Je ne supporte pas...

19 Janvier 2007
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Je ne supporte pas ces moments où j'ai l'impression que la tristesse a eu raison de moi. Ce genre de journée où je me lève heureuse, où je souris niaisement pour rien, où je rigole à tout, où j'ai l'impression que rien ne pourra entraver ma bonne humeur, et puis où il suffit d'un rien, d'une mauvaise humeur communicative de la part d'un proche, d'un évènement qui rappelle les contraintes de la vie réelle, d'un souvenir mélancolique qui remonte à la surface... Pour que ce que je pensais être une infaillible gaieté se transforme en une tristesse sournoise. Ce que je supporte le moins, c'est quand je ne suis même pas foutue d'identifier ce qui m'a fait basculer de la presque euphorie à la lassitude.
Je déteste ça, j'aimerais pouvoir figer le bien-être et la bonne humeur avec des "$" comme on apprend à figer des formules sur excel.
 
24 Février 2012
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Je ne supporte pas cette survalorisation de la sacro-sainte beauté naturelle. En plus j'adore les artifices, les teints hyper travaillés, les sourcils bien définis. Et d'ailleurs de manière générale, dans tous les domaines créatifs de la vie (arts, humour, mode etc) je préfèrerai toujours ce qui s'éloigne le plus de la réalité.
 
21 Septembre 2009
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@iaoranamoana @swing @angeoudemon

:yawn: (le fou rire toute seule. Help.)

Je suis plutôt du côté de @stages-of-life, perso, je peux très bien écrire et avoir du gros vocabulaire qui fait peur si j'en vois la nécessité, mais à l'oral, c'est clairement pas ça (et à l'écrit sur le forum itou). Et je me rends compte qu'avec les années et le fait que je n'ai plus de "supérieurs" depuis un moment, j'ai perdu pas mal de réflexes de "bon vocabulaire" à l'oral.

Pour les surnoms, moi c'est "le saviez-vous" :shifty: J'ai tendance à vouloir partager des trucs que j'ai lu, des études, des stats, des anecdotes que je trouve intéressantes, eeeet... Il semblerait que je le fasse très souvent, surtout quand il y a de l'alcool dans l'équation. Du coup quand quelqu'un détecte la petite flamme du partage de la connaissance dans mes yeux, le sourire précédant le "oh à propos de ça, il y a justement une étude qui dit...", il beugle "LE SAVIEZ-VOUS?". C'est devenu un jeu. uu

 
L

La femme de Frank

Guest
Je ne supporte pas les personnes trop sociables.

J'ai conscience que ça peut être quelque chose de naturel et parfois positif, mais en général je trouve que c'est un comportement forcé. Evidemment, j'ai à l'esprit des gens de mon entourage donc je vais évoquer surtout des points qui leur sont particuliers.
Déjà je ne comprend pas les personnes qui apprécient tout le monde, ça me paraît inconcevable de ne pas avoir certaines préférences et de rechercher la compagnie de n'importe qui. Même s'il existe sûrement un plaisir d'être avec autrui, je trouve justement que c'est un sentiment assez faux, et qui m'apparaît sans grande valeur, parce qu'on apprécie rien que le fait d'avoir de la compagnie, et non celui d'avoir la compagnie d'une personne en particulier. De même pour les personnes qui sont constamment à la recherche de nouvelles relations, et qui là aussi ont ce désir d'être entouré par simple principe, et non pas forcément parce qu'ils aiment ceux qui les entourent. C'est vraiment quelque chose que je ne conçois pas, et que je trouve même assez négatif. Je trouve que ce comportement est davantage égocentrique ou individualiste que celui d'une personne solitaire.
Globalement, je trouve que les personnes trop sociables ont ce rapport très impersonnel d'aimer davantage l'acte en lui-même que l'objet de l'acte : elles aiment pour aimer, elle parlent pour parler, etc. Au niveau relationnel, c'est quelque chose que je ne comprends vraiment pas, puisque c'est pour moi tout l'intérêt d'une relation que sa particularité.
Le besoin continu de communication avec l'autre - par la parole, j'entends - est lui aussi une des choses que je ne comprends pas et ne supporte pas.
(Je voulais d'ailleurs en parler dans un autre post mais de toute façon, j'ai déjà abordé pleins de sujet dans celui-ci alors je continue sur ma lancée.)
Cela n'est pas valable que pour les personnes très sociables puisque je pense que plus de 80% des gens fonctionnent ainsi, mais c'est néanmoins une des choses qui les caractérisent en général. Je n'aime pas cette honte et cette peur du silence : c'en est presque un tabou aujourd'hui. J'essaye de plus en plus, comme je l'ai je crois déjà expliqué, d'être en accord avec moi-même, au sens de ne pas me forcer pour correspondre aux codes classiques de la société, sur le plan relationnel surtout. Je suis en plus de ça quelqu'un d'assez réservé, plus petite j'étais même très timide, surtout avec les gens que je ne connais pas ou peu, et surtout à propos de certains sujets. Du coup en ce moment, il arrive que je ne parle que très peu pendant tout un repas, toute une soirée, voire toute une journée. Evidemment, je ne veux pas non plus paraître rabat-joie, je-m'en-foutiste, ou méprisante, donc il m'arrive de me forcer à dire certains choses ne serait-ce que pour contredire cette hypothèse, et pour rester aimable. Mais parfois - et je trouve cela tellement normal - je n'ai rien à dire, je n'en ai ni le besoin, ni l'envie, peut-être parce que j'estime n'avoir rien à dire d'intéressant sur tel sujet, ou bien que le sujet en question ne m'intéresse pas, ou que je ne veux pas dire telle ou telle chose aux personnes présentes avec moi à ce moment-là. Bref, il existe de nombreuses raisons à cela, et sans vouloir verser dans l'irrespect, je préfère ne pas m'exprimer, plutôt que de faire la conversation par principe, pour combler le vide. Quand je le fais désormais, ou que je sens que d'autres le font devant moi, je trouve la conversation tellement creuse ; tout sonne faux, tout le monde fait semblant de. J'ai l'impression de me mentir, et de mentir à l'autre, en participant à la discussion. Sauf qu'évidemment, quasiment personne ne raisonne comme moi, et je suis du coup pointée du doigt. Ou les gens le prennent mal que je ne sois pas intéressée par ce qu'ils disent, ou alors ils se moquent de mon insociabilité, de ma passivité, pensant que je ne suis inutile et sans intérêt. Concernant le silence, je trouve d'ailleurs que c'est une des très belles choses que nous permet la complicité, en amour ou en amitié. Ces moments à ne rien faire, à ne rien dire, ou bien parce que la seule présence d'autrui suffit à nous les faire aimer, ou bien parce que la complicité est telle que la parole n'est presque plus nécessaire pour communiquer avec lui, sont si agréables et précieux. Certains d'entre eux, dans des situations totalement anodines, sont ceux que j'ai le plus appréciés, qui m'ont le plus marqués, dans l'ensemble des moments passés avec une certaine personne. Souvent, les personnes trop sociables sont mus par l'activité, et ont l'impression d'être davantage digne d'intérêt en ayant toujours quelque chose à faire ou quelque chose à raconter. Je ne supporte pas la sensation que quelqu'un tente désespérément de combler le vide, ou à l'inverse qu'il se complaise dans une perpétuelle interaction qui lui donne l'illusion d'une supériorité.
Je tiens probablement ces propos parce que je suis l'exact opposé de tout ça - bien que je ne me considère pas comme asociale - il n'empêche que j'ose me projeter d'une manière objective et que je pense que même si je n'étais pas ainsi, ce genre de comportement m'irriterait.
Ce qui m'embête d'autant plus c'est que, même si une telle attitude peut être dépréciée, j'ai l'impression que cela reste minoritaire par rapport à une attitude comme la mienne voire insociable, et qu'effectivement la norme est davantage à la sociabilité. Peut-être parce que c'est le propre de l'homme me direz-vous, de vivre en société, et que l'inverse peut paraître un comportement individualiste. Pourtant je trouve comme je l'ai dit précédemment que le trop plein de sociabilité n'est souvent pas naturel et qu'il me paraît plus louable de rester intègre et sincère, de prendre conscience de son caractère et de l'assumer.
J'aimerais que les personnes qui agissent ainsi soient davantage tolérées, moins marginalisées, mais surtout comprises, parce qu'elles ont pour moi un fonctionnement plus intéressant que celui de gens très sociables, qui en deviennent exubérants.

Edit : Désolée pour la longueur de ce post. Je suis d'autant plus désespérée quand je pense que je n'ai pas dis la moitié de ce que je souhaitais évoquer. Je crois qu'il faut définitivement que je me trouve un nouveau psy. :lunette:
 
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19 Janvier 2007
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hawley;3985004 a dit :
Pour les surnoms, moi c'est "le saviez-vous" :shifty: J'ai tendance à vouloir partager des trucs que j'ai lu, des études, des stats, des anecdotes que je trouve intéressantes, eeeet... Il semblerait que je le fasse très souvent, surtout quand il y a de l'alcool dans l'équation. Du coup quand quelqu'un détecte la petite flamme du partage de la connaissance dans mes yeux, le sourire précédant le "oh à propos de ça, il y a justement une étude qui dit...", il beugle "LE SAVIEZ-VOUS?". C'est devenu un jeu.




J'adore :lol: Comme le personnage de Pierre Niney dans Comme des frères :lol:

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La femme de Frank

Guest
jeanne-des-brumes;3985139 a dit :
la-femme-de-frank;3985040 a dit :
Globalement, je trouve que les personnes trop sociables ont ce rapport très impersonnel d'aimer davantage l'acte en lui-même que l'objet de l'acte : elles aiment pour aimer, elle parlent pour parler, etc. Au niveau relationnel, c'est quelque chose que je ne comprends vraiment pas, puisque c'est pour moi tout l'intérêt d'une relation que sa particularité.
C'est marrant, j'ai eu cette conversation avec une amie il y a quelques semaines, et on avait fini par formuler la même distinction que toi :P Je te rejoins complètement sur cette idée que certains semblent aimer plus des situations que des personnes, mais je ne suis pas sûre que ce soit l'apanage des personnes très sociables. Je connais des personnes chez qui je crois percevoir ça, et ce sont pourtant de grands solitaires...
En fait je tiens à dire que j'ai abordé de nombreux sujets dans le post, parce que tout me paraît lié et probablement parce qu'ils regroupent les différentes choses que je ne supporte pas chez les personnes auxquelles je pense. J'ai donc mélangé de nombreuses choses et ça peut paraître un peu confus et abrupt comme ça, mais j'ai écris au fil de la plume et finalement j'ai plus parlé de mon propre fonctionnement que des raisons pour lesquelles je n'aimais pas les gens trop sociables, ce que j'ai fais fais plus indirectement.
Je suis d'accord avec toi bien entendu - comme à propos de la peur du silence - il n'y a pas que les gens hyper sociables qui fonctionnent comme ça. Au sens qu'être trop sociable n'est pas la condition de ce fonctionnement, mais en est généralement la cause. Je ne sais pas si je me fais comprendre. Ça découle d'une certaine logique puisque les personnes que j'appelle trop sociables sont comme leur nom l'indique dans une démarche totale de sociabilité pour son principe même et que leur plaisir est d'être entouré, de parler, etc.

Et dans l'absolu, je tiens aussi à préciser, que je n'ai strictement rien contre les gens sociables - même si je ne suis pas comme ça, je respecte totalement ce trait de caractère. :cretin: Je parle bien dans mon post d'une surenchère de sociabilité, à tel point qu'elle m'apparaît trop importante pour être vraie.
 
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20 Mai 2011
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hawley;3985004 a dit :
Pour les surnoms, moi c'est "le saviez-vous" :shifty: J'ai tendance à vouloir partager des trucs que j'ai lu, des études, des stats, des anecdotes que je trouve intéressantes, eeeet... 
J'adore les gens comme ça :jv: D'emblée, j'aime énormément les gens qui me donnent l'impression que je pourrais apprendre d'eux, donc j'adore les personnes qui sont capables d'aller très loin dans une réflexion ou qui égrènent ici et là des anecdotes ou autres.
 
19 Janvier 2007
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Je ne supporte pas le fait de m'inquiéter pour mes proches. Je crois que j'ai très longtemps été tenue à l'écart de ça et que ça me rattrape aujourd'hui. Mes parents, même s'ils m'ont toujours montré leurs faiblesses, n'ont jamais laissé entendre que ces faiblesses pourraient un jour les rendre faibles. Jusque là, j'ai vécu en les voyant comme des sortes d'êtres à part, invincibles, comme autre chose que des congénères. J'ai toujours eu cette impression inconsciente que peu importe ce qui pouvait leur tomber sur la gueule, ils avaient cette force qui les tirerait toujours irrémédiablement vers le haut.
Et ces derniers temps je commence à m'inquiéter pour eux.
Maintenant que je ne vis plus avec mon père, quand on se voit on a des entrevues assez profondes et enrichissantes, mais c'est presque en train de devenir une sorte d'ami-géniteur plus que de père, et j'ai l'impression que progressivement le rapport s'inverse. Je crois qu'il m'a protégée toute ma vie, et j'ai l'impression que c'est maintenant à mon tour de le protéger, de prendre soin de lui.
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J'ai réalisé que je n'étais pas du tout armée pour voir mes parents dans des situations de détresse (même si là, mon père, qui est un grand sage, m'a renvoyé l'image de quelqu'un qui va très bien. Peut-être est-ce vrai, et peut-être que je me fais un sang d'encre pour rien). J'ai peur d'avoir peur pour les gens que j'aime, c'est pour ça que parfois je préfère les voir comme des robots infaillibles plus que comme des humains faillibles.

Et je réalise qu'en fait j'ai peu de maturité de ce point de vue-là. Je ne supporte pas l'impression que mes proches n'ont pas toute l'emprise sur leur bien-être, et qu'ils auraient peut-être besoin de moi. Et tout ça me fait penser à ceux qui, dès leur plus jeune âge, savent ce que c'est que de voir les gens qu'ils aiment comme des personnes potentiellement faibles.
J'imagine que ça doit apporter une maturité, une richesse, absolument énorme, en dépit de toute la souffrance que ça doit occasionner.
Je respecte vraiment les enfants qui ont dû apprendre à vivre avec la faiblesse de leurs parents, avec leur responsabilité de progénitures, sans se laisser bouffer par ça. Les enfants de personnes malades, alcooliques, suicidaires... Je ne m'étais jusque là jamais vraiment projetée à leur place, et maintenant que j'essaie de le faire, je les trouve infiniment courageux, même si c'est un courage qui s'impose presque à eux ("on ne choisit pas ses parents on ne choisit pas sa famille" comme dirait Leforestier :P).

Enfin toujours est-il que voilà, ne pas citer svp, j'éditerai.
 
21 Septembre 2009
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C'est pas vraiment un "je ne supporte pas", mais à propos des "je ne supporte pas"...

Il y a encore quelques années j'avais des principes très tranchés, des goûts précis, et même une liste de trucs que "je ne supportais pas". Un peu comme tous les ados, je crois, j'avais une personnalité assez radicale et je pensais avoir la science infuse. Mais avec les années, je m'ouvre à beaucoup plus de choses, et j'en suis contente évidemment, parce que je me rends compte que je suis passée à côté de coups de coeur juste à cause de principes un peu bêtes. Ca me fait penser à la conversation sur la musique sur "je ne comprends pas", il y avait des choses que je disais que je n'écouterai jamais (ben voilà, Katy Perry, Britnouille, tout ça :yawn:), et que finalement j'ai appris à apprécier. Mais il y a une part de moi qui est nostalgique de cette personnalité tranchée. J'ai l'impression de trahir mon ancien moi, de devenir l'adulte que je ne voulais pas devenir à l'époque, à savoir quelqu'un capable de s'intéresser à tout, qui n'a pas l'air de savoir donner de la valeur aux choses. J'étais tout à fait capable de dire "tel groupe est mieux que tel groupe", alors que maintenant, j'ai du mal à le concevoir. Alors bien sûr, c'est super chouette d'être ouverte et de découvrir plein de choses, mais j'ai l'impression que ces classifications étaient des repères, des piliers de ma vie (et je ne parle pas que de musique évidemment !) autour desquels je circulais, des vérités rassurantes. J'avais mon petit monde à moi, bourré de jugements de valeur et de "faits" que j'avais décidé de moi-même, où je me sentais très bien. Aujourd'hui je n'ai plus ces piliers-là, je me sens beaucoup plus mûre, mais beaucoup plus perdue aussi. Je crois que je regrette un peu tous ces "je ne supporte pas" perdus qui étaient probablement très superficiels (alors que je pensais que c'était très profond :cretin:), mais qui étaient des convictions tellement solides qu'elles me rendaient sûre de moi. Quand on est adulte, rien n'est vrai, rien n'est faux, et même si ça ouvre une infinité de possibilités, c'est un peu flippant de vivre dans ce brouillard général.
 
18 Janvier 2013
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Toulouse
thirteenth-step;3980119 a dit :
Je ne supporte pas qu'on altère des expressions en les transformant en horreurs absurdes du style "tout à chacun" ou "comme même". Sérieusement?!:eh: En fait je le supporte d'autant moins que je ne le comprends, car il n'y aucune logique à les transcrire ainsi. Par exemple, écrire "autant pour moi" au lieu d'"au temps pour moi" ne me choque pas parce que la première transcription fait sens ("autant d'erreur par ma faute"), mais dans "comme même", que se passe-t-il dans la tête des gens pour qu'ils y voient une quelconque logique?
(oui ça irait aussi bien dans "je ne comprends pas" mais à mes yeux les deux sont parfois tellement liés...)
Je t'ai "big uppée" mais j'ai quand même quelque chose à rajouter... Car je suis totalement d'accord avec toi au niveau du non-respect de la langue française et du détournement d'expressions comme ça. C'est assez énervant.
Mais je trouve rigolo que toi-même tu utilises une expression tout à fait incorrecte en français : "faire sens"  ne veut malheureusement rien dire dans notre noble langue! C'est un détournement de l'anglais, et ça arrive de plus en plus souvent ça aussi. Je comprends ce que tu veux dire avec cette expression, hélas elle n'existe pas... On dit "ça a du sens" ou "c'est sensé" (à ne pas confondre avec "censé" bien sûr)

Bon voilà moi aussi je suis une maniaque du français, de l'orthographe et la grammaire correctes.
Ça me fait penser : les filles pouvez-vous arrêter d'utiliser l'expression "nazies de l'orthographe" s'il-vous-plaît, je trouve ça vraiment malvenu.
Vous en arriveriez vraiment à tuer des pauvres malheureux qui n'y connaissent rien à l'orthographe, ou pire les dyslexiques? Vous les gazeriez par dizaines dans des fours crématoires? J'exagère un peu mais je ne pense pas que cette expression convienne, SVP changez-en...
(PS: je pense à ça parce que ma marraine elle-même, @solna-2 s'est appelée ainsi et autant je suis d'accord sur le principe, autant l'appellation me dérange...)
 
21 Septembre 2009
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Soutien à @althee, @cloette, faut se décrisper un peu, l'expression "grammar nazi" est utilisée partout sur internet, ça n'a vraiment rien à voir avec le nazisme !
 
27 Octobre 2010
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Je ne supporte absolument pas les gens sur Facebook, qui vont commenter une photo où tu es identifié, alors qu'ils ne connaissent pas la personne qui as posté la photo ! Même si c'est pas méchant, je trouve ça assez déplacé. Je n'aurais jamais l'idée d'aller commenter les photos où sont identifiés mes potes, parce que je sais que ce sont les photos d'une autre personne que je ne connais pas. Je sais pas si je suis très claire.

Toujours sur Facebook, et toujours dans la complexité de "réunir" toutes ses connaissances, je ne supporte pas les personnes qui commentent et répondent à tout sur ton profil, même, pareil, aux gens qu'ils ne connaissent pas. C'est tellement sans-gêne. Un "ami" est très fort pour ça, et en plus, il réponds parfois méchamment à des membres de ma famille où des amis d'enfance. Je suis obligé de lui cacher tout ce que je publie maintenant.

Ce qui me fais dire que je ne supporte pas les gens qui se vexent dès que tu leur fais part d'un truc relou dans leur comportement (ex : commenter tout sur mon Facebook), mais c'est tellement horrible, on avance à rien, la personne se remet pas en question, ça crée des conflits, aaah :gonk:
 

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