Je ne supporte pas de faire la bise aux personnes qui ne me sont pas proches.
Je n'arrive pas à comprendre le sens qu'il y a à aller embrasser jusqu'à quatre fois les joues de quelqu'un qui n'est pas dans ma sphère intime. Ce rapprochement physique me paraît complètement ahurissant, d'autant plus quand on voit qu'il est possible de se toucher les visages de cette manière mais qu'en on prend souvent le soin de mettre de la distance physique dans des situations qui me paraissent bien plus banales. L'exemple de l'installation en salle de réunion est frappante : il n'est pas rare de voir les gens s'espacer naturellement d'un ou deux sièges pour limiter la proximité physique alors que quelques minutes auparavant ils peuvent s'embrasser !
Il m'arrive régulièrement d'éconduire une personne qui vient se présenter à moi pour la première fois et qui tend son visage pour engager une bise. Je le fais également avec ceux avec qui je n'ai pas de lien particulier qui justifierait que je le fasse. Malheureusement pour moi, cette attitude est souvent vue d'un assez mauvais oeil et l'on m'a déjà reproché ce manque d'ouverture. Certains vont jusqu'à mal le prendre et peinent à revenir prendre contact par la suite. Je prends donc le soin de bien expliquer qu'il ne s'agit pas de vouloir être froide ou impolie et tends la main pour une poignée chaleureuse avec l'autre main qui touche l'autre bras selon le degré de sympathie que j'ai à l'égard de l'autre.
La bise est réservée à mes amis ou aux personnes que je côtoie régulièrement et que j'apprécie.
À contrario, j'ai beaucoup de mal à suivre l'habitude des membres de ma famille qui se font la bise quand ils se voient. Là j'ai l'impression qu'il y a une mise à distance gigantesque qui me fait froid dans le dos. Enfin, aller faire la bise à sa fille ou sa soeur comme on pourrait la faire à Gustave, Renée ou Mabrouk, ça me dépasse. C'est pas comme si j'avais vécu avec Toi pendant quelques bonnes années / j'étais sortie de ton vagin / on a fait les quatre-cent coups, hein !
. J'envie les famille qui se font de grandes accolades remplie de chaleur lorsqu'elles se retrouvent et j'aimerai vraiment que ma famille soit en capacité d'accueillir ce genre d'effusion.
Je n'arrive pas à comprendre le sens qu'il y a à aller embrasser jusqu'à quatre fois les joues de quelqu'un qui n'est pas dans ma sphère intime. Ce rapprochement physique me paraît complètement ahurissant, d'autant plus quand on voit qu'il est possible de se toucher les visages de cette manière mais qu'en on prend souvent le soin de mettre de la distance physique dans des situations qui me paraissent bien plus banales. L'exemple de l'installation en salle de réunion est frappante : il n'est pas rare de voir les gens s'espacer naturellement d'un ou deux sièges pour limiter la proximité physique alors que quelques minutes auparavant ils peuvent s'embrasser !
Il m'arrive régulièrement d'éconduire une personne qui vient se présenter à moi pour la première fois et qui tend son visage pour engager une bise. Je le fais également avec ceux avec qui je n'ai pas de lien particulier qui justifierait que je le fasse. Malheureusement pour moi, cette attitude est souvent vue d'un assez mauvais oeil et l'on m'a déjà reproché ce manque d'ouverture. Certains vont jusqu'à mal le prendre et peinent à revenir prendre contact par la suite. Je prends donc le soin de bien expliquer qu'il ne s'agit pas de vouloir être froide ou impolie et tends la main pour une poignée chaleureuse avec l'autre main qui touche l'autre bras selon le degré de sympathie que j'ai à l'égard de l'autre.
La bise est réservée à mes amis ou aux personnes que je côtoie régulièrement et que j'apprécie.
À contrario, j'ai beaucoup de mal à suivre l'habitude des membres de ma famille qui se font la bise quand ils se voient. Là j'ai l'impression qu'il y a une mise à distance gigantesque qui me fait froid dans le dos. Enfin, aller faire la bise à sa fille ou sa soeur comme on pourrait la faire à Gustave, Renée ou Mabrouk, ça me dépasse. C'est pas comme si j'avais vécu avec Toi pendant quelques bonnes années / j'étais sortie de ton vagin / on a fait les quatre-cent coups, hein !
. J'envie les famille qui se font de grandes accolades remplie de chaleur lorsqu'elles se retrouvent et j'aimerai vraiment que ma famille soit en capacité d'accueillir ce genre d'effusion.
Dernière édition :
J'ai jamais côtoyé de gens si sensibles que ça à la fraîcheur des aliments, juste deux-trois personnes qui font très gaffe pour la viande (comme @
(ou alors ptet que c'est moi qui suis dégueu !)

"
Au secours.
!
) qui est morte étouffée par une arête de poisson pané. Du coup ma mère est une grande flippée et elle nous a toujours appris à vérifier avant d'engloutir nos bâtonnets Findus