Je me demande si l'éradication des rapports de domination est possible ou restera à jamais une utopie.
Parce que partant d'un constat personnel, j'ai plutôt l'impression que c'est le deuxième choix, parce que même au sein des groupes à priori homogènes d'oppresseurs ou d'oppressés, il y a un rapport de domination qui se crée. On en avait discuté dans le cercle LGBT+ que je fréquente. Naïvement, je pensais que ce genre de groupe avait balayé toute logique de domination, sauf que pas du tout, il les a recréés, notamment les hommes gays vs lesbiennes, homo vs bi, hommes virils vs «fofolles», etc... C'est comme si les rapports de force étaient inscrits dans notre mémoire génétique bien avant que nous ne devenions homo sapiens et nous avaient irrémédiablement condamnés à avoir des rapports inégalitaires. Est-ce que ça se tient d'un point de vue anthropologique ?
Parce que partant d'un constat personnel, j'ai plutôt l'impression que c'est le deuxième choix, parce que même au sein des groupes à priori homogènes d'oppresseurs ou d'oppressés, il y a un rapport de domination qui se crée. On en avait discuté dans le cercle LGBT+ que je fréquente. Naïvement, je pensais que ce genre de groupe avait balayé toute logique de domination, sauf que pas du tout, il les a recréés, notamment les hommes gays vs lesbiennes, homo vs bi, hommes virils vs «fofolles», etc... C'est comme si les rapports de force étaient inscrits dans notre mémoire génétique bien avant que nous ne devenions homo sapiens et nous avaient irrémédiablement condamnés à avoir des rapports inégalitaires. Est-ce que ça se tient d'un point de vue anthropologique ?
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