Donc pour toi si on connaît la personne trompée, c'est moche de lui faire du mal, mais si on ne connait pas la personne trompée, aucun souci?Pour la question de la morale de C, en ce qui me concerne, ça dépend de la relation qu'y avait ou non entre B et C. Si C est ami.e avec B, relation de confiance entre les deux fracassée aussi, C a fait du mal a quelqu'un qu'iel aime, c'est moche. Par contre, si C ne connait pas B, je ne vois pas où est le problème moral.
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Quand à s'y prendre à soi-même quand on est trompé parce qu'on a rien vu ou placé sa confiance dans une mauvaise personne, pour ma part je ne peux pas faire ça... C'est très difficile en amont de savoir si une personne sera digne de confiance ou pas, je préfère partir du principe qu'il y a une relation de confiance entre mon partenaire et moi (je n'imagine pas une relation autrement).
Ça fait un peu le syndrome de quand on projette sur les autres ce qu'on est capable de faire soi-même ; si on ment soi même on va penser par défaut que la personne en face de nous est susceptible de nous mentir et on va être dans la méfiance ; si on se fait confiance on va penser que la personne est aussi digne de confiance (ce qui peut aussi conduire à des déconvenues, certes
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