@Cépamoi
En fait je pense que j'ai du mal à comprendre ce que signifie ce "en vrai" car il est internalisé à l'extrême (il s'agit bien de savoir comment "se sent" ou "se définit" ou même "se vit" chaque personne...) et je trouve plus facile, dans l'intérêt d'avoir un cadre commun, de parler de choses moins "intimes/personnelles" et plus "communes/universelles".
Exemple très con: un "enfant sauvage" élevé par des loups (j'ai bien dit que mon exemple était très con!) ne va pas se définir ou se reconnaître ou se désigner comme blond, brun, roux, ni comme gros, grand, petit, etc... chacun de ces traits distinctifs externes ne peut être défini que dans un cadre de référence.
Dans la même logique, est-ce qu'une personne vivant et grandissant dans une société sans genres (rêvons un peu) pourrait se "sentir" d'un genre quel qu'il soit...?
Après sur la question de l'écriture inclusive (revenons-en donc au sujet de départ...) je suis à fond pour, mais je favoriserais une optique de "neutrification" et je rejoins parfaitement Madhiko quand elle dit que le langage ne devrait pas se mêler d'une question aussi floue (différentes définitions de ce qu'est le genre selon les individus) et aussi intime.
En fait je pense que j'ai du mal à comprendre ce que signifie ce "en vrai" car il est internalisé à l'extrême (il s'agit bien de savoir comment "se sent" ou "se définit" ou même "se vit" chaque personne...) et je trouve plus facile, dans l'intérêt d'avoir un cadre commun, de parler de choses moins "intimes/personnelles" et plus "communes/universelles".
Exemple très con: un "enfant sauvage" élevé par des loups (j'ai bien dit que mon exemple était très con!) ne va pas se définir ou se reconnaître ou se désigner comme blond, brun, roux, ni comme gros, grand, petit, etc... chacun de ces traits distinctifs externes ne peut être défini que dans un cadre de référence.
Dans la même logique, est-ce qu'une personne vivant et grandissant dans une société sans genres (rêvons un peu) pourrait se "sentir" d'un genre quel qu'il soit...?
Après sur la question de l'écriture inclusive (revenons-en donc au sujet de départ...) je suis à fond pour, mais je favoriserais une optique de "neutrification" et je rejoins parfaitement Madhiko quand elle dit que le langage ne devrait pas se mêler d'une question aussi floue (différentes définitions de ce qu'est le genre selon les individus) et aussi intime.