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Membre supprimé 128106
Guest
Pour le truc de "sauver la planète", ça peut sous-entendre : la planète avec tout ce qu'elle contient, dont la faune et la flore, non ?
Je ne supporte pas...
- Initiateur de la discussion Hawley
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@Etp Ah ben j'en doute pas qu'il faudra énormément de temps pour s'en remettre. Mais chacun à ses raisons d'être écolo/vegan etc... mais je pense vraiment que y a des gens qui sortent "Pour la planète" parce qu'ils ont pas envi de se faire taper dessus s'ils disent la vérité par des gens qui les comprendraient pas.
Moi je vais aller encore plus loin que @MaryJAnna mais l’écologie à part sauver nos fesses, je vois pas l’intérêt de sauver la faune et la flore actuelle en fait.
Tout est issu de l’adaptation, si une espèce X disparaît, un jour il y aura Y. Pourquoi vouloir à tout prix sauver X ?
Si un jour on disparaît (les humains), ce qui arrivera sûrement, la nature reprendra très vite ses droits et il y aura sans doute de toutes nouvelles espèces.
Tout est issu de l’adaptation, si une espèce X disparaît, un jour il y aura Y. Pourquoi vouloir à tout prix sauver X ?
Si un jour on disparaît (les humains), ce qui arrivera sûrement, la nature reprendra très vite ses droits et il y aura sans doute de toutes nouvelles espèces.
@PetitePaille T'as pas intêret à sortir le coup de l'ère glaciaire sans déconner 
Nan plus sérieux, en fait quand c'est les lois de la nature, qu'une espèce soit vouée à disparaitre d'accord. Mais quand c'est à cause de la connerie et de l'égoïsme de l'Homme ça c'est encore autre chose.
Nan plus sérieux, en fait quand c'est les lois de la nature, qu'une espèce soit vouée à disparaitre d'accord. Mais quand c'est à cause de la connerie et de l'égoïsme de l'Homme ça c'est encore autre chose.
@PetitePaille "très vite" je sais pas, je crois qu'il faut des millions d'années pour qu'un écosystème se recrée. C'est ce que j'avais lu pour l'Australie il me semble 
donc si je suis ton raisonnement, on peut continuer à sacrifier le présent puisque de toute façon, dans un hypothétique futur, tout reviendra "à la normale"? De façon plus générale il ne s'agit pas seulement de sauver pour sauver, mais aussi d'épargner des souffrances aux espèces exploitées, ou dont les habitats sont détruits, souvent pour des raisons hyper égoïstes en plus (je pense au trafic de fourrure, d'ivoire, etc.)
donc si je suis ton raisonnement, on peut continuer à sacrifier le présent puisque de toute façon, dans un hypothétique futur, tout reviendra "à la normale"? De façon plus générale il ne s'agit pas seulement de sauver pour sauver, mais aussi d'épargner des souffrances aux espèces exploitées, ou dont les habitats sont détruits, souvent pour des raisons hyper égoïstes en plus (je pense au trafic de fourrure, d'ivoire, etc.)
@PetitePaille
Avec ton raisonnement, on peut partir super loin Genre, si tu trouves un moyen de sauver tes fesses à toi et les gens que tu aimes, tu t'en fous des conséquences pour les autres?
Avec ton raisonnement, on peut partir super loin
Genre, si tu trouves un moyen de sauver tes fesses à toi et les gens que tu aimes, tu t'en fous des conséquences pour les autres?
@TennanTen @Chandernagor @Margay
Je vous réponds en même temps.
Disons que j’ai surtout l’impression qu’il y a beaucoup d’hypocrisie derrière le sujet. Si c’était pas par inquiétude de l’avenir de notre propre espèce, je pense que la plupart des gens s’en tamponneraient le coquillart de sauver des bébés ours.
Mais sinon à côté de ça, ma réflexion était plus philosophique qu’autre chose. Si on met de côté l’argument de souffrance supplémentaire que je comprends. J’ai du mal à comprendre en revanche le fait de vouloir qu’une espèce se perpétue. Je prends l’exemple des loups, on a en france fait en sorte qu’il n’y ait plus de loup puis on a voulu en réintroduire quelque uns (tellement peu qu’ils changent d’ailleurs concrètement rien à l’écosystème), mais dans quel but ? Pourquoi vouloir à tout prix conserver les choses telles qu’elles sont ?
En revanche comme je l’ai dit plus haut, je comprends l’argument de ne pas vouloir faire souffrir les autres espèces. Même si à côté de ça, si on est omnivores et donc qu’on accepte de tuer pour manger ça reste un tant soit peu illogique.
Je vous réponds en même temps.
Disons que j’ai surtout l’impression qu’il y a beaucoup d’hypocrisie derrière le sujet. Si c’était pas par inquiétude de l’avenir de notre propre espèce, je pense que la plupart des gens s’en tamponneraient le coquillart de sauver des bébés ours.
Mais sinon à côté de ça, ma réflexion était plus philosophique qu’autre chose. Si on met de côté l’argument de souffrance supplémentaire que je comprends. J’ai du mal à comprendre en revanche le fait de vouloir qu’une espèce se perpétue. Je prends l’exemple des loups, on a en france fait en sorte qu’il n’y ait plus de loup puis on a voulu en réintroduire quelque uns (tellement peu qu’ils changent d’ailleurs concrètement rien à l’écosystème), mais dans quel but ? Pourquoi vouloir à tout prix conserver les choses telles qu’elles sont ?
En revanche comme je l’ai dit plus haut, je comprends l’argument de ne pas vouloir faire souffrir les autres espèces. Même si à côté de ça, si on est omnivores et donc qu’on accepte de tuer pour manger ça reste un tant soit peu illogique.
@MaryJAnna Oui c'est peut être le cas pour certains. Pour ma part, que l'être humain y survive ou pas, c'est le cadet de mes soucis . Ma propre survie, je trouve cela peu pertinent par rapport à l'écologie (dans le sens où je mourrais de toute manière un jour, changer la planète n'y changera rien).
Si je suis écolo, c'est avant tout pour la faune et la flore. Eux, ils ont rien demandés. Non seulement, on leur cause 3 tonnes de problèmes directement par notre activité et pour le plaisir mais, en plus, on leur impose les conséquences d'un réchauffement pour lequel ils n'y sont pour rien. Je trouve ça d'une injustice crasse et je déteste l'injustice.
Je pense que si on était la seule espèce sur Terre, je m'en fouterais un peu de l'écologie. On a fait de la merde, l'espèce s'éteint, juste retour des choses.
Si je suis écolo, c'est avant tout pour la faune et la flore. Eux, ils ont rien demandés. Non seulement, on leur cause 3 tonnes de problèmes directement par notre activité et pour le plaisir mais, en plus, on leur impose les conséquences d'un réchauffement pour lequel ils n'y sont pour rien. Je trouve ça d'une injustice crasse et je déteste l'injustice.
Je pense que si on était la seule espèce sur Terre, je m'en fouterais un peu de l'écologie. On a fait de la merde, l'espèce s'éteint, juste retour des choses.
@PetitePaille
De mon côté, je pense pas que ce soit par hypocrisie, déjà parce que pour notre survie, osef des ours blancs, ensuite je vois sur les réseaux sociaux énormément de gens misanthrope qui considèrent que les autres animaux valent mieux que les humains et qu'on ferait mieux de disparaître et enfin, dans le monde occidentale c'est assez récent cette idée d'urgence environnementale et du fait que nous aussi on va être touché. A mon avis, le fait qu'on va en baver reste un concept assez flou et lointain même pour plein d'écolo.
Fin je sais pas, par exemple le fait que beaucoup de nos biens de consommation soit issus du travail forcé, tout le monde occidental peut s'en foutre parce que ça nous concerne pas et pourtant y'a plein de gens qui luttent contre, ça dépends de notre sensibilité. Les humains sont quand même des êtres sociaux et d'empathie, c'est pas déconnant d'être touché par des trucs qui n'influencent pas directement notre vie.
Et concernant la réhabilitation, c'est pour des questions d'équilibre des écosystèmes, et un attachement à la nature telle qu'elle a évolué jusque là j'imagine. C'est vrai qu'on peut s'en passer du loup, et on doit pouvoir se passer d'a peu prêt tout tant qu'on a l'énergie pour produire ce dont on a besoin, mais le fait qu'on ait un impact aussi négatif sur des écosystèmes qui ont mis des milliers d'années à évoluer, je trouve ça juste... Triste
De mon côté, je pense pas que ce soit par hypocrisie, déjà parce que pour notre survie, osef des ours blancs, ensuite je vois sur les réseaux sociaux énormément de gens misanthrope qui considèrent que les autres animaux valent mieux que les humains et qu'on ferait mieux de disparaître et enfin, dans le monde occidentale c'est assez récent cette idée d'urgence environnementale et du fait que nous aussi on va être touché. A mon avis, le fait qu'on va en baver reste un concept assez flou et lointain même pour plein d'écolo.
Fin je sais pas, par exemple le fait que beaucoup de nos biens de consommation soit issus du travail forcé, tout le monde occidental peut s'en foutre parce que ça nous concerne pas et pourtant y'a plein de gens qui luttent contre, ça dépends de notre sensibilité. Les humains sont quand même des êtres sociaux et d'empathie, c'est pas déconnant d'être touché par des trucs qui n'influencent pas directement notre vie.
Et concernant la réhabilitation, c'est pour des questions d'équilibre des écosystèmes, et un attachement à la nature telle qu'elle a évolué jusque là j'imagine. C'est vrai qu'on peut s'en passer du loup, et on doit pouvoir se passer d'a peu prêt tout tant qu'on a l'énergie pour produire ce dont on a besoin, mais le fait qu'on ait un impact aussi négatif sur des écosystèmes qui ont mis des milliers d'années à évoluer, je trouve ça juste... Triste
@pikalovescoke On en revient à ce que je dis dans mon second message, c'est déjà une cause suffisamment noble, pas besoin d'en rajouter.
@MaryJAnna
Je vois pas en quoi c'est en rajouter, c'est juste une figure de style, la métonymie je crois, qui consiste à désigner la partie par le tout. Ça n'est pas censé être pris littéralement, comme toutes les expressions. En plus celle-ci existe en tant qu'expression toute faite depuis des lustres, c'est un peu normal que les gens l'utilisent couramment.
Je vois pas en quoi c'est en rajouter, c'est juste une figure de style, la métonymie je crois, qui consiste à désigner la partie par le tout. Ça n'est pas censé être pris littéralement, comme toutes les expressions. En plus celle-ci existe en tant qu'expression toute faite depuis des lustres, c'est un peu normal que les gens l'utilisent couramment.
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