Je me demande...

[Ogg nounou Ogg]

@sunnyna si tu prends de la blanche c'est moins pire, mais ça laisse encore une trace huileuse dégeu au bout d'un moment. Et honnètement, je ne vois pas trop comment ils pourraient faire pour que ça disparaisse, vu que c'est justement ce qui permet à cette pâte de rester pâteuse et adhérente.

 

[Glov']

@Tata Nini Merci, effectivement ça semble logique, je vais donc m'abstenir !

 

[MorganeGirly]

@Jester. Je ne suis pas sûre d'avoir complètement compris ton questionnement, mais chez moi la partie psychologique/émotionnelle du SPM est très variable d'un mois à l'autre. Si je ne suis ni fatiguée ni stressée de base juste avant l'arrivée de mes règles, il y a de grandes chances que je n'ai pas de "saute d'humeur" ou de phase de découragement, mais si je suis déjà dans un mauvais "down", ça peut aggraver fortement ce ressenti. Parfois, j'ai l'impression que ça me fait me sentir triste alors que j'allais bien, mais comme certains mois je ne ressens rien du tout alors que d'autres c'est assez fort, j'aurais tendance à dire que ce n'est pas du tout dans ma tête, c'est juste que différents facteurs vont influencer la puissance de mon SPM. De manière générale, quand j'ai des sautes d'humeur de SPM, ça ne sort pas non plus de nulle part, c'est juste que certains sentiments négatifs sont amplifiés mais ces sentiments sont bien réels. Donc c'est peut-être pour ça que parfois, tu doutes de son réel impact sur ton état d'esprit : c'est possible que certains mois ça ne te fasse en fait pas grand-chose mais ça ne veut pas dire que d'autres mois, ça ne t'affecte pas plus fortement!
Et de mon côté, le fait d'être capable d'anticiper mes sautes d'humeur a plutôt eu un effet apaisant dans le sens où si maintenant je me sens extrêmement mal et déprimée pour quelque chose qui n'est objectivement pas si dramatique et que je sais que mes règles sont proches, ça m'aide beaucoup à relativiser et prendre de la distance de savoir que mon sentiment de mal-être va probablement se dissiper tout seul d'ici peu. Donc j'aurais tendance à avoir l'impression inverse de toi (le fait de prédire m'aide à diminuer la morosité)!

 

[Pipistrelle.]

Niveau émotions pendant le cycle, j'ai longtemps été attentive au SPM exclusivement, mais après l'arrêt de la pilule j'ai réalisé que j'avais des phases où j'étais de particulièrement bonne humeur et j'ai capté que ça pouvait coïncider avec l'ovulation. Déjà elle se manifeste par un très gros pic de libido et de façon générale j'ai l'impression d'être moins atteinte par les emmerdes du quotidien. Tout ce qui me ferait chier habituellement me glisse dessus parce que je me sens bien et de bonne humeur. C'est aussi la phase où je me sens la plus amoureuse de mon copain, il m'apparaît auréolé de toutes ses qualités et je le trouve tellement génial et merveilleux qu'il faudrait le monter sur une épingle à cravate tel un petit diamant
Et puis une fois l'ovulation passée ça retombe, hein Après il y a peut-être une part d'auto-réalisation comme tu le dis @Jester. , mais pour le coup, dans cette phase-là c'est plutôt positif!

S'agissant du SPM par contre, j'ai presque l'impression inverse : je traverse une phase d'humeur morose, je check la phase de mon cycle et je me dis "ah bah cherche pas plus loin, c'est les hormones". Mais du coup je me demande si parfois les hormones elles ont pas un peu bon dos pour expliquer ma déprime et si c'est pas une façon de relativiser un mal-être dont j'ai pas envie de m'occuper Enfin généralement le poids que je peux ressentir s'envole avec l'arrivée des règles, donc je considère que c'est peut-être bien mon cycle après tout. Mais bref, tout ça pour dire moi aussi je m'interroge sur la part de psychologique dans tout ça.

 

[Amarillo]

Je me demande si c'est un truc de parisiens d'emménager assez rapidement avec son copain/sa copine (ce qui s'expliquerait aisément par le prix des loyers qui pousse à vivre à plusieurs (perso les deux fois où j'ai emménagé en couple c'était très motivé par l'idée d'économiser des sous))... Ou si c'est juste un truc de MON entourage parisien .

Je m'explique : j'ai emménagé avec mon mec après 8 mois ensemble, et la plupart des gens que je côtoie ont emménagé en couple après + ou - un an de relation. Les deux seuls couples que je connais, ensemble depuis un an et demi ou plus qui ne vivent pas ensemble m'ont clairement dit avoir CHOISI de ne pas vivre ensemble sur le long terme.

Bref pour moi, vivre ensemble rapidement c'était la norme de mon entourage (on a 25/30 ans environ), et je me rends compte en lisant pas mal de témoignage que beaucoup de personnes passent des années en couple sans jamais vivre ensemble. Du coup vrai question, par chez vous, comment ça se passe ? Est-ce moi qui ai une vision totalement biaisée ?

 

[Vogel]

@Jauneparapluie Je dirais que ça dépend de quand les deux personnes se sont mises ensemble. Je connais des couples qui n'ont pas vécu en couple plusieurs années alors qu'ils étaient avec quelqu'un parce qu'ils étaient étudiants dans des villes différentes ou qu'ils travaillaient dans des villes différentes. Par contre, les études passées, et s'ils vivaient dans la même ville, la plupart des couples que je connais se sont installés ensemble autour de 10 mois / 1 an aussi, en "province". Sinon les couples que je connais qui choisissent de ne pas vivre ensemble sur plusieurs années sont souvent ceux qui ont déjà des enfants de quelqu'un d'autre.

 

[Membre supprimé 128106]

Je me demande, en cas de carence en iode, si passer une (ou plutôt plusieurs) journée à la mer suffit à raviver sa jauge d'iode pour l'année ou s'il faut d'office de l'iode sous forme d'alimentation / complément ?

 

[Rocksteady]

@Jauneparapluie

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[Amarillo]

@Vogel et @Rocksteady Merci pour vos réponses !
Je me faisais cette réflection parce que j'ai l'impression de lire très régulièrement sur le topic des amoureuses des histoires de personnes en couples depuis des années et qui ne vivent pas ensemble (sans pour autant être à distance), ou qui parlent de "peut être s'installer ensemble" après 3 ou 4 ans de couple (ce qui me semble un peu "tard" (je le dis sans jugement) par rapport à ce que j'ai l'habitude de voir autour de moi), et je finissais par me demander si c'était mes potes et moi les chelous à vivre ensemble assez rapidement, si c'était un truc de région où se loger coute cher, ou si c'est juste un échantillon qui ne correspond effectivement pas à ce que je vois habituellement.

 

[Whitemountain]

@Jauneparapluie J'ai une amie qui a emménagé au bout de 3 mois chez son copain (maintenant ex) et clairement tout allait très vite dans leur relation mais c'était aussi parce que c'était à Paris et qu'elle a préféré emménager chez lui plutôt que de chercher une coloc avec des inconnu.e.s.
Sinon autour de moi mes potes en couple ont emménagé au bout de 2 ou 3 ans, un pote au bout de 5/6 ans.

Moi ça fait 9 ans que je suis avec mon copain mais comme je ne suis pas dans la même ville, il n'y a pas de débat. Le truc c'est que je ressens une pression ou un questionnement très gênant des gens (amis de mes parents voire certaines de mes amies) sur le fait que je ne vive pas avec lui (oui parce que l'inverse serait impossible bien sûr ) et ça me saoule.

 

[PetitePaille]

@Jauneparapluie

Je pense que ça dépend de la relation aussi.
Avec mon copain dès le début on était très fusionnel et on se voyait tous les jours donc on a vite emménagé ensemble car c’était complètement stupide de payer 2 apparts alors que l’un servait à rien. Je suis pas sure que si on avait habité en dehors de paris ça aurait changé grand chose.

 

[Whitemountain]

@Lord Griffith Oui, c'est usant qu'on essaie de te montrer qu'il y a un "problème" dans ta relation, mais mon copain et moi ça marche très bien malgré tout donc