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@Iris Chase
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Je m'en veux de penser ça mais...
- Initiateur de la discussion Ipsie
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Je m'en veux de penser ça... mais je voudrais avoir d'autres ami.e.s.
J'adore les ami.e.s que j'ai, vraiment, c'est des personnes très importantes dans ma vie, on est très proches, on partage beaucoup. Mais je sens un manque de connexion profonde. On partage pas les mêmes intérêts, ni les mêmes réflexions sur le monde. Je me sens toujours un peu à côté de la plaque, toujours un peu paumée, un peu à l'ouest.
La seule personne avec qui j'avais une vraie connexion, c'était mon ex. Et malheureusement, même si on est resté assez proche, c'est plus pareil.
Et parfois, je me dis qu'il doit y avoir des gens dans ce monde qui me ressemblent et ça me frustre de me dire que les gens les plus proches de moi, ne sont pas les gens que j'ai envie d'avoir près de moi. Je me sens très seule la plupart du temps, même en étant entourée de gens bienveillants qui m'aime beaucoup. Et ça me fait culpabiliser de ouf.
J'adore les ami.e.s que j'ai, vraiment, c'est des personnes très importantes dans ma vie, on est très proches, on partage beaucoup. Mais je sens un manque de connexion profonde. On partage pas les mêmes intérêts, ni les mêmes réflexions sur le monde. Je me sens toujours un peu à côté de la plaque, toujours un peu paumée, un peu à l'ouest.
La seule personne avec qui j'avais une vraie connexion, c'était mon ex. Et malheureusement, même si on est resté assez proche, c'est plus pareil.
Et parfois, je me dis qu'il doit y avoir des gens dans ce monde qui me ressemblent et ça me frustre de me dire que les gens les plus proches de moi, ne sont pas les gens que j'ai envie d'avoir près de moi. Je me sens très seule la plupart du temps, même en étant entourée de gens bienveillants qui m'aime beaucoup. Et ça me fait culpabiliser de ouf.
@EleanorRigby Je te comprends tellement ! 
J'ai eu une période comme ça durant l'intégralité de mes études supérieures. Pourtant j'ai beaucoup bougé, j'ai fais 3 déménagements et donc rencontré pas mal de personnes différentes, et me suis intégrée dans plusieurs groupes... Avec qui je m'entendais bien mais où je ressentais toujours cette frustration de ne pas être totalement en phase avec eux. J'avais même l'impression de devoir me diviser entre : Les gens avec qui je peux déconner mais c'est tout, les gens avec qui je peux discuter de sujets sérieux mais c'est tout, les gens avec à qui je peux me confier mais c'est tout... Pour au final avoir la sensation de ne pas avoir "d'amis" avec qui je pourrais partager tout et n'importe quoi... J'avais fait partie d'un groupe d'amis au lycée avec qui je ressentais vraiment cette connexion, et après le BAC forcément tout le monde s'est dispersé, a changé, et les choses n'ont plus jamais été pareil. J'ai toujours été nostalgique de cette période depuis, et même 6 ans après j'ai encore du mal à faire le deuil de ces années haha.
Mais tu n'as pas à culpabiliser ! C'est normal, et je suis convaincue que plein d'autres personnes sont dans ce cas.
C'est difficile de trouver ses "âmes sœurs" même en amitié. La meilleure chose à faire est d'essayer de rencontrer de nouvelles personnes, c'est pas forcément évident une fois arrivé à l'âge adulte, mais ça peut se faire via des clubs de sports, de jeux, des assos... Voire sur les réseaux sociaux ou internet en général ?
Et je trouve que savoir ce qui est le plus important pour nous en amitié aide aussi. Par exemple, est-ce que tu as surtout besoin de trouver des gens avec qui tu veux discuter sérieusement, ou bien avec qui tu veux sortir et faire activités régulièrement etc.
J'ai eu une période comme ça durant l'intégralité de mes études supérieures. Pourtant j'ai beaucoup bougé, j'ai fais 3 déménagements et donc rencontré pas mal de personnes différentes, et me suis intégrée dans plusieurs groupes... Avec qui je m'entendais bien mais où je ressentais toujours cette frustration de ne pas être totalement en phase avec eux. J'avais même l'impression de devoir me diviser entre : Les gens avec qui je peux déconner mais c'est tout, les gens avec qui je peux discuter de sujets sérieux mais c'est tout, les gens avec à qui je peux me confier mais c'est tout... Pour au final avoir la sensation de ne pas avoir "d'amis" avec qui je pourrais partager tout et n'importe quoi... J'avais fait partie d'un groupe d'amis au lycée avec qui je ressentais vraiment cette connexion, et après le BAC forcément tout le monde s'est dispersé, a changé, et les choses n'ont plus jamais été pareil. J'ai toujours été nostalgique de cette période depuis, et même 6 ans après j'ai encore du mal à faire le deuil de ces années haha.
Mais tu n'as pas à culpabiliser ! C'est normal, et je suis convaincue que plein d'autres personnes sont dans ce cas.
C'est difficile de trouver ses "âmes sœurs" même en amitié. La meilleure chose à faire est d'essayer de rencontrer de nouvelles personnes, c'est pas forcément évident une fois arrivé à l'âge adulte, mais ça peut se faire via des clubs de sports, de jeux, des assos... Voire sur les réseaux sociaux ou internet en général ?Et je trouve que savoir ce qui est le plus important pour nous en amitié aide aussi. Par exemple, est-ce que tu as surtout besoin de trouver des gens avec qui tu veux discuter sérieusement, ou bien avec qui tu veux sortir et faire activités régulièrement etc.
Je reviens là mais suite à un "déclic" hier soir ( bref hier, plus long ce jour) je m'en veux de penser ça...
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@RaccoonJesus
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@Alpha
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parti
Dernière édition :
@Yooni @Chiisai
Merci pour vos messages
Ça fait du bien de savoir que je ne suis pas la seule dans ce cas. Je pense que c'est un peu ça le truc, une espèce de nostalgie d'une amitié absolue comme on pouvait avoir à l'époque du collège/lycée quand on avait l'impression d'avoir trouvé notre âme soeur, qu'on pouvait absolument tout partager, passer des heures au téléphone sans jamais épuiser les sujets de conversations, etc. A l'âge adulte y'a une sorte de pudeur qui s'installe et tout le monde est dans sa propre bulle. Même parmi mes ami.e.s les plus proches, y'a personne que j'aurais envie d'appeler à 1h du matin en pleurant quand ça va pas par exemple.
Mais oui faire des activités où je pourrais rencontrer des gens qui partagent les mêmes intérêts que moi, ça pourrait être une bonne chose déjà
Merci pour vos messages
Ça fait du bien de savoir que je ne suis pas la seule dans ce cas. Je pense que c'est un peu ça le truc, une espèce de nostalgie d'une amitié absolue comme on pouvait avoir à l'époque du collège/lycée quand on avait l'impression d'avoir trouvé notre âme soeur, qu'on pouvait absolument tout partager, passer des heures au téléphone sans jamais épuiser les sujets de conversations, etc. A l'âge adulte y'a une sorte de pudeur qui s'installe et tout le monde est dans sa propre bulle. Même parmi mes ami.e.s les plus proches, y'a personne que j'aurais envie d'appeler à 1h du matin en pleurant quand ça va pas par exemple. Mais oui faire des activités où je pourrais rencontrer des gens qui partagent les mêmes intérêts que moi, ça pourrait être une bonne chose déjà
JMVDPC Mais je pense sérieusement que cet ancien ami mythomane est parti loin, à Paris et en Bretagne, là où personne ne le connaissait, pour pouvoir continuer de raconter ses mythos tranquille.
Ici on savait très bien ce qu'il avait fait/dit, et ça c'était très mal passé. Là bas, il est arrivé tout frais tout beau, en pouvant raconter ce qu'il voulait aux gens sans que personne ne se méfie ou ne cherche à vérifier. D'ailleurs, quand on fait confiance, on a pas le réflexe de vérifier... Je sais que mes propos peuvent paraître extrêmes, mais c'est le fond de ma pensée. Il continue de tromper le monde, de se mentir aussi à lui-même, en toute tranquillité.
C'est encore plus étonnant quand je me rappelle la violence de ce tribunal et de cette confrontation, qu'il y avait eu au lycée. Ça c'était très très mal terminé, et là il prend le risque que ça recommence...
J'ai de la peine pour lui. Je sais pas s'il se sortira de ça un jour.
Ici on savait très bien ce qu'il avait fait/dit, et ça c'était très mal passé. Là bas, il est arrivé tout frais tout beau, en pouvant raconter ce qu'il voulait aux gens sans que personne ne se méfie ou ne cherche à vérifier. D'ailleurs, quand on fait confiance, on a pas le réflexe de vérifier... Je sais que mes propos peuvent paraître extrêmes, mais c'est le fond de ma pensée. Il continue de tromper le monde, de se mentir aussi à lui-même, en toute tranquillité.
C'est encore plus étonnant quand je me rappelle la violence de ce tribunal et de cette confrontation, qu'il y avait eu au lycée. Ça c'était très très mal terminé, et là il prend le risque que ça recommence...
J'ai de la peine pour lui. Je sais pas s'il se sortira de ça un jour.
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