Je suis d'accord avec tous les commentaires disant que le fameux pote n'a pas eu la bonne réaction, et aurait dû au minimum se poser quelques questions, et avoir une discussion posée avec la fille concernée pour comprendre pourquoi elle l'accuse d'avoir été déplacé.
À la place de la personne qui a écrit le témoignage, moi, ce n'est pas au pote que j'irais parler en premier lieu (t'es pas responsable de l'éducation de chaque homme de ton entourage...), ce serait à la fille. Juste demander comment elle va, lui dire qu'on est sincèrement intéressée par sa version de l'histoire, que tout le monde semble s'être ligué contre elle mais que ça nous semble pas très juste, l'écouter sincèrement et sans jugement...
On ne sait pas toujours qu'est ce qui va bien pouvoir ressortir de positif d'une discussion avec un mec qui a besoin de remettre à jour sa définition du consentement, on n'est jamais sûr que ça servira à quelque chose; par contre écouter avec bienveillance quelqu'un qui a vécu quelque chose de douloureux (même s'il devait s'avérer qu'elle s'est réellement "monté la tête", ça restera quoi qu'il arrive une soirée qu'elle a mal vécu), c'est toujours bienvenu.
À la place de la personne qui a écrit le témoignage, moi, ce n'est pas au pote que j'irais parler en premier lieu (t'es pas responsable de l'éducation de chaque homme de ton entourage...), ce serait à la fille. Juste demander comment elle va, lui dire qu'on est sincèrement intéressée par sa version de l'histoire, que tout le monde semble s'être ligué contre elle mais que ça nous semble pas très juste, l'écouter sincèrement et sans jugement...
On ne sait pas toujours qu'est ce qui va bien pouvoir ressortir de positif d'une discussion avec un mec qui a besoin de remettre à jour sa définition du consentement, on n'est jamais sûr que ça servira à quelque chose; par contre écouter avec bienveillance quelqu'un qui a vécu quelque chose de douloureux (même s'il devait s'avérer qu'elle s'est réellement "monté la tête", ça restera quoi qu'il arrive une soirée qu'elle a mal vécu), c'est toujours bienvenu.