@Diamant Non, ne t'inquiète pas, je ne le prends pas mal ! Pourquoi ses "arguments" te paraissent choquants ?
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Des nouvelles, donc. (désolé, je passe mon temps à me plaindre ici
). Hier j'ai coupé mon téléphone, internet et tout ça, et j'ai écouté de la musique et pleuré pendant assez longtemps. Puis j'ai parlé une de mes amies, très radicale sur ce sujet, qui m'a dit :
Bon, je sais qu'elle s'identifie beaucoup à moi, parce qu'elle a vécu une histoire similaire, donc je prend aussi son opinion avec des pincettes, mais ça m'a fait réfléchir et je me suis dit que de toute façon là, effectivement, ça n'allait pas. Après ça, j'étais très calme, j'ai écrit un message à L. pour lui dire que j'avais besoin de me calmer, de réfléchir, mais que je ne voyais qu'une solution au bout. Bon, c'était pas très malin, la pauvre s'est fait un sang d'encre forcément
quand j'ai rallumé mon portable elle m'avait envoyé des pages et des pages de messages me demandant de rester, me disant qu'on peut y arriver ensemble, etc. Je lui ai quand même répondu, et on s'est engagé dans une conversation très dramatique 
Elle a dit :
Et puis elle était triste et en colère en voyant que c'était évident que je songeais sérieusement à la quitter et elle m'a dit qu'elle se sentait rejetée
Après ça on a parlé du fait que j'avais aussi du mal à croire à son amour vu tous les retournements de situation passés, et bon, elle m'a expliqué le cheminement du déni auquel elle avait dû faire face, elle m'a expliqué qu'elle s'était rendue compte qu'elle était amoureuse de moi depuis le début (comme moi) et que non, elle ne se convainquait pas de m'aimer. Elle a aussi dit ne pas comprendre pourquoi je voulais rompre alors qu'on resterait amies et que je souffrirai peut-être aussi / a dit qu'elle ne pensait pas que j'aurai moins mal dans une relation monogame. Bref, c'était un débat absurde puisque moi je voulais la quitter sans le vouloir et qu'elle essayait de me convaincre de rester. Ça m'a complétement retourné la tête, puis on a fini en se disant des choses passionnées, bravo Lenehän, tu sais comment prendre des décisions claire au moins
En somme, je ne suis pas plus avancée, et elle elle souffre parce que je la met un peu sur la sellette
Du coup, j'ai dit qu'on en parlerait plus tard, et là j'ai deux jours intense de laboratoire de création, ici, donc au moins j'y pense moins, mais il va bien falloir y réfléchir à un moment.
J'ai pensé à une seule solution, lui dire qu'en tout cas, je ne veux pas être en couple, car j'ai l'impression que c'est l'idée de couple qui me fait me projeter et me rend jalouse. En fait c'est comme si j'étais un personnage dans sa maison de poupée : sa copine,à côté de son copain, dans une espèce de triade qui me déplait fortement, qui me décale de mon chemin indépendant ; comme je suis projetée dans sa vision de la relation et non dans la mienne je ne peux qu'être mal. Le compromis serait : comme je l'avais imaginé, être "célibataire" et avoir une relation avec elle, mais pas une relation sérieuse ni qui se dit quoi que ce soit, pas un couple, juste une sorte d'amitié où on sait qu'on est amoureuses l'une de l'autre et où on peut se revoir etc. Je ne sais pas si ça a beaucoup de sens, et j'espère que ce ne serait pas juste une autre impasse (peut-être que la jalousie est incontournable et que de toute façon cette relation ne mène à rien ... mais toutefois je l'aime et elle m'aime c'est ça qui est
).
Lalala, la vie est compliquée
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Des nouvelles, donc. (désolé, je passe mon temps à me plaindre ici
). Hier j'ai coupé mon téléphone, internet et tout ça, et j'ai écouté de la musique et pleuré pendant assez longtemps. Puis j'ai parlé une de mes amies, très radicale sur ce sujet, qui m'a dit :
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Bon, je sais qu'elle s'identifie beaucoup à moi, parce qu'elle a vécu une histoire similaire, donc je prend aussi son opinion avec des pincettes, mais ça m'a fait réfléchir et je me suis dit que de toute façon là, effectivement, ça n'allait pas. Après ça, j'étais très calme, j'ai écrit un message à L. pour lui dire que j'avais besoin de me calmer, de réfléchir, mais que je ne voyais qu'une solution au bout. Bon, c'était pas très malin, la pauvre s'est fait un sang d'encre forcément
quand j'ai rallumé mon portable elle m'avait envoyé des pages et des pages de messages me demandant de rester, me disant qu'on peut y arriver ensemble, etc. Je lui ai quand même répondu, et on s'est engagé dans une conversation très dramatique Elle a dit :
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Et puis elle était triste et en colère en voyant que c'était évident que je songeais sérieusement à la quitter et elle m'a dit qu'elle se sentait rejetée
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Après ça on a parlé du fait que j'avais aussi du mal à croire à son amour vu tous les retournements de situation passés, et bon, elle m'a expliqué le cheminement du déni auquel elle avait dû faire face, elle m'a expliqué qu'elle s'était rendue compte qu'elle était amoureuse de moi depuis le début (comme moi) et que non, elle ne se convainquait pas de m'aimer. Elle a aussi dit ne pas comprendre pourquoi je voulais rompre alors qu'on resterait amies et que je souffrirai peut-être aussi / a dit qu'elle ne pensait pas que j'aurai moins mal dans une relation monogame. Bref, c'était un débat absurde puisque moi je voulais la quitter sans le vouloir et qu'elle essayait de me convaincre de rester. Ça m'a complétement retourné la tête, puis on a fini en se disant des choses passionnées, bravo Lenehän, tu sais comment prendre des décisions claire au moins
En somme, je ne suis pas plus avancée, et elle elle souffre parce que je la met un peu sur la sellette
Du coup, j'ai dit qu'on en parlerait plus tard, et là j'ai deux jours intense de laboratoire de création, ici, donc au moins j'y pense moins, mais il va bien falloir y réfléchir à un moment.
J'ai pensé à une seule solution, lui dire qu'en tout cas, je ne veux pas être en couple, car j'ai l'impression que c'est l'idée de couple qui me fait me projeter et me rend jalouse. En fait c'est comme si j'étais un personnage dans sa maison de poupée : sa copine,à côté de son copain, dans une espèce de triade qui me déplait fortement, qui me décale de mon chemin indépendant ; comme je suis projetée dans sa vision de la relation et non dans la mienne je ne peux qu'être mal. Le compromis serait : comme je l'avais imaginé, être "célibataire" et avoir une relation avec elle, mais pas une relation sérieuse ni qui se dit quoi que ce soit, pas un couple, juste une sorte d'amitié où on sait qu'on est amoureuses l'une de l'autre et où on peut se revoir etc. Je ne sais pas si ça a beaucoup de sens, et j'espère que ce ne serait pas juste une autre impasse (peut-être que la jalousie est incontournable et que de toute façon cette relation ne mène à rien ... mais toutefois je l'aime et elle m'aime c'est ça qui est
).Lalala, la vie est compliquée
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J'ai envoyé un ou deux messages après (avec un temps entre les deux hein) lui demandant s'il. voulait toujours me voir ou non, et que moi j'avais bien envie qu'on se revoit. C'était mi-juillet, depuis je ne lui ai pas reparlé parce que je n'ose pas et j'ai toujours extrêmement peur de me faire rejeter. Il n'est plus dans ma promo cette année mais toujours à la fac et je ne l'ai pas encore croisé mais j'appréhende. Je ne sais pas si je dois lui envoyer un message, en me fichant d'être rejetée ou non parce que je vois souvent des personnes qui insistent et vivent une belle histoire par la suite mais ma fierté est quand même plus forte... j'imagine que vous allez me dire que c'est peine perdue, qu'il s'en fiche ou que je dois passer à autre chose mais il m'arrive toujours la même histoire avec les garçons (on s'envoie des messages et puis plus rien d'un coup), déjà que là on s'est vu deux fois je pensais que ça menait quelque part.. et je commence à me demander si je fais mal les choses, car à force de ne rien tenter j'ai plutôt envie de tout abandonner et de plus y croire 
) donc c'est peut-être le moment de le faire...
)
