Je ne supporte pas...

[Astrolabe]

Je ne supporte pas les gens et leur pratique de la capote (et en général, de la contraception).

Oui, les accidents ça arrive. Mais je ne comprendrais jamais les gens qui couchent avec quelqu'un SANS CAPOTE. Putain mais c'est si difficile à entendre ? Rapport sexuel avec quelqu'un que tu connais peu/pas = CAPOTE. Ca devrait être simple et systématique.

Franchement que ça arrive une fois à 17 ans parce qu'on est pas au courant... Ok. Mais quand je vois des gens de mon âge ou plus âgés faire de la merde, je comprends pas. Vraiment non. Moi si j'ai pas de capote, je couche avec personne et je rentre chez moi.

Mais le plus surprenant, c'est que les gens pensent avant tout à la capote comme un moyen de contraception. Perso, moi la capote, c'est avant tout contre toutes ces merdes de maladies (et le SIDA arrive en tête de ma liste). Mais non, la première réaction des filles qui couchent sans capote c'est souvent : "wouuu, vivement mes règles, j'veux pas être enceinte" alors que moi je vivrais dans l'angoisse des trois mois d'attente pour faire un dépistage. C'est peut-être horrible mais un gosse, on peut avorter, alors que le SIDA on vit avec toute sa vie avec.

Après je suis peut-être trop extrême mais je ne crois JAMAIS personne en matière de sexe. Tant que je vois pas le papier qui atteste que la personne est clean, j'enlève pas la capote.

 

[Naphtaline]

Je ne supporte plus qu'on se paie continuellement ma tête parce que j'habite dans une ville "pourrie". Alors certes j'ai un certain passif là dessus, depuis le début de mes années post-bac j'ai pas franchement vécu dans des endroits glamours / animés, etc. C'est toujours le cas aujourd'hui, mais voilà, ici, je me sens bien : j'ai trouvé des copines géniales à la fac, je sors, je vais au ciné, voir des concerts, des expos, etc. Le jour où j'ai envie de plus, y'a une grande ville à 45 min. Et voilà, j'aime bien ma vie ici, tout va bien. Mais on dirait que comme cet endroit fait pas rêver les foules, FORCEMENT ça craint, FORCEMENT je m'y fais chier, FORCEMENT y'a rien à faire. NON, bordel.
Et donc, les gens se fichent de moi quand je dis où je vis, voire ils me plaignent. Mais je vous ai rien demandé les gars, et je ne me plains pas, alors pourquoi vous vous me plaignez ? J'ai pas besoin de votre pitié ou quoi, je suis très bien où je suis, merde. C'est assez dingue ces préjugés, d'autant que la ville ne fait pas tout. Je vivrais à Paris toute seule, je serais malheureuse comme les pierres. Je préfère être dans mon coin "pourri" avec mes potesses et mes petites habitudes.

 

[Nadja__]

Je ne supporte plus qu'on se paie continuellement ma tête parce que j'habite dans une ville "pourrie". Alors certes j'ai un certain passif là dessus, depuis le début de mes années post-bac j'ai pas franchement vécu dans des endroits glamours / animés, etc. C'est toujours le cas aujourd'hui, mais voilà, ici, je me sens bien : j'ai trouvé des copines géniales à la fac, je sors, je vais au ciné, voir des concerts, des expos, etc. Le jour où j'ai envie de plus, y'a une grande ville à 45 min. Et voilà, j'aime bien ma vie ici, tout va bien. Mais on dirait que comme cet endroit fait pas rêver les foules, FORCEMENT ça craint, FORCEMENT je m'y fais chier, FORCEMENT y'a rien à faire. NON, bordel.
Et donc, les gens se fichent de moi quand je dis où je vis, voire ils me plaignent. Mais je vous ai rien demandé les gars, et je ne me plains pas, alors pourquoi vous vous me plaignez ? J'ai pas besoin de votre pitié ou quoi, je suis très bien où je suis, merde. C'est assez dingue ces préjugés, d'autant que la ville ne fait pas tout. Je vivrais à Paris toute seule, je serais malheureuse comme les pierres. Je préfère être dans mon coin "pourri" avec mes potesses et mes petites habitudes.

Pareil ! Je viens de Strasbourg et je pars vivre à Metz pour mes études et je n'ai droit qu'à des remarques à la con et des petits rictus du genre "Houla ... Metz ...".
Seules deux personnes m'ont dit "Oh c'est trop cool, tu verras c'est une jolie ville, avec les vitraux de Chagall, avec ses églises, etc".
J'ai visité Metz trois fois maintenant et :
1. Je trouve que c'est hyper mignon comme ville.
2. C'est une ville chargée d'histoire et de culture (Centre Pompidou Metz, nombreuses églises, cathédrale qui tue et je vais vivre dans un vieux quartier trop bien dans lequel on trouve des anciens commerces - à Outre Seille).
L'autre jour je bouquinais un guide concernant la ville et des types se sont foutus de moi en me disant "Metz ? C'est simple il y a rien, et puis c'est tous des consanguins là-bas". 
Euh ... mec, c'est parce que tu viens de Strasbourg que tu ne te sens plus ? J'adore Strasbourg, c'est très joli, historiquement parlant c'est intéressant mais j'aimerais comprendre en quoi vivre ici permet d'avoir un avis si prétentieux et con au sujet des autres villes ? Et je pense qu'aucun des types n'avait foutu ses pieds à Metz ...
Et puis si on se fout de l'histoire d'une ville, on perd un peu 50% de son intérêt ...

 

[Membre supprimé 93259]

Je ne supporte plus qu'on se paie continuellement ma tête parce que j'habite dans une ville "pourrie". Alors certes j'ai un certain passif là dessus, depuis le début de mes années post-bac j'ai pas franchement vécu dans des endroits glamours / animés, etc. C'est toujours le cas aujourd'hui, mais voilà, ici, je me sens bien : j'ai trouvé des copines géniales à la fac, je sors, je vais au ciné, voir des concerts, des expos, etc. Le jour où j'ai envie de plus, y'a une grande ville à 45 min. Et voilà, j'aime bien ma vie ici, tout va bien. Mais on dirait que comme cet endroit fait pas rêver les foules, FORCEMENT ça craint, FORCEMENT je m'y fais chier, FORCEMENT y'a rien à faire. NON, bordel.
Et donc, les gens se fichent de moi quand je dis où je vis, voire ils me plaignent. Mais je vous ai rien demandé les gars, et je ne me plains pas, alors pourquoi vous vous me plaignez ? J'ai pas besoin de votre pitié ou quoi, je suis très bien où je suis, merde. C'est assez dingue ces préjugés, d'autant que la ville ne fait pas tout. Je vivrais à Paris toute seule, je serais malheureuse comme les pierres. Je préfère être dans mon coin "pourri" avec mes potesses et mes petites habitudes.

Pareil ! Je viens de Strasbourg et je pars vivre à Metz pour mes études et je n'ai droit qu'à des remarques à la con et des petits rictus du genre "Houla ... Metz ...".
Seules deux personnes m'ont dit "Oh c'est trop cool, tu verras c'est une jolie ville, avec les vitraux de Chagall, avec ses églises, etc".
J'ai visité Metz trois fois maintenant et :
1. Je trouve que c'est hyper mignon comme ville.
2. C'est une ville chargée d'histoire et de culture (Centre Pompidou Metz, nombreuses églises, cathédrale qui tue et je vais vivre dans un vieux quartier trop bien dans lequel on trouve des anciens commerces - à Outre Seille).
L'autre jour je bouquinais un guide concernant la ville et des types se sont foutus de moi en me disant "Metz ? C'est simple il y a rien, et puis c'est tous des consanguins là-bas". 
Euh ... mec, c'est parce que tu viens de Strasbourg que tu ne te sens plus ? J'adore Strasbourg, c'est très joli, historiquement parlant c'est intéressant mais j'aimerais comprendre en quoi vivre ici permet d'avoir un avis si prétentieux et con au sujet des autres villes ? Et je pense qu'aucun des types n'avait foutu ses pieds à Metz ...
Et puis si on se fout de l'histoire d'une ville, on perd un peu 50% de son intérêt ...

 (et pas que parce que je viens de Metz  )

Je ne vais pas en rajouter plus sur ce que tu as dit sur Metz, mais je pense que chaque ville a un "quelque chose" qui fait qu'on peut s'y sentir bien, qu'elle soit petite ou grande.

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Je ne comprend pas pourquoi il devrait y avoir comme une compétition entre les villes, celles qui a le plus de touristes, le plus de magasins, la plus grande taille

 

[Nadja__]

Je ne supporte plus qu'on se paie continuellement ma tête parce que j'habite dans une ville "pourrie". Alors certes j'ai un certain passif là dessus, depuis le début de mes années post-bac j'ai pas franchement vécu dans des endroits glamours / animés, etc. C'est toujours le cas aujourd'hui, mais voilà, ici, je me sens bien : j'ai trouvé des copines géniales à la fac, je sors, je vais au ciné, voir des concerts, des expos, etc. Le jour où j'ai envie de plus, y'a une grande ville à 45 min. Et voilà, j'aime bien ma vie ici, tout va bien. Mais on dirait que comme cet endroit fait pas rêver les foules, FORCEMENT ça craint, FORCEMENT je m'y fais chier, FORCEMENT y'a rien à faire. NON, bordel.
Et donc, les gens se fichent de moi quand je dis où je vis, voire ils me plaignent. Mais je vous ai rien demandé les gars, et je ne me plains pas, alors pourquoi vous vous me plaignez ? J'ai pas besoin de votre pitié ou quoi, je suis très bien où je suis, merde. C'est assez dingue ces préjugés, d'autant que la ville ne fait pas tout. Je vivrais à Paris toute seule, je serais malheureuse comme les pierres. Je préfère être dans mon coin "pourri" avec mes potesses et mes petites habitudes.

Pareil ! Je viens de Strasbourg et je pars vivre à Metz pour mes études et je n'ai droit qu'à des remarques à la con et des petits rictus du genre "Houla ... Metz ...".
Seules deux personnes m'ont dit "Oh c'est trop cool, tu verras c'est une jolie ville, avec les vitraux de Chagall, avec ses églises, etc".
J'ai visité Metz trois fois maintenant et :
1. Je trouve que c'est hyper mignon comme ville.
2. C'est une ville chargée d'histoire et de culture (Centre Pompidou Metz, nombreuses églises, cathédrale qui tue et je vais vivre dans un vieux quartier trop bien dans lequel on trouve des anciens commerces - à Outre Seille).
L'autre jour je bouquinais un guide concernant la ville et des types se sont foutus de moi en me disant "Metz ? C'est simple il y a rien, et puis c'est tous des consanguins là-bas". 
Euh ... mec, c'est parce que tu viens de Strasbourg que tu ne te sens plus ? J'adore Strasbourg, c'est très joli, historiquement parlant c'est intéressant mais j'aimerais comprendre en quoi vivre ici permet d'avoir un avis si prétentieux et con au sujet des autres villes ? Et je pense qu'aucun des types n'avait foutu ses pieds à Metz ...
Et puis si on se fout de l'histoire d'une ville, on perd un peu 50% de son intérêt ...

 (et pas que parce que je viens de Metz  

Je ne vais pas en rajouter plus sur ce que tu as dit sur Metz, mais je pense que chaque ville a un "quelque chose" qui fait qu'on peut s'y sentir bien, qu'elle soit petite ou grande.

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Je ne comprend pas pourquoi il devrait y avoir comme une compétition entre les villes, celles qui a le plus de touristes, le plus de magasins, la plus grande taille

Ahhh mais pareil. Quand j'ai raconté à mon boulot que je partais en vacances au Havre, ils ont éclaté de rire. C'était pas franchement méchant mais ça ne les faisait pas rêver. Eh bien j'ai passé des vacances trop cool, j'ai pu me baigner (partiellement), boire des coups, visiter le Musée d'art moderne, flâner chez des bouquinistes, apprendre des choses sur l'architecture d'Auguste Perret, etc. Un seul bémol : cette ville n'est vraiment pas faite pour les vélos, mais c'est quoi ces énormes montées ? 

 

[Vilaine]

(à propos des tatouages)

Mais en plus je trouve ça un peu bizarre l'argument de "Bah si c'est visible c'est pas intime"

Enfin, ça me viendrais pas à l'idée de questionner quelqu'un sur, je sais pas, son surpoids/sa maigreur, ses cicatrices, son épilation des aisselles  (ça n'a pas forcément de rapport mais à mon sens ce sont des choses intimes qui sont visibles. On a pas l'obligation d'en parler quoi.). En fait je trouve ça même gonflé de dire "Si tu veux pas en parler fallait pas le montrer" comme si tout leur était du, les explications, les réponses à leurs questions, tout ça. Vous êtes pas les rois les mecs

(je me fais tatouer demain et je sens que je vais inventer un truc bidon à chaque fois qu'on me demandera la signification )

 

[Titien]

. Mais je ne comprendrais jamais les gens qui couchent avec quelqu'un SANS CAPOTE. Putain mais c'est si difficile à entendre ? Rapport sexuel avec quelqu'un que tu connais peu/pas = CAPOTE. Ca devrait être simple et systématique.

Ca me fait penser à une petite anecdote de moi au collège. Bref on a avait eu un cours là dessus et même si on avait pas cette discussion chaque matin au petit déj ma mère m'avait déjà parlé capote avant. Donc là d'un coup ma mère + la prof+ des intervenants extérieurs j'avais imprimé à 400% le "sexe=capote". Puis je sais pas pourquoi je cherchais un truc dans la chambre à mes parents et je me demandais en même temps, un peu génée/honteuse/et concon comme une pré-ado si mes parents faisaient encore l'amour hihihi Du coup j'ai fouillé dans la table de nuit et j'ai pas trouvé de préservatif. J'en ai conclu qu'ils n'avaient plus de vie sexuelle. Voilà.

bref c'était juste pour te rassurer: y a des gens qui intègrent parfaitement cette règle!!

 

[Pimpanela]

Je ne supporte pas le vomi

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[Nadja__]

Les messages de ce type sur Facebook (et "aimés" par une tonne de monde) :

J'hallucine. Oh les gens, laissez les autres faire ce qu'ils veulent. Je trouve aussi ridicule de dire "Je ne fume pas, je suis sage et j'en suis fière" que de répondre à ce message "Moi je bois, je jure, je ne suis pas coincée du cul". Mais bordel, laissez les autres vivre !

Cet aprèm j'étais sur un forum sur lequel une nana (mal aimée manifestement) débarque. Elle parle d'un truc en rapport avec le forum et là bam, des filles lui tombent dessus en partie parce qu'elles la déclarent homophobe (la nana est contre le mariage pour tous, c'est tout ce qu'on en sait) puis parce qu'il s'avère que la nana fait du porno. Et là bam, des messages du type "Je la trouvais mauvais genre, ça ne m'étonne pas qu'elle aime sucer des bites" et compagnie. Du bon gros slut-shaming (je déteste ce mot). Mais punaise, laissez la faire du porno si ça lui permet de s'éclater et de se sentir épanouie. C'est pas parce qu'on fait du porno qu'on est pas une personne bien. C'est pas parce qu'on fait du porno qu'on a une sexualité déviante de folie, la nana ne sodomise pas des poussins à la brosse à dents !
J'en ai ma claque de tous ces jugements.

 

[Naphtaline]

@Foxglove non mais, pareil !
Quand j'ai su que j'étais admise en master dans ma ville actuelle, j'ai envoyé un message à ma meilleure pote pour lui dire "Hé c'est trop cool j'ai un master, j'suis admise à *Nomdelaville* !" Sa réponse : "Ben j'espère pour toi que tu seras admise ailleurs"... Sinon, me dire que c'est cool, que t'es contente pour moi, nan jamais ?

 

[Jeanne des brums]

Je ne supporte pas les coups de blues que j'ai à l'approche de chaque période de changement dans ma vie.
Là je commence à sentir l'ambiance de la rentrée : les horaires des bus ont changé, je recroise dans ma ville plein de têtes que je n'avais pas vues depuis quelques mois parce que ces gens étaient partis en vacances ou étaient rentrés chez eux pour travailler, dans la rue les gens marchent plus vite, certains de mes amis changent d'orientation, d'autres ne sont plus là, d'autres encore quittent le monde des études pour celui de la vie active, nous on commence à parler de pré-rentrée... Bref, c'est le quotidien qui commence à se remettre en place. Et ça me fout un cafard monstrueux. C'est arrivé dimanche soir sans prévenir. Ma pote s'apprêtait à reprendre le boulot, et de penser qu'elle avait sa rentrée lundi ça m'a rappelé que ça y est, on est en septembre. C'est vrai que je ne reprends que dans une dizaine de jours, mais je sens que la période des vacances touche à sa fin. Et ça me rappelle à quel point je réagis violemment face au changement : il ne m'excite pas, il m'effraie .

Spoiler

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Mais je sais que ma réaction résulte juste du fait que je déteste tourner la page quand je me suis construit une petite "routine" qui me plaît. Je sais que d'ici un mois ou deux, quand je me serai réappropriée mon quotidien, je serai très contente. Au fond, j'aime bien ma routine, j'adore l'ambiance de la fac quand le groupe est bien constitué et soudé. J'aime étudier, écouter des cours qui m'intéressent, traîner avec mes collègues, faire mes travaux à la dernière minute, stresser toute la nuit en planchant sur mon dossier, et arriver en cours comme un gros déchet en étant trop contente d'avoir réussi à terminer à temps. J'adore les soirées du jeudi, les cours d'amphi où je me mets en boule sur ma chaise avec mon foulard sur les genoux, mes amis pas trop loin et mon café, j'aime bien tout ça. J'étais même hyper nostalgique à la fin de l'année scolaire dernière. C'est fou comme je peux être pessimiste : je ne voulais pas être en vacances, je ne voulais pas que l'année se termine. Et là je ne veux pas reprendre les cours, je ne veux pas que l'année commence.  Putain comment je déteste avoir ce vieux cafard déprimant là. Vivement que la rentrée arrive pour de bon, parce que je sens qu'elle va peser sur mes derniers jours de vacances comme un vieux spectre barbant Ou alors il faut que je noie cette angoisse dans quelque chose

De rien pour ce post très joyeux Et pas citer svp.

 

[katnissvsw]

Je ne supporte pas les gens qui sont tellement fermés d'esprit qu'ils  pensant que ceux qui ne sont pas de leur avis foutent le bordel alors que sans aucune ambiguïté, la personne ne pose aucun soucis.
C'est juste la question ou la remarque qui pose problème parce qu'elle remet en question leurs idées préconçues.