Je me demande...
- Initiateur de la discussion Lemon Juice
- Date de début
Je me demande comment fonctionnent les maillots de bain menstruels.
Quand on porte un maillot normal, notre vagin est quand même en contact direct avec l'eau. Donc porter un maillot de bain menstruel va juste rien servir pour quand on ne se baigne pas, c'est ça ? Car on continue à mettre notre sang dans l'eau, sauf avec si on met un truc qui bloque comme un tampon ou une cup ?
Je sais pas si ma réflexion est correcte...
Quand on porte un maillot normal, notre vagin est quand même en contact direct avec l'eau. Donc porter un maillot de bain menstruel va juste rien servir pour quand on ne se baigne pas, c'est ça ? Car on continue à mettre notre sang dans l'eau, sauf avec si on met un truc qui bloque comme un tampon ou une cup ?
Je sais pas si ma réflexion est correcte...
Je lisais l'article sur la MadZ qui a des identités multiples l'autre jour et ça m'a fait me demander une question qui me trottait un peu en tête depuis un moment : comment on fait la différence entre "c'est ma personnalité" et "j'ai des troubles psy"? Dites-moi si je suis maladroite dans la suite de mon message, je n'ai vraiment aucun jugement dans ma tête mais je connais mal le sujet donc je dis peut-être des choses déplacées et si c'est le cas, je m'excuse d'avance!
Je pense perso pas avoir une personnalité particulièrement hors norme ni troubles psys donc c'est pas vraiment pour moi que je me pose la question, mais c'est plus pour les gens autour de moi que je me pose la question (certains de mes amis ont parfois des comportements que je qualifierais d'un peu extrêmes). D'habitude, je me dis souvent "elle est comme ça" et j'essaye d'être juste la plus tolérante possible. Mais dans quelle mesure on ne devrait pas signaler aux gens autour de nous "ça ne me parait pas tout à fait normal de se comporter comme ça/ressentir ça dans ce contexte, tu devrais peut-être vérifier ça auprès d'un professionnel" (enfin je dis normal faute d'un autre mot, mais c'est bien sûr pas pour dire que mes amis sont anormaux) et dans quelle mesure on doit juste se dire que c'est simplement leur façon d'aborder la vie?
Aussi l'autre jour, ma coloc stressait à mort pour un truc, et ça commençait à me stresser, et je lui ai dit que c'est pas grave, chill, faut qu'on se détende un peu et prendre les choses comme elles viennent car on ne peut pas contrôler cette situation. Elle m'a répondu "c'est ma personnalité Morgane de stresser pour tout, j'y peux rien, c'est comme ça!" en mode "ne m'en empêche pas". Sauf qu'elle m'a dit elle-même avoir été diagnostiquée comme ayant des troubles de l'anxieté, et du coup, je me demandais dans son cas dans quelle mesure on est censée accepter qu'on sera forcément anxieuse pour un truc pas grave et se livrer à cette anxieté ("je suis comme ça, c'est tout") et dans quelle mesure on peut essayer de travailler là-dessus en se disant que ce n'est pas une situation forcément souhaitable? Je connais pas les problèmes d'anxieté donc j'essaye absolument pas de la secouer, je précise, mais je savais pas trop si j'étais légitime pour dire "stop les ruminations" (vu que ça me concernait et ça m'affectait) et d'essayer de la calmer ou si c'était pas tolérant justement?
Bref, après avoir lu cet article, je me suis dit que c'était quand même délicat parfois de faire la différence entre quelqu'un d'un peu atypique ou excentrique et quelqu'un qui a besoin d'un suivi psy
Et même moi, si je me trouve tout à fait dans la norme, peut-être qu'il y a des choses moins "normales" qui m'arrive et comme la Madz qui témoignait, je ne m'en rends pas compte car personne ne me le fait jamais remarquer
Je pense perso pas avoir une personnalité particulièrement hors norme ni troubles psys donc c'est pas vraiment pour moi que je me pose la question, mais c'est plus pour les gens autour de moi que je me pose la question (certains de mes amis ont parfois des comportements que je qualifierais d'un peu extrêmes). D'habitude, je me dis souvent "elle est comme ça" et j'essaye d'être juste la plus tolérante possible. Mais dans quelle mesure on ne devrait pas signaler aux gens autour de nous "ça ne me parait pas tout à fait normal de se comporter comme ça/ressentir ça dans ce contexte, tu devrais peut-être vérifier ça auprès d'un professionnel" (enfin je dis normal faute d'un autre mot, mais c'est bien sûr pas pour dire que mes amis sont anormaux) et dans quelle mesure on doit juste se dire que c'est simplement leur façon d'aborder la vie?
Aussi l'autre jour, ma coloc stressait à mort pour un truc, et ça commençait à me stresser, et je lui ai dit que c'est pas grave, chill, faut qu'on se détende un peu et prendre les choses comme elles viennent car on ne peut pas contrôler cette situation. Elle m'a répondu "c'est ma personnalité Morgane de stresser pour tout, j'y peux rien, c'est comme ça!" en mode "ne m'en empêche pas". Sauf qu'elle m'a dit elle-même avoir été diagnostiquée comme ayant des troubles de l'anxieté, et du coup, je me demandais dans son cas dans quelle mesure on est censée accepter qu'on sera forcément anxieuse pour un truc pas grave et se livrer à cette anxieté ("je suis comme ça, c'est tout") et dans quelle mesure on peut essayer de travailler là-dessus en se disant que ce n'est pas une situation forcément souhaitable? Je connais pas les problèmes d'anxieté donc j'essaye absolument pas de la secouer, je précise, mais je savais pas trop si j'étais légitime pour dire "stop les ruminations" (vu que ça me concernait et ça m'affectait) et d'essayer de la calmer ou si c'était pas tolérant justement?
Bref, après avoir lu cet article, je me suis dit que c'était quand même délicat parfois de faire la différence entre quelqu'un d'un peu atypique ou excentrique et quelqu'un qui a besoin d'un suivi psy
Et même moi, si je me trouve tout à fait dans la norme, peut-être qu'il y a des choses moins "normales" qui m'arrive et comme la Madz qui témoignait, je ne m'en rends pas compte car personne ne me le fait jamais remarquer
@Prouk Ha oui, c'est vraiment très très très limité du coup ^^ Je suis un peu déçue, je m'attendais à un effet magique qui permettrait enfin de ne pas devoir faire attention en se baignant ^^
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@Going Merry Demande-leur pourquoi ils veulent ces documents. Autrement, tu n'es pas tenue de leur donner en temps normal.
S
Sadala
Guest
Oh, je suis vraiment surprise là...
Je pensais que c'était comme les séances psys ou les confessions aux prêtres ? Si un patient confie un crime par exemple, le secret professionnel s'applique. Mais si il confie un projet de meurtre ou une séquestration en cours pour reprendre cet exemple ce serait de la non assistance en personne en danger de ne rien dire ?
Mais ce cynisme...
Dernière modification par un modérateur :
@Going Merry Je ne comprend pas l'intérêt. L'employeur n'a pas à connaître l'ancien salaire de son employé. Le salaire se négocie entre ce que veux l'employé et ce qu'est disposé à offrir l'employeur et/ou le salaire barémique du poste ...
@MorganeGirly Ton questionement fait écho à une discussion que j'ai une avec une amie il y a quelques mois. Je m'étais dit que je le partagerai ici (ou sur "Ca me perturbe"), et puis je n'y ai plus pensé. Peut être que ca t'apportera des éléments de réponse, et peut être que tu pourras répondre à mon propre questionement.
Du coup: ca me perturbe / je me demande: Qu'est ce qui motive les gens qui te posent un diagnostic psychiatrique sorti de nulle part?
Tu vis ta vie tranquile, sans rien demander à personne, quand tout à coup on te sort "Je pense que tu es bipolaire/autiste/TDAH/etc."
Je ne peux clairement pas répondre pour tout le monde, mais je pense que si la personne ne souffre pas de ses supposés différences, si elle vit normalement son quotidien, quel est l'intérêt de lui dire qu'elle a possiblement des troubles psychiatriques? Comment vas tu aborder le sujet? Est ce que tu attends que les gens t'analysent en retour?
Ta coloc été diagnostiquée, donc elle connait la situation. Le problème des diagnostics, c'est que souvent la solution proposée est de prendre des médicaments, en continu ou lors d'une crise.
Sauf que justement, les gens diagnostiqués peuvent avoir les mêmes questionnements que toi. Qu'est ce qui fait partie de la maladie? Qu'est ce qui fait partie de ma personnalité? Est ce que je serai encore moi même si je prends des médicaments? Et c'est sans compter les effets secondaires des médocs
Sinon, moment psychologie de comptoir, j'imagine que si:
1) tu te sens normale,
2) personne ne t'a jamais dit ou fait comprendre que tu étais différente,
il y a de bonnes chances pour que tu sois normale! (whatever that means) Enjoy!
Du coup: ca me perturbe / je me demande: Qu'est ce qui motive les gens qui te posent un diagnostic psychiatrique sorti de nulle part?
Tu vis ta vie tranquile, sans rien demander à personne, quand tout à coup on te sort "Je pense que tu es bipolaire/autiste/TDAH/etc."
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Je ne peux clairement pas répondre pour tout le monde, mais je pense que si la personne ne souffre pas de ses supposés différences, si elle vit normalement son quotidien, quel est l'intérêt de lui dire qu'elle a possiblement des troubles psychiatriques? Comment vas tu aborder le sujet? Est ce que tu attends que les gens t'analysent en retour?
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Ta coloc été diagnostiquée, donc elle connait la situation. Le problème des diagnostics, c'est que souvent la solution proposée est de prendre des médicaments, en continu ou lors d'une crise.
Sauf que justement, les gens diagnostiqués peuvent avoir les mêmes questionnements que toi. Qu'est ce qui fait partie de la maladie? Qu'est ce qui fait partie de ma personnalité? Est ce que je serai encore moi même si je prends des médicaments? Et c'est sans compter les effets secondaires des médocs
Sinon, moment psychologie de comptoir, j'imagine que si:
1) tu te sens normale,
2) personne ne t'a jamais dit ou fait comprendre que tu étais différente,
il y a de bonnes chances pour que tu sois normale! (whatever that means) Enjoy!
I
Iseult la rousse
Guest
Ça fait trois personnes (psychologue rencontrée dans le cadre d'une chir bariatrique finalement pas faite, gyneco/sexologue, psychologue scolaire qui est ma collègue par intermittence) qui me demandent, pratiquement la première fois qu'on se parle, si j'ai été diagnostique HPI. Bha non, j'ai jamais passé de test, et disons que le sujet est touchy en ce moment : j'étais une bonne élève au lycée, mais à forte tendance à la dépression (pas diagnostiquée évidemment, malgré trois tentatives de suicide en cinq ans...), puis une an'ee de prepa m'a totalement cassée, j'ai enchaîné sur la fac, raté le Capes trois fois, été diagnostiquée bipolaire mais finalement non. Bref, je suis super précaire, je le vis très mal, et m'entendre dire ça alors que j'ai l'impression d'avoir totale en raté ma vie, c'est super difficile.
M
Membre supprimé 128106
Guest
Je me demande comment les gens font pour ne pas se casser la gueule la toute 1ère fois qu'ils essaient un sport un peu casse-cou : skate parc, patinage artistique... Avec la pratique, je comprends, mais la 1ère fois ? Pour moi, c'est genre dingue que tous ces gens soient encore en vie aujourd'hui 
M
Membre supprimé 128106
Guest
@Lizey : Tu crois ? Dans certaines circonstances, ça me paraît si dangereux que même en faisant attention, j'ai du mal à envisager qu'on ne tombe pas tout en se faisant mal 
mais je comprends l'idée, dans une certaine mesure, ça doit être vrai. Ah oui tu fais du roller je pense ? Mais quand tu te lances dans le vide, si tu n'assures pas tout à fait encore le côté technique, même avec de la prudence, comment ça se fait que tu ne te rétames pas ?
Dans certaines circonstances, ça me paraît si dangereux que même en faisant attention, j'ai du mal à envisager qu'on ne tombe pas tout en se faisant mal mais je comprends l'idée, dans une certaine mesure, ça doit être vrai. Ah oui tu fais du roller je pense ? Mais quand tu te lances dans le vide, si tu n'assures pas tout à fait encore le côté technique, même avec de la prudence, comment ça se fait que tu ne te rétames pas ?Discussions similaires
