@Arwene @Margay
Moi je pense clairement que l'huile de palme n'est pas nécessaire.
L'huile de palme, au final, c'est surtout incorporé dans des préparations, des produits tout prêts.
Quand on peut cuisiner soi même, concrètement, je n'ai encore jamais vu quelqu'un me montrer sa recette avec huile de palme. Les autres huiles sont utilisées, mais ça reste des quantités plutôt relatives face à un plat préparé qui en contient souvent bien trop (Ca a beaucoup d'intérêt pour le secteur de l'agro, que ce soit économique, mais pas juste car peu chère, mais surement qu'elle permet aussi de remplacer/bourrer un produit/modifier son poids ou que sais plus facilement, en bref rendement maximal).
Au final ça soulève le sempiternel problème de la malbouffe et de la cuisine préparée (Plats Marie et compagnie). Si on nous donnait le temps de pouvoir cuisiner, le choix de vrais et bons produits à un prix convenable pour tous (De l'agriculteur au consommateur), l'huile de palme n'existerait même pas, ou pas dans des quantités et dans un désastre connu comme aujourd'hui.
Moi je pense clairement que l'huile de palme n'est pas nécessaire.
L'huile de palme, au final, c'est surtout incorporé dans des préparations, des produits tout prêts.
Quand on peut cuisiner soi même, concrètement, je n'ai encore jamais vu quelqu'un me montrer sa recette avec huile de palme. Les autres huiles sont utilisées, mais ça reste des quantités plutôt relatives face à un plat préparé qui en contient souvent bien trop (Ca a beaucoup d'intérêt pour le secteur de l'agro, que ce soit économique, mais pas juste car peu chère, mais surement qu'elle permet aussi de remplacer/bourrer un produit/modifier son poids ou que sais plus facilement, en bref rendement maximal).
Au final ça soulève le sempiternel problème de la malbouffe et de la cuisine préparée (Plats Marie et compagnie). Si on nous donnait le temps de pouvoir cuisiner, le choix de vrais et bons produits à un prix convenable pour tous (De l'agriculteur au consommateur), l'huile de palme n'existerait même pas, ou pas dans des quantités et dans un désastre connu comme aujourd'hui.