@Imerogvili : Merci pour ton message.
@diabolomangue : Merci.

Oui tu as raison, je n'ai pas à avoir honte.
@Destiel Mok´ : Ton message m'a bien fait rire.

Mais c'est exactement ce que je me suis dit. Qu'est-ce que cette phrase, et ce terme, viennent faire là ? Ça n'a aucun rapport avec la choucroute (j'aime bien cette expression

), et en plus le mot est mal employé, effectivement. À but condescendant, en plus.
Merci à vous aussi
@Lagertha~ ,
@LilyOnMarch et
@Tamao.
Et du coup, je vois certaines réflexions avancées par Diabolomangue et Imerogvili, notamment, et il est vrai que je me pose les mêmes questions. À un moment donné, il y en a marre de tout calculer. C'est chiant. C'est chiant de voir qu'au moindre petit pas vers l'autre, la personne recule, et parfois retourne le truc contre nous.
Ce n'est pas normal qu'on ait autant peur de pénétrer l'espace de l'autre.
Alors je pense que ça arrive, soit parce qu'on a des problèmes avec ça nous-même et qu'il y a des blessures à guérir en nous (peur de gêner, peur de l'abandon, du rejet, etc), mais ça peut être aussi parce que l'autre n'a pas suffisamment de place en lui/elle pour accueillir quelqu'un d'autre, finalement.
Avec toutes les leçons que j'ai tirées, les phrases que certaines personnes très sensées m'ont dites, et aussi les témoignages que j'ai pu entendre ou lire, j'en viens à cette conclusion également : arrêtons de nous faire chier. Ou du moins, essayons un maximum.
Et si c'est compliqué dès le départ, il y a peu de chance que ça se simplifie. Bien sûr, il y a toujours des contrexemples (je pense notamment à la jolie histoire de
@Motherallegra, que je suis depuis le début), mais je pense que la plupart du temps ça n'annonce rien de bon.
Donc je rejoins un peu ce que disait Destiel Mok dans l'un de ses posts : désormais, ça ne m'intéresse pas si c'est flou ou compliqué dès le départ. Ça peut être très simple ; il suffit de rencontrer quelqu'un prêt à nous accueillir. Après l'accueil de l'autre peut être plus ou moins difficile des deux côtés selon les peurs et les blocages que l'on a, mais à mon avis il faut que la volonté soit là. Et si la volonté est là, je pense que ça peut être très simple, et que l'on n'a plus à être dans le calcul ou dans la peur de faire fuir l'autre, parce que l'autre ne nous renvoie pas ça.
Et je pense que si on est soi-même prêt à accueillir une belle, une vraie histoire d'amour saine (souvent, intellectuellement on pense être prêt, et en fait pas du tout (et je m'inclus là-dedans)), alors ça peut vraiment arriver.