Je ne comprends pas ceux qui commente leur propre statut sur Facebook. Je parle pas de ceux qui commente les avis des autres sur leur statut, mais quand ils sont tout seul à se commenter. Pas sûre que je sois claire, mais je me comprends :knockout:
Black Mamba;1783969 a dit :Je ne comprends pas ceux qui commente leur propre statut sur Facebook. Je parle pas de ceux qui commente les avis des autres sur leur statut, mais quand ils sont tout seul à se commenter. Pas sûre que je sois claire, mais je me comprends :knockout:
Wayzea;1782803 a dit :Les gens qui ont une photo de leur maison accrochée en cadre dans leur propre maison, souvent une vue aérienne en plus de ça.
Je sais bien qu'en étant dans sa propre maison on ne peut profiter de la belle vue sur la-dite maison, m'enfin, quand même, euh... C'est kitsch/ridicule
Du coup, là j'en viens à l'argument inverse. Il ne faut pas non plus rejeter toute la faute sur l'élève. Peut-être que j'ai tort, mais j'ai du mal à imaginer que de simples c?urs sur une liste d'appel puisse faire pleurer une prof. Surtout qu'elle-même a dit que c'était la première fois qu'elle voyait ça. Donc raison de plus : c'est la première fois qu'elle voit ça : alors pourquoi elle pleure, pourquoi tant s'enflammer, pourquoi si excessivement ? Quelque chose doit m'échapper.si le prof en vient à là, c'est parce que ses élèves sont des cons immatures
Nadja;1785241 a dit :Je ne comprends pas .... la tendance Baby Milo. En plus c'est souvent porté par des personnes qui veulent se la jouer rebelle façon ouaich-ouaich. Ca viendrait pas à l'esprit d'un ouaich-ouaich de porter un pull Hello Kitty mais pour moi c'est exactement la même chose Baby Milo.
Louis;1784873 a dit :Gavanza, je suis très étonnée de lire que des étudiants à l'université font des blagues comme ça. Ils sont en première année ?
Pour la problématique que vous avez mise en place dans de débat, je pense que vous avez oublié la chose à mes yeux la plus importante : le système de formation au professorat (ou plutôt le système de non-formation au) français. Tous les enseignants ont des concours très difficiles pour évaluer leur niveau de connaissance(s), mais aucun n'est formé à enseigner, communiquer. C'est bien là le souci. On ne devient pas un bon prof grâce à des dispositions internes (savoir gérer des étudiants et son émotivité) ou avec de la bonne volonté, il faut être formé !
Si ça ne tenait qu'à moi, les enseignants devraient être formés à enseigner, transmettre le Savoir, communiquer (formations pratiques), à se défendre sans attaquer, et devraient être obligés (ça je sais c'est impossible) à être psychologiquement au clair avec eux-mêmes. Je ne comprends pas qu'un enseignant fragile ou paranoïaque, blessé, inconscient, accède à un statut d'enseignant. J'ai connu des professeurs tyranniques, d'autres qui ont détruit des enfants - étudiants (humiliations, dégradations, atteintes à la dignité - se moquer de la pensée et des capacités d'un élève, par exemple, peut avoir des conséquences sur sa vie future).
J'ai eu un prof loin d'être au clair avec lui-même qui m'humiliait devant la classe, en me disant combien j'étais bête et que je n'avais même pas le niveau primaire. En même temps, il était ambigu avec moi (affectivement, il me collait, jouait un jeu - on dirait qu'il réglait des histoires étranges qui ne me concernaient pas - bienvenue dans le psychisme humain et ses mécanismes projectifs). Personne n'est parfait mais il devrait être exigé un minimum et être apporté une formation obligatoire (à la psychologie etc.), comme pour l'accès au statut de psychologue (qui est très réglementé).
Enfin, les enseignants à l'université, et là on retombe sur le système français, n'ont pas toujours fait le choix d'enseigner. Quand on fait de la recherche, en France et à l'université, nous sommes obligés de faire des heures d'enseignement (même si nous n'avons pas envie, même si nous ne savons pas faire - parce que bien sûr là non plus nous ne sommes pas formés ça va de soi, même si nous sommes mauvais à enseigner). Les conséquences peuvent être abusées : j'ai eu une enseignante qui en savait moins que moi sur les études que je suivais, et pire, qui nous apprenait... Des choses fausses ! En plus de nous faire perdre notre temps, nous sommes mal formés, mésinformés.
Les enseignants (et par extension leurs étudiants) sont victimes d'un système général qui estime qu'ils n'ont pas besoin d'être formés pour entrer en interaction avec une classe (pour le cas du professorat en général). Nous payons les pots cassés, c'est au système français de changer. Je n'ai jamais compris non plus comment la communication relationnelle ne pouvait pas être enseignée 1. à l'école et 2. chez nos formateurs. Humainement tout est perdu. Je hais ce système tellement j'ai rencontré des profs qui ont détruit des enfants et des psychismes, qui ce sont détruits eux-mêmes de par leur incompétence et leur non formation (à l'enseignement, à la psychologie, à la transmission de savoir...), qui ont boycotté des avenirs car ils ne savaient pas enseigner des bases déterminantes pour la suite des études (mathématiques, lecture, orthographe).
Louis;1785495 a dit :Mea culpa je n'avais pas vu que vous aviez abordé ce point
En troisième année, AHA
Je suppose que c'était gentil ou du moins pas mal intentionné, selon les personnages je pense que j'aurais pu en rire (j'essaye de transposer dans ma réalité des personnes que je connaissais qui auraient pu s'y prendre de cette façon, et moi je m'imagine très bien en mode lolilol). Je ne jette pas non plus la pierre sur cette enseignante qui a dû très mal vivre la situation pour aller jusqu'à en pleurer, j'espère qu'elle ira vite mieux, et que vous ne perdrez pas votre bonne humeur étudiante ! Le fait qu'elle ne sache pas qui a fait cela a pu être une forme de violence pour elle, j'espère qu'ils ont été discuté avec elle en fin de cours pour la rassurer, s'excuser, et rétablir un dialogue plus apaisé.