement dessus. Parce que bon, les gens qui ne savent pas s'exprimer sans être agressifs, ça me fatigue.
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@skippy01 Purée pareil en ce moment, j'écris des pavés puis je me dis "meh en fait nan"
@Lazarus_
Oui, la personne ignorée voit toujours les messages que poste la personne qui ignore. D'ailleurs, si ce n'était pas le cas, on pourrait facilement savoir qui nous a bloqué
Oui, la personne ignorée voit toujours les messages que poste la personne qui ignore. D'ailleurs, si ce n'était pas le cas, on pourrait facilement savoir qui nous a bloqué
ça me perturbe vraiment de voir tous ces témoignages sur la violence des communautés LGBT+. M'enfin, leur obejectif, c'était quand même d'offrir à une catégorie de gens un espace sécurisé, alors qu'en fait, on y est limite plus en danger que dans le reste des milieux, extrême-droite incluse. C'est quand même fou qu'elles soient infoutues de remplir leur principale -pour ne pas dire seule et unique- fonction, allant jusqu'à "oublier" la signification de la lettre B de leur sigle ou entretenir des stéréotypes qu'elles était censées combattre. En exagérant à peine, elles mettent en danger les gens qu'elles étaient censées défendre.
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C'est un truc auquel je réfléchis pas mal cette histoire d'être adulte ou pas.
Et du coup tout ça fait que je ne me considère pas comme adulte. Sauf que, ben je pense que j'aurais toujours une vie plus ou moins comme ça. Donc parfois je me demande si ce n'est pas tout simplement ça ma manière à moi d'être adulte ?
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@-Loreleï- C'est clair que "être adulte" c'est quand même quelque chose de compliqué à définir. Chacun est différent, être adulte ne veux pas dire études, mariage, boulot, enfant, maison, etc... comme le veut la société.
Puis pareil que toi, je ne me sent pas comme une gamine mais pas non plus comme une adulte. Et quand on sait que la maturité n'a rien à voir avec l'age, c'est encore plus compliqué à définir.
Puis pareil que toi, je ne me sent pas comme une gamine mais pas non plus comme une adulte. Et quand on sait que la maturité n'a rien à voir avec l'age, c'est encore plus compliqué à définir.
Personnellement je me sens adulte par rapport à moi-même, c'est à dire que clairement je suis depuis bien longtemps sortie de l'adolescence.
Je suis totalement autonome et indépendante depuis des années, mais à vrai dire même si je devais retourner chez mes parents (si je perdais mon logement par exemple), je me sentirai quand même adulte. J'ai su assez tôt me gérer, que ce soit niveau paperasse, cuisine, ménage etc, même quand je vivais encore chez eux je ne me sentais pas comme une ado (bon par contre eux n'avaient pas le même avis
). J'avais plus l'impression de squatter chez eux, que d'être vraiment chez moi, et je suis partie dès que j'ai trouvé du travail.
Par contre c'est clair que par rapport au modèle que la société nous vend pour être un adulte accompli, je ne coche clairement aucune case (à part peut-être celle du ménage bien fait
). Je vis dans un studio, ma bande de potes est essentielle à ma survie, j'adore faire la fête, je m'habille comme à 20 ans, et en gros je m'en fous d'à peu près tout ce qui est matériel (un petit logement, une petite voiture, ça me convient parfaitement). J'ai l'impression qu'on résume vachement le fait d'être adulte au fait d'avoir des choses (un-e conjoint-e, un CDI, un grand logement, des enfants, une voiture familiale, pas d'excès), genre si tu n'as pas tout ça tu restes un-e ado. La plupart des gens (même plus jeunes que moi) me prennent pour une gamine par rapport à ça, comme si je n'étais pas passée à l'étape supérieure.
C'est dommage parce que je me sens vraiment "mature" au contraire, dans le sens où je sens que j'ai énormément évolué d'un point de vue personnel en 10 ans même si matériellement je n'ai rien de tout ça. Je ne suis clairement plus la même personne qu'à 20 ans, même si mon mode de vie est similaire & que mes passions sont les mêmes. Ce qui me fait me sentir adulte, c'est le fait de savoir que je peux m'en sortir seule, pour tout. Je ne suis dépendante de personne (sauf de l'Etat d'une certaine façon : enfin ça, on l'est tous plus ou moins), je peux compter sur moi-même. Et aussi je me sens beaucoup plus stable niveau personnalité, j'ai l'impression de m'être "trouvée".
Je suis totalement autonome et indépendante depuis des années, mais à vrai dire même si je devais retourner chez mes parents (si je perdais mon logement par exemple), je me sentirai quand même adulte. J'ai su assez tôt me gérer, que ce soit niveau paperasse, cuisine, ménage etc, même quand je vivais encore chez eux je ne me sentais pas comme une ado (bon par contre eux n'avaient pas le même avis
). J'avais plus l'impression de squatter chez eux, que d'être vraiment chez moi, et je suis partie dès que j'ai trouvé du travail.Par contre c'est clair que par rapport au modèle que la société nous vend pour être un adulte accompli, je ne coche clairement aucune case (à part peut-être celle du ménage bien fait
). Je vis dans un studio, ma bande de potes est essentielle à ma survie, j'adore faire la fête, je m'habille comme à 20 ans, et en gros je m'en fous d'à peu près tout ce qui est matériel (un petit logement, une petite voiture, ça me convient parfaitement). J'ai l'impression qu'on résume vachement le fait d'être adulte au fait d'avoir des choses (un-e conjoint-e, un CDI, un grand logement, des enfants, une voiture familiale, pas d'excès), genre si tu n'as pas tout ça tu restes un-e ado. La plupart des gens (même plus jeunes que moi) me prennent pour une gamine par rapport à ça, comme si je n'étais pas passée à l'étape supérieure. C'est dommage parce que je me sens vraiment "mature" au contraire, dans le sens où je sens que j'ai énormément évolué d'un point de vue personnel en 10 ans même si matériellement je n'ai rien de tout ça. Je ne suis clairement plus la même personne qu'à 20 ans, même si mon mode de vie est similaire & que mes passions sont les mêmes. Ce qui me fait me sentir adulte, c'est le fait de savoir que je peux m'en sortir seule, pour tout. Je ne suis dépendante de personne (sauf de l'Etat d'une certaine façon : enfin ça, on l'est tous plus ou moins), je peux compter sur moi-même. Et aussi je me sens beaucoup plus stable niveau personnalité, j'ai l'impression de m'être "trouvée".
Moi, je ne me sens pas adulte, et mes parents en sont partiellement responsables. Ils me traitent en permanence comme si j'avais 10-15 ans de moins chaque fois qu'on se voit, me font des laïus pour des trucs que j'assume à 100% et que j'estime être MON problème (mention spéciale au nouvel an où j'ai eu droit à un sermon pour mon "accoutrement de SDF" 
), et si maintenant, j'ose plus souvent leur tenir tête, ils ne se remettent pas en question. Le problème est aggravé par mon impossibilité à couper les ponts avec eux vu qu'ils me tirent souvent d'affaire quand je suis dans la mouise (et après, ils ont le culot de me reprocher d'avoir tenté de m'en sortir par moi-même au lieu de les avoir appelés directement). J'ai le même problème avec ma soeur, qui a toujours eu l'ascendant sur moi, qui me dépanne et m'hébergent quand c'est nécessaire sans que je n'aie jamais pu lui rendre la pareille.
à côté de ça, j'ai gardé quelques lubies limite irresponsables. Rassurez-vous, rien de dangereux ou illégal, ce sont plutôt des trucs importants que j'omets de faire parce que "pas envie", et je n'ai jamais eu de job, donc jamais appris à avoir autre chose que moi sous ma responsabilité.
), et si maintenant, j'ose plus souvent leur tenir tête, ils ne se remettent pas en question. Le problème est aggravé par mon impossibilité à couper les ponts avec eux vu qu'ils me tirent souvent d'affaire quand je suis dans la mouise (et après, ils ont le culot de me reprocher d'avoir tenté de m'en sortir par moi-même au lieu de les avoir appelés directement). J'ai le même problème avec ma soeur, qui a toujours eu l'ascendant sur moi, qui me dépanne et m'hébergent quand c'est nécessaire sans que je n'aie jamais pu lui rendre la pareille.à côté de ça, j'ai gardé quelques lubies limite irresponsables. Rassurez-vous, rien de dangereux ou illégal, ce sont plutôt des trucs importants que j'omets de faire parce que "pas envie", et je n'ai jamais eu de job, donc jamais appris à avoir autre chose que moi sous ma responsabilité.
M
Membre supprimé 128106
Guest
Je me demande s'il ne faudrait pas accepter qu'on peut être adulte et aimer les peluches ou ne pas cocher certaines cases de l'adulte type image d’Épinal 
Moi je considère que je suis une adulte et je m'en fous que des grincheux considèrent que les bd's, les lapins en peluche et ne pas avoir d'enfants c'est pas digne d'un adulte
C'est ennuyeux comme la pluie, moi je dis. Franchement, si on est par ailleurs responsable, autonome et tutti quanti, je ne vois pas pourquoi on se verrait comme des enfants juste parce qu'on fait des choses qu'on a toujours aimé faire.
Moi je considère que je suis une adulte et je m'en fous que des grincheux considèrent que les bd's, les lapins en peluche et ne pas avoir d'enfants c'est pas digne d'un adulte
C'est ennuyeux comme la pluie, moi je dis. Franchement, si on est par ailleurs responsable, autonome et tutti quanti, je ne vois pas pourquoi on se verrait comme des enfants juste parce qu'on fait des choses qu'on a toujours aimé faire.
Super intéressant comme débat ! Mon grand frère (30 ans) et certaines de mes copines un peu plus âgées que moi sont en panique à l'idée de devenir adulte depuis qu'ils ont dépassé la vingtaine. J'avais l'impression que c'était vraiment lié à leur génération, mais c'est peut-être une impression. Et pour moi ça s'expliquait par la culture dans laquelle ils avaient grandi, qui valorisait vachement l'enfance (avec les super films Disney des années 90) et plus tard l'adolescence. J'ai l'impression que ça a été particulièrement dur pour eux de renoncer à l'idée d'être "jeune" et passer du côté des adultes (en plus en contexte de crise financière, chômage...).
Mais j'ai aussi d'autres amis plus jeunes qui redoutent de grandir donc je ne sais pas vraiment en fait :- Moi, je me considère comme adulte depuis que j'ai quitté ma famille pour voler de mes propres ailes (à 23 ans donc) et travailler à plein temps. Ça ne m'empêche pas d' aimer certaines activités juvéniles et de me considérer beaucoup trop jeune pour m'installer quelque part et fonder une famille (il s'agit aussi de pragmatisme, je sais qu'il est plus socialement acceptable de voyager et tenter des trucs à mon âge qu'à trente-cinq ans et j'en profite).
Sinon ça me fait penser à un truc qui me sort par les yeux en particulier dans la culture des US, c'est cette obligation sociale à faire mille folies à l'âge de l'université (sortir souvent, voyager, expérimenter sexuellement...) ou à passer pour quelqu'un d'ennuyeux, alors que passé 25 et surtout 30 ans on devrait se ranger des voitures, avoir une relation stable, ne plus autant s'amuser en soirée... Je trouve ça triste en fait.
Mais j'ai aussi d'autres amis plus jeunes qui redoutent de grandir donc je ne sais pas vraiment en fait :- Moi, je me considère comme adulte depuis que j'ai quitté ma famille pour voler de mes propres ailes (à 23 ans donc) et travailler à plein temps. Ça ne m'empêche pas d' aimer certaines activités juvéniles et de me considérer beaucoup trop jeune pour m'installer quelque part et fonder une famille (il s'agit aussi de pragmatisme, je sais qu'il est plus socialement acceptable de voyager et tenter des trucs à mon âge qu'à trente-cinq ans et j'en profite).
Sinon ça me fait penser à un truc qui me sort par les yeux en particulier dans la culture des US, c'est cette obligation sociale à faire mille folies à l'âge de l'université (sortir souvent, voyager, expérimenter sexuellement...) ou à passer pour quelqu'un d'ennuyeux, alors que passé 25 et surtout 30 ans on devrait se ranger des voitures, avoir une relation stable, ne plus autant s'amuser en soirée... Je trouve ça triste en fait.
M
Membre supprimé 128106
Guest
Mais c'est aussi assez responsable de ne pas faire d'enfants si on ne se sent pas prêts du tout, donc c'est assez paradoxal, tout ça
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