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Je m'en veux de penser ça mais...
- Initiateur de la discussion Ipsie
- Date de début
Tératogène
Je suis faillible, mais je suis capable.
@Rocksteady bah ça s’appelle la dépression, en général (ou les symptômes d’une autre pathologie mentale qui incluent la dépression). Même si c’est le topic « je m’en veux » je trouve chaud chaud de ramener à soi quelque chose qui n’a rien à voir avec toi, et qui est juste l’expression de comment toi tu te sens face à des messages... Que tu peux ignorer et qui n’attendent pas TA réponse en particulier.
J’en ai particulièrement ma claque de ces pavés ici ou ailleurs sur les plaintes de comment on se sent face à tel type d’écriture, tel mal être, tel gimmick qui ne plaît pas. Je parle pas de conversations qui vous visent, vous blessent, discutent de vos oppressions, non, juste de gens qui parlent de leurs vies et oui des fois c’est chiant à lire. Eh bien, la fonction ignorer existe. Si vous ne pouvez pas aider les gens qui se sentent aussi mal dans leur vie, passez votre chemin, c’est bon. À quoi ça sert d’aller analyser si Bidule veut qu’on lui réponde et pourquoi ?
J’en ai particulièrement ma claque de ces pavés ici ou ailleurs sur les plaintes de comment on se sent face à tel type d’écriture, tel mal être, tel gimmick qui ne plaît pas. Je parle pas de conversations qui vous visent, vous blessent, discutent de vos oppressions, non, juste de gens qui parlent de leurs vies et oui des fois c’est chiant à lire. Eh bien, la fonction ignorer existe. Si vous ne pouvez pas aider les gens qui se sentent aussi mal dans leur vie, passez votre chemin, c’est bon. À quoi ça sert d’aller analyser si Bidule veut qu’on lui réponde et pourquoi ?
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Quand tu es rassurée que la personne ait les mêmes problèmes que toi, du coup vous vous comprenez vous aidez et vous sentez moins seules au monde
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Un je m'en veux de penser ça un peu futile, mais ça me met un petit peu mal à laise quand sur un forum les gens écrivent soudainement en tout petit comme là, je suppose pour noter des appartés, vous voyez.
En fait je sais que je devrais m'en foutre, que ce n'est pas grave mais je ne peux pas m'empêcher d'imaginer une meuf qui prendrait soudainement une voix neuneu enfantine et chuchote dans mon oreille et ca me crispe. Je pense que c'est du même niveau pour moi que les boomers qui écrivent uniquement EN MAJUSCULE PARCE QUE COMME ÇA ON LIT MIEUX et que je lis avec une voix qui hurle.
Mais pourtant... Qui suis-je pour juger ? Et puis ma mère m'écrit toujours en majuscule et je m'en fout aujourd'hui ?
En fait je sais que je devrais m'en foutre, que ce n'est pas grave mais je ne peux pas m'empêcher d'imaginer une meuf qui prendrait soudainement une voix neuneu enfantine et chuchote dans mon oreille et ca me crispe. Je pense que c'est du même niveau pour moi que les boomers qui écrivent uniquement EN MAJUSCULE PARCE QUE COMME ÇA ON LIT MIEUX et que je lis avec une voix qui hurle.
Mais pourtant... Qui suis-je pour juger ? Et puis ma mère m'écrit toujours en majuscule et je m'en fout aujourd'hui ?
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Je m'en veux de penser ça mais je suis impatiente d'avoir fini mes deux jobs et de pouvoir désespérer/angoisser seule chez moi en septembre. Je m'en veux parce que j'adore ces deux jobs (et l'équipe d'un côté) et clairement, je vais me mettre à l'abri pendant que mes collègues seront dans le mal.
Je crois que j'ai développé un espèce de traumatisme après la première vague de coronavirus, alors que j'ai même pas été en contact avec les patients mourants. Je m'en veux donc d'autant plus d'être traumatisée. Mais rien que l'idée qu'on est en train de reconfiner, j'ai de l'angoisse, du désespoir.
J'ai l'impression que de mettre confiner de manière quasi exemplaire durant le premier confinement n'a servi à rien à part me rendre malheureuse. Je sais aussi que ce deuxième confinement, je n'ai pas la force de le vivre de manière aussi exemplaire (je n'ai plus la force mentale de m'empêcher d'aller voir mon chéri; je n'ai pas eu le temps sur les 2 mois de déconfinement de profiter des trucs qui étaient pas possibles durant le confinement...)
Et je m'en veux de ne plus vouloir chercher un job tant qu'on est pas sorti de là, j'ai vraiment peur de revivre ce traumatisme.
Je crois que j'ai développé un espèce de traumatisme après la première vague de coronavirus, alors que j'ai même pas été en contact avec les patients mourants. Je m'en veux donc d'autant plus d'être traumatisée. Mais rien que l'idée qu'on est en train de reconfiner, j'ai de l'angoisse, du désespoir.
J'ai l'impression que de mettre confiner de manière quasi exemplaire durant le premier confinement n'a servi à rien à part me rendre malheureuse. Je sais aussi que ce deuxième confinement, je n'ai pas la force de le vivre de manière aussi exemplaire (je n'ai plus la force mentale de m'empêcher d'aller voir mon chéri; je n'ai pas eu le temps sur les 2 mois de déconfinement de profiter des trucs qui étaient pas possibles durant le confinement...)
Et je m'en veux de ne plus vouloir chercher un job tant qu'on est pas sorti de là, j'ai vraiment peur de revivre ce traumatisme.
Il y a plusieurs choses qui me dérangent dans ce que tu dis. Déjà, même si on semble "oublier" que c'est dangereux pour la santé, ça ne veut pas dire que c'est effectivement le cas. Tu crois que les personnes obèses n'essayent pas de perdre "une dizaine de kilos" (comme si c'était facile) ou n'ont pas essayé? Dans le cas de Gabrielle Deydier, c'est justement parce qu'on lui a dit de faire un régime et fait suivre un traitement inadapté alors qu'elle n'en avait pas besoin qu'elle a pris tant de kilos. Du coup au bout d'un moment, on peut comprendre qu'elle n'ait plus envie de faire un régime, ou de subir une opération loin d'être anodine?Je m'en veux de penser ça mais je comprends pas (2 en 1) un truc.
Je viens d'écouter le podcast Quoi de meuf sur les troubles alimentaires et autant je suis d'accord qu'on doit lutter contre la grossophobie, autant j'ai un peu de mal avec cette impression que me donne parfois le mouvement fatpositive, qui semble "oublier" le fait qu'au delà d'un certain poids, c'est dangereux pour la santé.Et sans aller jusqu'à 180 kilos pour 1m60. Mais pour des personnes comme Gabrielle Deydier (qui ne souhaitent pas faire de régimes ou se faire opérer. Après, qu'est-ce qu'elle entends exactement par ne pas faire de régime ? Est-ce qu'elle pensait au fait de ne plus faire de régimes amaigrissants mais elle garde l'idée de perdre du poids de façon saine ?
Je ne veux pas dire aux femmes qui font 100 kilos pour 1m70 de perdre 30 kilos mais je sais pas perdre une dizaine de kilos, ça peut aider le corps non ?Sans parler des problèmes cardiovasculaires qui arrivent plus tard, il y a par exemple les problèmes de genoux qui doivent supporter le poids du corps. Enfin, c'est bien d'être bien dans sa peau mais avoir un corps en bonne santé, c'est bien aussi non ? Parce qu'on peut être obèse et en bonne santé mais dans 20 ans ?
Et moi j'ai du mal avec le fait de dire qu'une personne en obésité morbide(je le suis depuis des années) est forcément en mauvaise santé. Je ne l'ai pas été pendant des années.
@Khyra
Tu te rappelles du nom du médicament contre le cholestérol ?
Parce qu’en France on a une obligation de faire des tests cliniques si on veut avoir l’autorisation de délivrance sur le marché européen.
Ou alors il avait une autorisation pour autre chose et ils l’ont utilisé pour un truc qui n’a rien à voir, comme le médiator ?
Tu te rappelles du nom du médicament contre le cholestérol ?
Parce qu’en France on a une obligation de faire des tests cliniques si on veut avoir l’autorisation de délivrance sur le marché européen.
Ou alors il avait une autorisation pour autre chose et ils l’ont utilisé pour un truc qui n’a rien à voir, comme le médiator ?
@Khyra le problème dans l'argument de se soucier de la santé des autres, c'est que c'est souvent trop mis en avant dans le cas du surpoids.
Si on se souciait réellement de la santé des gens, on devrait aussi faire des remarques à ceux qui fument, qui boivent, qui mangent mal, qui sont trop minces, qui dorment peu, etc. Mais souvent, les gens qui utilisent l'argument "je me fais du soucis pour ta santé" focalisent uniquement sur le poids, et pas sur le reste.
Je ne dis pas que c'est ton cas hein, mais juste que c'est un argument que les personnes en surpoids entendent énormément alors qu'à côté, les gens qui boivent ou fument sont plus souvent laissés tranquilles.
Je connais des personnes qui sont ultra fines mais se nourrissent n'importe comment et ont une santé fragile. Et elles, personne ne va les emmerder sur le contenu de leur assiette en leur disant que c'est mauvais pour leur santé...
Si on se souciait réellement de la santé des gens, on devrait aussi faire des remarques à ceux qui fument, qui boivent, qui mangent mal, qui sont trop minces, qui dorment peu, etc. Mais souvent, les gens qui utilisent l'argument "je me fais du soucis pour ta santé" focalisent uniquement sur le poids, et pas sur le reste.
Je ne dis pas que c'est ton cas hein, mais juste que c'est un argument que les personnes en surpoids entendent énormément alors qu'à côté, les gens qui boivent ou fument sont plus souvent laissés tranquilles.
Je connais des personnes qui sont ultra fines mais se nourrissent n'importe comment et ont une santé fragile. Et elles, personne ne va les emmerder sur le contenu de leur assiette en leur disant que c'est mauvais pour leur santé...
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