Je me demande pourquoi la justice fonctionne aussi mal. J'ai épluché l'actualité judiciaire sur Mad, et plein de choses me font bondir:
-Les condamnations ridiculement insignifiantes. J'ai parfois l'impression que la justice se torche le cul avec le code pénal tant certaines condamnations semblent beaucoup moins sévères que ce dernier, du genre des viols punis d'une somme ridiculement faible et d'une peine de prison anormalement courte, ou un simple rappel à la loi (l'archétype de la condamnation inutile, je ne comprends même pas qu'elle existe tellement elle ne sert à rien). Dans les cas les plus extrême, le condamné, parvient à obtenir un non-lieu malgré les preuves accablantes, juste parce qu'il a les moyens de se payer une trouzaine de cabinets d'avocats, vore -probablement- leur filer des pots de vin.
-La mauvaise foi des avocats. Entre ceux qui excusent un violeur parce que «c'est un excellent nageur», ceux qui disent que le meurtre est «un accident», ceux qui rabaissent gratuitement le plaignant sous des prétextes fallacieux, ceux qui se vantent de conseiller à leur client de mentir (cf le docu «L'avocate du diable»).
-Des plaidoiries à coucher dehors qui fonctionne. Je vais prendre l'exemple d'un procès qui a eu lieu dans ma région sur un cas de vol d'œuvres d'art. La plaidoirie en question ? Tenez-vous bien: «Il a fait ça pour l'amour de l'art» (sic). Et il a été acquitté. Il s'avère que le gars était haut placé dans la politique locale, on peut légitimement penser que ça ait joué.
-Les scores d'audience télévisuels qui semblent légitimer une immunité judiciaire (coucou Zemmour et Hanouna).
Si il y a des pénalistes dans le coin qui ont des explications quant à l'existence d'aussi graves anomalies.
-Les condamnations ridiculement insignifiantes. J'ai parfois l'impression que la justice se torche le cul avec le code pénal tant certaines condamnations semblent beaucoup moins sévères que ce dernier, du genre des viols punis d'une somme ridiculement faible et d'une peine de prison anormalement courte, ou un simple rappel à la loi (l'archétype de la condamnation inutile, je ne comprends même pas qu'elle existe tellement elle ne sert à rien). Dans les cas les plus extrême, le condamné, parvient à obtenir un non-lieu malgré les preuves accablantes, juste parce qu'il a les moyens de se payer une trouzaine de cabinets d'avocats, vore -probablement- leur filer des pots de vin.
-La mauvaise foi des avocats. Entre ceux qui excusent un violeur parce que «c'est un excellent nageur», ceux qui disent que le meurtre est «un accident», ceux qui rabaissent gratuitement le plaignant sous des prétextes fallacieux, ceux qui se vantent de conseiller à leur client de mentir (cf le docu «L'avocate du diable»).
-Des plaidoiries à coucher dehors qui fonctionne. Je vais prendre l'exemple d'un procès qui a eu lieu dans ma région sur un cas de vol d'œuvres d'art. La plaidoirie en question ? Tenez-vous bien: «Il a fait ça pour l'amour de l'art» (sic). Et il a été acquitté. Il s'avère que le gars était haut placé dans la politique locale, on peut légitimement penser que ça ait joué.
-Les scores d'audience télévisuels qui semblent légitimer une immunité judiciaire (coucou Zemmour et Hanouna).
Si il y a des pénalistes dans le coin qui ont des explications quant à l'existence d'aussi graves anomalies.