Juste pour rebondir, @Kettricken, je ne trouve pas l'analogie du piéton à renverser très pertinente. Puisque dans le cadre d'une tromperie, ce n'est pas l'acte en lui-même qui blesse, mais la rupture de confiance et le sentiment de trahison. Et la seule personne responsable de ce sentiment, c'est le compagnon ou la compagne coupable d'adultère. (Je ne sais pas si je suis très claire?...)
Après à savoir si c'est féministe ou non d'être la maîtresse... c'est un sujet trop dense et trop complexe pour avoir une réponse binaire. Il y a trop de situations différentes pour généraliser je trouve. Et puis du coup, est-ce que ce concept ne concerne que le cas d'un homme qui trompe une femme avec une autre femme? Et pas l'inverse ? Est-ce qu'une femme qui est la maîtresse d'une femme déjà en couple avec un homme est anti-feministe ou au contraire profondément feministe puisqu'elle renverse un rapport de force du patriarcat ?
Après à savoir si c'est féministe ou non d'être la maîtresse... c'est un sujet trop dense et trop complexe pour avoir une réponse binaire. Il y a trop de situations différentes pour généraliser je trouve. Et puis du coup, est-ce que ce concept ne concerne que le cas d'un homme qui trompe une femme avec une autre femme? Et pas l'inverse ? Est-ce qu'une femme qui est la maîtresse d'une femme déjà en couple avec un homme est anti-feministe ou au contraire profondément feministe puisqu'elle renverse un rapport de force du patriarcat ?