@Maud Kennedy Pareil, que l'on reproche un refus de laisser examiner le bébé je comprends mais qu'elle même n'ait pas voulu j'ai envie de dire c'est son problème et je n'ai pas compris pourquoi c'était présenté dans les médias comme un facteur aggravant.
Et si c'était dû à un soupçon de mère porteuse ou autre une analyse de sang et c'était réglé...
On avait été outrées à juste titre des examens gynécos forcés subit par des femmes au Quatar pour retrouver la mère de l'enfant mort né bah là c'est un peu pareil.
Est-ce qu'en France on peut vraiment nous obliger à subir un examen gynéco contre notre volonté? Vraie question, je pensais naïvement que mes droits seraient respectés quoiqu'il arrive mais apparemment c'est à géométrie variable.
Je le redis je ne culpabilise personne (j'ai plutôt vu le contraire ici) et ceux qui choisissent d'accoucher dans des hôpitaux c'est super je vous admire, j'avais trop peur pour le faire. Autour de moi beaucoup de femmes y renoncent pour le deuxième parce que leurs droits n'ont pas été respectés au premier à base de soignants qui grimpent sur des tabourets pour appuyer leur genou sur le ventre de la patiente pour faire descendre le bébé, apparemment c'est plutôt douloureux et plutôt interdit aussi. Plainte à l'ordre des médecins déposée en 2015 et toujours pas traitée.
Des accouchements déclenchés parce que l'anesthésiste n'est pas dispo le soir et des masques tenus de force sur le visage de la patiente durant l'accouchement (après c'est vrai que c'est pas trop trop un effort physique d'accoucher). Des refus de choisir sa position parce que pas pratique pour les soignants...
Pour moi la sécurité du bébé ne doit pas passer au dessus du respect de l'intégrité de la mère c'est aussi simple que ça. Je ne fais pas du shaming des femmes qui accouchent à l'hopital (choisi ou subi), je dis juste qu'utiliser cet argument (en premier dans les articles que j'ai lu) ne doit pas être un motif pour retirer et traumatiser un enfant et ses parents ( à côté de ça j'ai fait une info préoccupantes pour un élève qui a des brulures de cigarettes sur les deux bras et est très "maladroit", il "tombe" souvent et marque facilement selon selon lui, j'ai appelé le 119 et toujours rien 5 mois plus tard. J'ai même appelé la gendarmerie ils me disent que l'affaire suit son cour... On arrive à la fin de l'année... Si leurs enfants sont vraiment maltraités c'est génial que le système ait marché pour une fois. Si c'est juste parce qu'on les soupçonne d'être des vilains hippies hostiles au tout médical ça questionne un peu plus, sur le droit des femmes notamment.
Quand la mienne est sortie, elle était sale elle sentait mauvais mais je l'ai gardé 15 minutes sur moi le temps de réaliser et c’était un des moments les plus forts de ma vie, j'ai des amies à qui on a arraché ce moment parce qu'il fallait se dépêcher de les nettoyer et peser je trouve ça nul.
Je précise hein quand nous sommes malades on va voir le docteur, on a toutes les deux nos vaccins à jours et même qu'elle a pris des antibios pour son infection urinaire, je la soigne pas au cranberry.
Et si c'était dû à un soupçon de mère porteuse ou autre une analyse de sang et c'était réglé...
On avait été outrées à juste titre des examens gynécos forcés subit par des femmes au Quatar pour retrouver la mère de l'enfant mort né bah là c'est un peu pareil.
Est-ce qu'en France on peut vraiment nous obliger à subir un examen gynéco contre notre volonté? Vraie question, je pensais naïvement que mes droits seraient respectés quoiqu'il arrive mais apparemment c'est à géométrie variable.
Je le redis je ne culpabilise personne (j'ai plutôt vu le contraire ici) et ceux qui choisissent d'accoucher dans des hôpitaux c'est super je vous admire, j'avais trop peur pour le faire. Autour de moi beaucoup de femmes y renoncent pour le deuxième parce que leurs droits n'ont pas été respectés au premier à base de soignants qui grimpent sur des tabourets pour appuyer leur genou sur le ventre de la patiente pour faire descendre le bébé, apparemment c'est plutôt douloureux et plutôt interdit aussi. Plainte à l'ordre des médecins déposée en 2015 et toujours pas traitée.
Des accouchements déclenchés parce que l'anesthésiste n'est pas dispo le soir et des masques tenus de force sur le visage de la patiente durant l'accouchement (après c'est vrai que c'est pas trop trop un effort physique d'accoucher). Des refus de choisir sa position parce que pas pratique pour les soignants...
Pour moi la sécurité du bébé ne doit pas passer au dessus du respect de l'intégrité de la mère c'est aussi simple que ça. Je ne fais pas du shaming des femmes qui accouchent à l'hopital (choisi ou subi), je dis juste qu'utiliser cet argument (en premier dans les articles que j'ai lu) ne doit pas être un motif pour retirer et traumatiser un enfant et ses parents ( à côté de ça j'ai fait une info préoccupantes pour un élève qui a des brulures de cigarettes sur les deux bras et est très "maladroit", il "tombe" souvent et marque facilement selon selon lui, j'ai appelé le 119 et toujours rien 5 mois plus tard. J'ai même appelé la gendarmerie ils me disent que l'affaire suit son cour... On arrive à la fin de l'année... Si leurs enfants sont vraiment maltraités c'est génial que le système ait marché pour une fois. Si c'est juste parce qu'on les soupçonne d'être des vilains hippies hostiles au tout médical ça questionne un peu plus, sur le droit des femmes notamment.
Quand la mienne est sortie, elle était sale elle sentait mauvais mais je l'ai gardé 15 minutes sur moi le temps de réaliser et c’était un des moments les plus forts de ma vie, j'ai des amies à qui on a arraché ce moment parce qu'il fallait se dépêcher de les nettoyer et peser je trouve ça nul.
Je précise hein quand nous sommes malades on va voir le docteur, on a toutes les deux nos vaccins à jours et même qu'elle a pris des antibios pour son infection urinaire, je la soigne pas au cranberry.