@SucreSucces
Si l'on est devenue sociable et charismatique malgrè un harcèlement pourquoi se plaindre??
Est ce une vrai question??
Si une fille se fait violer et s'en remet, et vie une vie heureuse, pourquoi se plaindre!!
Le harcèlement dont j'ai été victime n'a jamais été très poussé, je n'ai pleuré qu'une fois à cause de mes harceleurs, et pas devant eux non, chez moi, un soir. J'ai eu une adolescence plutôt heureuse car j'avais des amis hors des collèges où je me faisais harcelée, et plus tard je me suis fait des amis aussi dans mes établissements scolaires; Aujourd'hui je fais un boulot qui me passionne, des loisirs que j'adore, je suis mariée avec un homme incroyable, j'attends mon premier enfant, j'ai des ami(e)s que je connais depuis des années et en qui j'ai une confiance absolue, et je suis heureuse de me lever chaque matin et je suis consciente de ma propre valeur.
Et je me plains, j'ose me plaindre!! incroyable!
Mais oui j'ose me plaindre, j'ose dire "ce qu'on m'a fait été mal, c'était inacceptable, il faut que cela cesse et qu'il n'y ait plus une seule victime". J'ose dire: ils avaient tort. J'ose dire que je n'étais pas le problème, que je n'ai pas à me justifier ni devant eux ni devant toi ni devant qui que ce soit de ce qui est arrivé parce que je n'étais pas coupable, j'étais victime, choisie sans raison valable par des jeunes qui voulaient se donner l'illusion de contrôler quelque chose, d'être forts, et qui prétendaient, exactement comme tu le fais, que le problème c'était moi.
Alors je vais arrêter maintenant de t'expliquer mon points de vue puisque tu ne sembles même pas lire mes messages (comme celui là qui répond aux questions que tu me poses juste après http://forums.madmoizelle.com/reactions-aux-articles/77114-harcelement-scolaire-parole-aux-harceleuses-9/?redirect=1#post4260889 )
et je vais réagir avec toi comme je l'ai toujours fait avec les harceleurs, ce qui n'a pas mal marché quoi que tu en dises, puisqu'ils ne m'ont jamais profondément blessés, en arrêtant d’accorder de l'importance à tes propos, en te laissant pérorer dans le vide, et en allant poursuivre ce débat ou un autre avec des gens qui manifestent du respect pour autrui.
Si l'on est devenue sociable et charismatique malgrè un harcèlement pourquoi se plaindre??
Est ce une vrai question??
Si une fille se fait violer et s'en remet, et vie une vie heureuse, pourquoi se plaindre!!
Le harcèlement dont j'ai été victime n'a jamais été très poussé, je n'ai pleuré qu'une fois à cause de mes harceleurs, et pas devant eux non, chez moi, un soir. J'ai eu une adolescence plutôt heureuse car j'avais des amis hors des collèges où je me faisais harcelée, et plus tard je me suis fait des amis aussi dans mes établissements scolaires; Aujourd'hui je fais un boulot qui me passionne, des loisirs que j'adore, je suis mariée avec un homme incroyable, j'attends mon premier enfant, j'ai des ami(e)s que je connais depuis des années et en qui j'ai une confiance absolue, et je suis heureuse de me lever chaque matin et je suis consciente de ma propre valeur.
Et je me plains, j'ose me plaindre!! incroyable!
Mais oui j'ose me plaindre, j'ose dire "ce qu'on m'a fait été mal, c'était inacceptable, il faut que cela cesse et qu'il n'y ait plus une seule victime". J'ose dire: ils avaient tort. J'ose dire que je n'étais pas le problème, que je n'ai pas à me justifier ni devant eux ni devant toi ni devant qui que ce soit de ce qui est arrivé parce que je n'étais pas coupable, j'étais victime, choisie sans raison valable par des jeunes qui voulaient se donner l'illusion de contrôler quelque chose, d'être forts, et qui prétendaient, exactement comme tu le fais, que le problème c'était moi.
Alors je vais arrêter maintenant de t'expliquer mon points de vue puisque tu ne sembles même pas lire mes messages (comme celui là qui répond aux questions que tu me poses juste après http://forums.madmoizelle.com/reactions-aux-articles/77114-harcelement-scolaire-parole-aux-harceleuses-9/?redirect=1#post4260889 )
et je vais réagir avec toi comme je l'ai toujours fait avec les harceleurs, ce qui n'a pas mal marché quoi que tu en dises, puisqu'ils ne m'ont jamais profondément blessés, en arrêtant d’accorder de l'importance à tes propos, en te laissant pérorer dans le vide, et en allant poursuivre ce débat ou un autre avec des gens qui manifestent du respect pour autrui.