Ces relations si spéciales

[-Abby-]

Il a les yeux verts-gris, la machoire carré, et il est tout fin. Je l'ai rencontré un soir d'avril 2009. Il était de dos, je l'ai de suite reconnu. Je lui ai tapé sur l'épaule en disant avec ma petite voix que c'était moi. Il était tout bourré parce qu'il appréhendait de me rencontrer. Le bord de la Garonne. Le suivre lui et ses amis. Une des plus belles nuits de ma vie. Le premier après mon grand amour de 6 ans. Rentrer dans mon studio à 7h du mat avec le jour qui se lève. Dormir en pensant à ce qu'avait été ma soirée. Me réveiller en me demandant si je n'avais pas rêvé.

S'en suit un mois de relation de non couple. Il passe la nuit collée à moi dans mon petit lit de camping 1 personne. va me chercher du macdo parce que je suis malade. On va au cinéma, au resto, on se ballade. Mais non ne sommes pas un couple. Il est mon copain de lit amélioré, dans les bras de qui je suis passé à autre chose.

On a arrêté de se voir régulièrement car sortant tout les 2 de relations longues nous étions carrément pomés.

Depuis ce soir d'avril il y a plus d'un an, il est celui vers qui je me suis tourné. Quand j'avais des doutes sur mes relations, je le voyais et je savais. Avec lui j'ai pris des décisions. On se voit rarement depuis...On sait l'un comme l'autre qu'on est comme 2 aimants quand on est proche. On ne peut pas être réellement amis car il y aura toujours cette tension physique entre nous. On ne peut pas être un couple. Je ne sais pas trop pourquoi mais ça ne peut pas fonctionner comme ça entre nous.

Mais on se parle beaucoup, par msn, par textos. Il est là quand je me pose de grandes questions sur la vie, je suis là quand il a besoin d'extérioriser ce qu'il ressent.

Je n'ai pas su lui ouvrir le coeur . il me disait l'autre soir que je n'étais pas la femme de sa vie. mais que malgré tout il m'aimait quand même différemment.que pour lui j'étais un ange.

lui c'est sweety, et je ne sais toujours pas comment le définir

 

[AnonymousUser]

J'ai envie d'en parler parce que finalement c'est la relation la plus spéciale que j'ai connue, et le post d'-Abby- m'y a fait penser.

Elle est spéciale parce qu'elle dure depuis des années, parce qu'elle est atypique, parce qu'il est atypique, parce que ce n'est pas mon ex, ce n'est pas un ami, ce n'est pas mon amoureux. C'est juste le mec qui m'aura le plus marquée.

On s'est rencontrés pendant nos études, on était dans la même école, lui une année au dessus de moi. Il m'a pas tout de suite tapée dans l'?il, tout n'a commencé que la deuxième année. Depuis je suis foutue, je m'amuse à me dire que c'est comme une maladie. J'arrive pas trouver le médicament miracle. Oh il y en a eu des garçons qu'on voulu me guérir mais ils ont tous échoué. Parce que putain ce mec est incroyable (à mes yeux), qu'il l'est tellement qu'il en devient presque irréel. C'est comme un personnage de cinéma. Quand on se voyait je me sentais dans un film, il sortait les bons mots au bon moment, il avait des regards intenses, il me rendait folle. Une vraie midinette.

On a passé quelques nuits ensemble, certaines magiques, certaines douloureuses. Il est rempli d'imperfections, il m'a fait du mal comme personne, il ne m'a jamais aimée. Mais il m'en a dit des jolies choses, les plus jolies qu'on m'ait dites. Il ne peut pas se passer moi. Il replonge à chaque fois. Il dit aux autres "qui peut résister à son charme?", et il ne me lâche pas du regard.

On aurait pu aller loin, on aurait pu. Je suis idiote d'y croire encore mais je crois que personne ne peut comprendre ne serait-ce que le 1/10ème de ce que je ressens pour lui. Il entre dans une pièce et plus rien n'existe, il m'écrit et plus rien n'a d'importance. C'est lui, c'est tout.

 

[Caseyklein]

Ca remonte à mon année de Terminale, au tout début. Depuis ma première, je me retrouvais toujours, en anglais spé, entre deux mecs de ma classe, dont un qui, j'avoue, me faisait bien rire.
Un soir, il m'avait ajouté sur Msn, pour un dossier à faire, on a fini par se trouver des points communs, musicaux surtout, et je lui faisait part de tous mes plans concerts, invits, etc. On faisait tout ensemble, on a du faire une trentaine de concerts ensemble, puis quand je suis partie étudier à 50 minutes de là, on se voyait une fois par semaine et un weekend sur deux on squattait mon appart, on faisait la fête..
On est restés comme ça,très très proches, pendant 1 an et demi, et pendant les 5 premiers mois c'était un peu le chat et la souris, "fuis moi j'te suis.. suis moi j'te fuis". C'était resté ambigu pendant un bout de temps.
Puis un beau jour, on s'est embrouillés, parce qu'il buvait beaucoup, trop à mes yeux, et que ça me faisait peur, pour lui. Il l'a mal pris, puis il s'est calmé, pour moi. Il a même arrété de fréquenter ses anciens amis qu'il traitait alors de connards finis, d'alcooliques, de gros cons qu'ont rien compris..

Et il ya un an et demi, il a rencontré quelqu'un, une nana que j'apprécie déjà + qu'au début de leur relation mais c'est pas encore tout à fait ça niveau mentalité. Sur le coup, je l'ai un peu mal pris, et puis un mois après j'ai rencontré quelqu'un avec qui je suis toujours, moi aussi. Tous les 4, on formait une sacrée brochette de winner. On s'entendait tous un minimum bien, c'était vraiment une bonne période..
Puis, petit à petit, certaines de mes connaissances m'ont délaissées pour lui, et puis il a rejoint ses anciens amis, "les connards alcooliques et drogués sans interêt", et depuis je n'ai plus de nouvelles. Il ya même eu, une fois, où il m'a caché être venu à un concert dans ma ville alors que c'était moi même qui lui en avait parlé en lui disant "on y va ENSEMBLE". Ca m'a fait mal.
Maintenant, il vit sa vie, et moi la mienne. Quand il croise ma mère, ils parlent, il se renseigne sur moi, mais ça fait une plombe qu'il ne m'a pas envoyé de mail, ni de sms. Ca se compte limite en année.. Je ne sais même pas s'il est au courant que je déménage à l'autre bout de la france dans 3 semaines...
Ca a été mon meilleur ami pendant plus d'1 an, et il m'a déçue. C'est fini, ça me manque au fond, j'ai pas retrouvé d'amitié puissante comme ça et non ambigue, comme elle l'était sur la fin. Que ce soit avec une fille, ou un garçon.
J'ai une "meilleure amie", enfin je sais pu trop où ça en est, je crois qu'on peut aussi dire que c'est du passé, on s'embrouille, ya beaucoup de "non dit", je suis pas sûre qu'on soit encore "sur la même longueur d'onde"

Aujourd'hui, j'ai une autre relation spéciale dans ma vie, je ne saurai comment la définir. Mais celle-là, je la garde pour moi.

 

[CallMeMonday.]

J'ai tout de suite pensé à quelqu'un en voyant le titre... On s'est rencontré à la fac, il s'est assis à côté de moi un jour, on s'est tout de suite souris, et ça à commencé comme ça... Ca aurait pu se transformer en une jolie histoire d'amour, mais on a jamais franchi le cap, il y avait quelque chose de spécial entre nous, ça nous faisait peur... On sechait les cours pour aller regarder des dvd chez lui, je m'endormais la tête sur son épaule, il me racompagnait au métro et puis on se revoyait le lendemain, toujours... On se balladait, on allait dans les parcs, ou au bord de l'eau, on se racontait pleins de trucs et quand on ne parlait pas, c'était pas un blanc dérangeant, c'était juste bon de le savoir là tout près de moi... Un jour au parc, on ne disait rien, on écoutait un groupe de musique un peu plus loin, je l'ai regardé et je l'ai trouvé juste beau, c'est toujours ce jour là, cette image là que je garde dans un coin de ma tête... On a passé 7 mois comme ça, puis un jour je l'ai laissé, aujourd'hui on essaye de garder une relation amicale, mais je trouve ça nul et ce truc particulier entre nous me manque souvent...

 

[-Abby-]

J'ai envie d'en parler parce que finalement c'est la relation la plus spéciale que j'ai connue, et le post d'-Abby- m'y a fait penser.

Elle est spéciale parce qu'elle dure depuis des années, parce qu'elle est atypique, parce qu'il est atypique, parce que ce n'est pas mon ex, ce n'est pas un ami, ce n'est pas mon amoureux. C'est juste le mec qui m'aura le plus marquée.

On s'est rencontrés pendant nos études, on était dans la même école, lui une année au dessus de moi. Il m'a pas tout de suite tapée dans l'?il, tout n'a commencé que la deuxième année. Depuis je suis foutue, je m'amuse à me dire que c'est comme une maladie. J'arrive pas trouver le médicament miracle. Oh il y en a eu des garçons qu'on voulu me guérir mais ils ont tous échoué. Parce que putain ce mec est incroyable (à mes yeux), qu'il l'est tellement qu'il en devient presque irréel. C'est comme un personnage de cinéma. Quand on se voyait je me sentais dans un film, il sortait les bons mots au bon moment, il avait des regards intenses, il me rendait folle. Une vraie midinette.

On a passé quelques nuits ensemble, certaines magiques, certaines douloureuses. Il est rempli d'imperfections, il m'a fait du mal comme personne, il ne m'a jamais aimée. Mais il m'en a dit des jolies choses, les plus jolies qu'on m'ait dites. Il ne peut pas se passer moi. Il replonge à chaque fois. Il dit aux autres "qui peut résister à son charme?", et il ne me lâche pas du regard.

On aurait pu aller loin, on aurait pu. Je suis idiote d'y croire encore mais je crois que personne ne peut comprendre ne serait-ce que le 1/10ème de ce que je ressens pour lui. Il entre dans une pièce et plus rien n'existe, il m'écrit et plus rien n'a d'importance. C'est lui, c'est tout.

héhé copine d'histoire difficilement qualifiable.
lui aussi il a était dur avec moi, m'a dit des choses qui m'ont fait un mal fou. Ca a toujours était en dent de scie mais malgré tout ça, dès qu'il m'écrit y'a plus rien à part une grande pause. Juste lui et moi, comme une petite parenthèse sur le temps avant de reprendre nos vies
Au final, je crois que c'est ce type de personne qui marque notre vie pour longtemps;....

 

[Weedsgirl]

On se connait seulement depuis l'année dernière, même lycée oblige.
Je la trouvais très jolie avant même que je ne la connaisse, et je l'avais déjà repéré, c'était une fille qui m'intéressait. Et puis, les amis des amis aidant, on a commencé par discuter, en coup de vent, quand on avait le temps. Petit à petit, ça changeait, on se parlait de plus en plus longtemps, on était fourrées tout le temps ensemble. On s'entendait merveilleusement bien, elle me comprenait, et réciproquement. Avec toujours une certaine ambiguïté. Nos attitudes l'une envers l'autre, nos messages, nos discussions. Et puis, premiers je t'aime, première demande de ma part pour que l'on se mette ensemble ( refusée ), et premier week-end que l'on passe toutes les deux. Elle dort chez moi deux nuits de suite. Première nuit, caresses, mots doux, mais aucun passage à l'acte ( Dieu sait si j'en crevais d'envie, mais pas assez de cran pour le faire ). Le lendemain, cette fois-ci, on fait l'Amour. C'est merveilleux, long mais agréable, tendre, plein de sentiments. C'est beau, j'en pleure. Je l'aime, et je ne sais pourtant pas comment, de quelle manière ...
Et tout continue, tout est toujours ambigu. J'en suis amoureuse. Elle, elle ne sait pas ses sentiments. On couche régulièrement ensemble, on est un vrai couple sur certains points. Mais on n'est pas ensemble. Parce qu'il s'avère que j'ai une copine depuis une dizaine de mois maintenant, et qu'elle est amoureuse, mais sans réciprocité, d'un homme. Alors on continue notre histoire. A passer des journées et nuits entières merveilleuses, à avoir une relation terriblement étrange. Mais rien de plus. Ça nous plait comme ça. De savoir qu'on est tout de même relativement libres. Que l'on est obligée à rien. Ce n'est pas un plan cul, ce n'est pas une relation libre. C'est un amour libre, quelque chose de pas franchement définissable. Et on aime ça. Et on s'aime comme ça.

( A savoir que même avec tout ça, elle reste une très bonne " amie " ... )

 

[Alaska Savage.]

J'ai relu avec émotion ce que j'avais écrit au propos d'Elle. Nous nous sommes vues, enfin en janvier dernier. Et je retourne chez elle en octobre prochain. Depuis mon séjour auprès d'elle, je suis changée. Elle me complète parfaitement, je me sens heureuse en sa compagnie et je me sens pleinement moi-même. J'ai envie de moments comme ceux qu'on a partagés encore et encore. Depuis mon retour, j'ai une sorte de blues, car ma Jumelle me manque. C'est comme si ma vie à Paris, auprès d'elle, n'était qu'un rêve, comme si je ne l'avais pas vécu tellement c'était beau. J'ai tellement hâte à mon retour chez elle, de pouvoir la serrer contre moi et d'entendre son rire. J'adore son rire, automatiquement, il me fait sourire. D'ailleurs, j'ai un sourire en ce moment juste en y repensant. Je repense au moment ou elle m'a dit: ''Je viens de réaliser que tu es dans ma glace'' pendant que je me maquillais. C'est le moment aussi pendant lequel j'ai réalisé que c'était vrai, que j'étais bel et bien à ses côtés. C'était un bonheur fou, il me tarde d'y retourner. Et j'ai peur de ne plus vouloir repartir, parce que je sais que j'aurai du mal à envisager ma vie sans elle à mes côtés lorsque je serai de retour au Québec.