Je reviens enfin dans le planète mad. J'ai un peu de mal à retenir les évènements des 3 dernières semaines vous concernant (je suis pas mal crevée en ce moment) : va me falloir un certain temps de lecture pour me remettre dans le bain 
En ce qui me concerne :
_ Je reviens de ma colo. Elle s'est bien passée. Coté coeur, j'ai fait exprès de mettre une certaine distance entre mes collègues et moi. Y en avait un avec qui je trouvais que c'était trop ambigu : beaucoup de délires, contacts... mais Monsieur avait déjà une copine et, de mon coté, je clame à qui veut l'entendre que ce n'est pas le moment pour moi d'avoir un copain.
_ J'ai une possibilité avec un garçon que j'ai rencontré en attend ma cousine dans une gare routière. Il m'a dit plusieurs fois sur msn qu'il s'intéressait à moi. J'ai toujours mis une certaine distance, prétextant le fait qu'il ne faut pas que je m'attache à qui que ce soit en raison de mes études. Avant hier, sur msn, il est venu me parler car il n'allait pas bien : sa copine l'a largué. J'ai essayé de le consoler. Il m'a expliqué toutes le conneries que son ex a été capable de faire pour le rendre jaloux. Plus tard, il m'a dit que j'étais son idéal féminin. Etant incapable de recevoir un compliment de qui que ce soit, je lui ai gentiment dit que je ne pouvais pas commencer une relation amoureuse en ce moment. Il n'avait pas l'air de l'avoir mal pris. Il m'a dit qu'il aimerait bien être celui qui m'aidera a avoir confiance en moi.
Depuis quelques temps, je regrette pas mal d'avoir été comme ça avec lui. 'Fin en fait, d'un coté, je suis contente d'avoir été raisonnable. D'un autre coté, qu'est ce que j'aimerais foutre un gros coup de pied au cul de ma raison. Parce que ouais, ce mec, il a l'air bien, il m'attire, il me fait rire... mais j'ai peur, donc je fous tout en l'air, à coups de prétexte bidons (ma première année de médecine, en l'occurence).
_ Là, je fantasme sur mon chef (je suis grave, je crois).
PS : Punaise mais comme ça m'a fait trop du bien d'extérioriser ça !

En ce qui me concerne :
_ Je reviens de ma colo. Elle s'est bien passée. Coté coeur, j'ai fait exprès de mettre une certaine distance entre mes collègues et moi. Y en avait un avec qui je trouvais que c'était trop ambigu : beaucoup de délires, contacts... mais Monsieur avait déjà une copine et, de mon coté, je clame à qui veut l'entendre que ce n'est pas le moment pour moi d'avoir un copain.
_ J'ai une possibilité avec un garçon que j'ai rencontré en attend ma cousine dans une gare routière. Il m'a dit plusieurs fois sur msn qu'il s'intéressait à moi. J'ai toujours mis une certaine distance, prétextant le fait qu'il ne faut pas que je m'attache à qui que ce soit en raison de mes études. Avant hier, sur msn, il est venu me parler car il n'allait pas bien : sa copine l'a largué. J'ai essayé de le consoler. Il m'a expliqué toutes le conneries que son ex a été capable de faire pour le rendre jaloux. Plus tard, il m'a dit que j'étais son idéal féminin. Etant incapable de recevoir un compliment de qui que ce soit, je lui ai gentiment dit que je ne pouvais pas commencer une relation amoureuse en ce moment. Il n'avait pas l'air de l'avoir mal pris. Il m'a dit qu'il aimerait bien être celui qui m'aidera a avoir confiance en moi.
Depuis quelques temps, je regrette pas mal d'avoir été comme ça avec lui. 'Fin en fait, d'un coté, je suis contente d'avoir été raisonnable. D'un autre coté, qu'est ce que j'aimerais foutre un gros coup de pied au cul de ma raison. Parce que ouais, ce mec, il a l'air bien, il m'attire, il me fait rire... mais j'ai peur, donc je fous tout en l'air, à coups de prétexte bidons (ma première année de médecine, en l'occurence).
_ Là, je fantasme sur mon chef (je suis grave, je crois).
PS : Punaise mais comme ça m'a fait trop du bien d'extérioriser ça !