@PrincessMey
J'ai un peu une dent contre les psychanalystes, donc j'ai certains biais, je préviens.
Ce que tu décris se retrouve chez (trop) de psys et notamment chez les psychanalystes oui. J'en ai consultés plus jeune et j'ai aussi eu des retours de proches assez dubitatifs sur leurs suivis. Les psychanalystes sont souvent réticents à donner directement des conseils (j'ai une amie à qui on a même dit "vous voulez que je vous donne des conseils comme si vous étiez une petite enfant ?"). Leur théorie est de toute manière très abstraite. Dans une de leur école, ils ont tendance à arrêter la séance quand selon eux le patient a atteint un questionnement intéressant auquel il doit réfléchir pour la prochaine fois (une autre amie, au bout de parfois 15min, se voyait entendre "très bien, réfléchissez à ça pour la prochaine fois" alors qu'elle ne savait même pas trop de quoi il parlait).
Je trouve ce que tu décris assez peu respectueux, prendre en compte ce que dit le patient, dans une écoute active, notamment en prenant des notes et les relisant, ça paraît la base. S'intéresser aux demandes qu'il formule explicitement aussi. Tu ne lâches pas 50 euros dans un psy pour avoir l'impression de ne pas être écoutée...
Certaines personnes s'y retrouvent dans la psychanalyse hein, mais d'autres personnes non et repartent déçues de la psychologie en général alors qu'il ne s'agit que d'un courant. J'imagine que tous les psychanalystes ne sont pas comme ça, je sais que j'ai des griefs qui peuvent me flouer, mébon.
Les autres psy que j'ai consultées dans ma vie me prenaient au moins 45 min, me donnaient des conseils, se référaient à des concepts théoriques que je comprenais et que je ne trouvais pas perchés. Si tu penses que cela te conviendrait mieux, tu peux toujours essayer ailleurs. Changer de psy dès le début d'un suivi qui ne nous convient pas, c'est prendre un certain risque oui, mais c'est aussi éviter une perte d'argent, de temps et de motivation si jamais il se trouve que le psy ne nous conviendra jamais...
J'ai un peu une dent contre les psychanalystes, donc j'ai certains biais, je préviens.
Ce que tu décris se retrouve chez (trop) de psys et notamment chez les psychanalystes oui. J'en ai consultés plus jeune et j'ai aussi eu des retours de proches assez dubitatifs sur leurs suivis. Les psychanalystes sont souvent réticents à donner directement des conseils (j'ai une amie à qui on a même dit "vous voulez que je vous donne des conseils comme si vous étiez une petite enfant ?"). Leur théorie est de toute manière très abstraite. Dans une de leur école, ils ont tendance à arrêter la séance quand selon eux le patient a atteint un questionnement intéressant auquel il doit réfléchir pour la prochaine fois (une autre amie, au bout de parfois 15min, se voyait entendre "très bien, réfléchissez à ça pour la prochaine fois" alors qu'elle ne savait même pas trop de quoi il parlait).
Je trouve ce que tu décris assez peu respectueux, prendre en compte ce que dit le patient, dans une écoute active, notamment en prenant des notes et les relisant, ça paraît la base. S'intéresser aux demandes qu'il formule explicitement aussi. Tu ne lâches pas 50 euros dans un psy pour avoir l'impression de ne pas être écoutée...
Certaines personnes s'y retrouvent dans la psychanalyse hein, mais d'autres personnes non et repartent déçues de la psychologie en général alors qu'il ne s'agit que d'un courant. J'imagine que tous les psychanalystes ne sont pas comme ça, je sais que j'ai des griefs qui peuvent me flouer, mébon.
Les autres psy que j'ai consultées dans ma vie me prenaient au moins 45 min, me donnaient des conseils, se référaient à des concepts théoriques que je comprenais et que je ne trouvais pas perchés. Si tu penses que cela te conviendrait mieux, tu peux toujours essayer ailleurs. Changer de psy dès le début d'un suivi qui ne nous convient pas, c'est prendre un certain risque oui, mais c'est aussi éviter une perte d'argent, de temps et de motivation si jamais il se trouve que le psy ne nous conviendra jamais...