@aleeks J'ai vécu la plupart de tes doutes puis j'ai vécu la réalité de la grossesse et de l'après avec un bébé. Et ma réponse c'est : ça dépend. Ça dépend de toi, de ton entourage, des personnes que tu vas rencontrer, de la façon dont ta grossesse et ton accouchement se dérouleront, du "modèle" de bébé que tu auras... Et tout ça on ne peut le savoir qu'une fois qu'on est lancés.
Professionnellement, je pense que c'est faisable de continuer avec de gros horaires et des responsabilités (j'ai au moins une MadZ en tête qui gère ça nickel) SI ton conjoint te suit. Dans mon cas ce n'était pas possible, mon chéri travaille à Paris et moi en province, donc j'ai toute la logistique bébé à gérer seule la semaine. J'ai préféré prendre un poste avec moins de responsabilités tant qu'il est petit.
Pour les hormones, je plussoie @Ploue : si ton arrêt de pilule est récent, il faut laisser le temps à ton corps de retrouver son vrai rythme et il y a peut-être d'autres causes médicales à tes maux.
Pour les "bonnes raisons", j'en suis venue à croire qu'elles ne sont jamais universellement bonnes. On n'est jamais vraiment prêts. On prend ce qui vient puis on fait avec, pour le pire et pour le meilleur !
Concernant les niaiseries autour de la parentalité et de l'éducation, éloigne-toi des généralités, de la presse grand public et tu verras qu'il existe d'autres choses, et surtout ta parentalité sera ce que tu en feras dans ta relation avec ton bébé et ta manière de l'éduquer.
Quant aux violences médicales, elles existent bien sûr, et le risque est présent comme chaque fois qu'on consulte un professionnel de santé. On peut aussi tomber sur de chouettes personnes. Si ta grossesse se déroule bien, tu pourras l'imiter les interactions au minimum. Perso j'avais même pris la liberté de refuser un examen soi-disant obligatoire.
Pour ce que je craignais le plus et qui a en effet été l'une des choses les plus dures, c'est la solitude. Je suis assez isolée géographiquement de mes quelques ami•es et je ne peux pas compter sur ma famille, assez loin aussi. Résultat : impossible de passer le relais quand j'étais au bord du gouffre.
En espérant t'avoir aidée !
Professionnellement, je pense que c'est faisable de continuer avec de gros horaires et des responsabilités (j'ai au moins une MadZ en tête qui gère ça nickel) SI ton conjoint te suit. Dans mon cas ce n'était pas possible, mon chéri travaille à Paris et moi en province, donc j'ai toute la logistique bébé à gérer seule la semaine. J'ai préféré prendre un poste avec moins de responsabilités tant qu'il est petit.
Pour les hormones, je plussoie @Ploue : si ton arrêt de pilule est récent, il faut laisser le temps à ton corps de retrouver son vrai rythme et il y a peut-être d'autres causes médicales à tes maux.
Pour les "bonnes raisons", j'en suis venue à croire qu'elles ne sont jamais universellement bonnes. On n'est jamais vraiment prêts. On prend ce qui vient puis on fait avec, pour le pire et pour le meilleur !
Concernant les niaiseries autour de la parentalité et de l'éducation, éloigne-toi des généralités, de la presse grand public et tu verras qu'il existe d'autres choses, et surtout ta parentalité sera ce que tu en feras dans ta relation avec ton bébé et ta manière de l'éduquer.
Quant aux violences médicales, elles existent bien sûr, et le risque est présent comme chaque fois qu'on consulte un professionnel de santé. On peut aussi tomber sur de chouettes personnes. Si ta grossesse se déroule bien, tu pourras l'imiter les interactions au minimum. Perso j'avais même pris la liberté de refuser un examen soi-disant obligatoire.
Pour ce que je craignais le plus et qui a en effet été l'une des choses les plus dures, c'est la solitude. Je suis assez isolée géographiquement de mes quelques ami•es et je ne peux pas compter sur ma famille, assez loin aussi. Résultat : impossible de passer le relais quand j'étais au bord du gouffre.
En espérant t'avoir aidée !
