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Je ne supporte pas...
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@Madthilde
@La Dame Grise t'a déjà répondu mais en fait oui, ça a du sens sur le plan phonétique parce que la prononciation de have et of est exactement la même, comme un "sa va?".
@La Dame Grise t'a déjà répondu mais en fait oui, ça a du sens sur le plan phonétique parce que la prononciation de have et of est exactement la même, comme un "sa va?".
Je me sens toujours coupable quand même, c'est fou
Je suppose que c'est le côté humain du fait de faire des erreurs qui me touche, sauf que sur certains métiers, tu as une marge d'erreurs plus ou moins grande.
@Calli
En général je me méfie des gens "francs" parce que souvent leur franchise est un moyen de balancer des méchancetés sans retenue ("ah mais j'avais averti que moi j'étais franche" - "ouais y'a franche et connasse...") et je me méfie des gens qui se présentent comme "francs" parce que comme tu le dis, souvent c'est de la franchise qui se termine en ragots.
La bonne nouvelle c'est que les gens qui propagent des ragots sont des gens mal dans leur peau. Donc dis-toi qu'au fond elle souffre plus que vous tous et qu'elle pleure peut-être le soir en rentrant (je sais il n'y a pas de quoi s'en réjouir mais si ça peut t'aider à relativiser).
En général je me méfie des gens "francs" parce que souvent leur franchise est un moyen de balancer des méchancetés sans retenue ("ah mais j'avais averti que moi j'étais franche" - "ouais y'a franche et connasse...") et je me méfie des gens qui se présentent comme "francs" parce que comme tu le dis, souvent c'est de la franchise qui se termine en ragots.
La bonne nouvelle c'est que les gens qui propagent des ragots sont des gens mal dans leur peau. Donc dis-toi qu'au fond elle souffre plus que vous tous et qu'elle pleure peut-être le soir en rentrant (je sais il n'y a pas de quoi s'en réjouir mais si ça peut t'aider à relativiser).
@Nastja
En ce qui me concerne, j'ai souvent du mal à définir la frontière entre franchise et méchanceté, ce qui me fait régulièrement mettre les pieds dans le plat. Tout ça pour dire que parmi les gens que tu cites il y en a qui sont aussi dans mon cas
En ce qui me concerne, j'ai souvent du mal à définir la frontière entre franchise et méchanceté, ce qui me fait régulièrement mettre les pieds dans le plat. Tout ça pour dire que parmi les gens que tu cites il y en a qui sont aussi dans mon cas
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@skippy01
Désolée c'est pas contre toi mais depuis quelques temps les gens citent mes messages alors que j'ai mis en signature de ne pas citer mes messages. Avant ça n'arrivait pas... la signature ne se voit plus?
Bref, non mais de ce que j'ai pu voir dans les messages que tu postes, je me rends compte que tu ne cherches pas à blesser ou alors que tu n'écris pas en t'en fichant complètement du ressenti des autres.
J'ai en exemple la meuf qui va te dire : "ouais désolée t'es grosse...mais bon tu fais que bouffer aussi! Quoi? Ah non mais moi je suis franche hein!" ou "Machine elle est trop timide c'est pas possible! Je lui ai dit de se secouer parce que je peux pas rester plus de 30mn avec quelqu'un comme ça... Ouais je lui ai dit, m'en fous, moi je suis franche, si on n'aime pas ce que je dis, on n'a qu'à pas venir me parler."
Après je suis hyper sensible donc j'essaye de faire très attention à ce que mes mots peuvent signifier et je suis tout l'inverse des personnes franches, je suis très diplomate (parfois je peux mettre les pieds dans le plat, je ne suis pas parfaite). Là où ça peut être l'inverse de la franchise c'est que je peux utiliser de la communication non violente à des fins de légère manipulation, notamment au travail (c'est jamais méchant, ni pour nuire).
Désolée c'est pas contre toi mais depuis quelques temps les gens citent mes messages alors que j'ai mis en signature de ne pas citer mes messages. Avant ça n'arrivait pas... la signature ne se voit plus?
Bref, non mais de ce que j'ai pu voir dans les messages que tu postes, je me rends compte que tu ne cherches pas à blesser ou alors que tu n'écris pas en t'en fichant complètement du ressenti des autres.
J'ai en exemple la meuf qui va te dire : "ouais désolée t'es grosse...mais bon tu fais que bouffer aussi! Quoi? Ah non mais moi je suis franche hein!" ou "Machine elle est trop timide c'est pas possible! Je lui ai dit de se secouer parce que je peux pas rester plus de 30mn avec quelqu'un comme ça... Ouais je lui ai dit, m'en fous, moi je suis franche, si on n'aime pas ce que je dis, on n'a qu'à pas venir me parler."
Après je suis hyper sensible donc j'essaye de faire très attention à ce que mes mots peuvent signifier et je suis tout l'inverse des personnes franches, je suis très diplomate (parfois je peux mettre les pieds dans le plat, je ne suis pas parfaite). Là où ça peut être l'inverse de la franchise c'est que je peux utiliser de la communication non violente à des fins de légère manipulation, notamment au travail (c'est jamais méchant, ni pour nuire).
J'ai une collègue qui parle beaucoup (et souvent pour raconter des trucs avec moult détails) et qui ne pose pas souvent de questions à l'autre. C'est un peu lassant, j'aime pas trop ça. Surtout que je suis un peu introvertie et que je fais l'effort de faire la conversation, bien des fois.
Cette conversation me fait penser que je supporte pas quand quelqu'un dit "je suis une personne entière"; en fait j'ai rencontré dans ma vie qu'une personne qui disait ça et j'ai vraiment l'impression que c'était pour se rassurer d'un truc mais je sais pas, je comprends pas vraiment ce que ça veut dire, et dans le contexte où c'était dit, ça me rendait plutôt, huuum, triste pour cette personne (haha le post pas clair du tout, je sais pas moi même où je veux en venir 
)
En tout cas, j'aime pas cette expression, pour moi, on est tous entier et voilà
@Nastja
Je pense qu'on peut être franche et diplomate, le tout est de dire les choses, mais tout en restant respectueux
)En tout cas, j'aime pas cette expression, pour moi, on est tous entier et voilà
@Nastja
Je pense qu'on peut être franche et diplomate, le tout est de dire les choses, mais tout en restant respectueux
- ne pas citer -
@Margay
Ça reste un profil rare le franche et diplomate. La plupart des gens se sentent dans leur bon droit d'exprimer leur avis sans filtre, sans nuances.
Et tout dépend de ce que tu as à dire. Parfois il vaut mieux rien dire si tu comptes balancer une méchanceté gratuite (c'est un "tu" général, pas pour toi
).
@Margay
Ça reste un profil rare le franche et diplomate. La plupart des gens se sentent dans leur bon droit d'exprimer leur avis sans filtre, sans nuances.
Et tout dépend de ce que tu as à dire. Parfois il vaut mieux rien dire si tu comptes balancer une méchanceté gratuite (c'est un "tu" général, pas pour toi
).
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@Nastja
Ouai, c'est tout le problème, ceux qui donnent leur avis sans qu'il soit demandé... Une personne franche et honnête, j'imagine qu'elle dit ce qu'elle pense, quand on lui demande son avis "Tiens j'ai composé une musique, tu aimes bien? -> Humf franchement pas trop, c'est pas mon style :/ ; mais c'est grave stylé que tu composes tes propres musiques !"
Ouai, c'est tout le problème, ceux qui donnent leur avis sans qu'il soit demandé... Une personne franche et honnête, j'imagine qu'elle dit ce qu'elle pense, quand on lui demande son avis "Tiens j'ai composé une musique, tu aimes bien? -> Humf franchement pas trop, c'est pas mon style :/ ; mais c'est grave stylé que tu composes tes propres musiques !"
Je ne supporte pas les descriptions des héroïnes et des personnages secondaires féminins dans la plupart des livres. Elles les définissent de manière quasi-systématique soit comme étant de JEUNES femmes ou des femmes VIEILLES et LAIDES.
“Cinderella était une jeune femme brillante.”
“Georgette était une jeune femme douce et attentionnée.”
“Linda était une jeune femme au caractère bien trempé.”
Que les adjectifs accolés soient mélioratifs ou non, cela ne change rien à ma perception du mot “jeune”, sans cesse englué avec le mot “femme” dans les fictions ou les journaux. J’ai l’impression de lire entre les lignes “chair fraîche aux fesses rebondies et aux seins opulents qui va servir de faire-valoir” ou “c’est une adulte mais elle demeure suffisamment ignorante pour être désirable”.
J’ai l’impression, peut-être à tort, que les livres décrivent moins souvent les hommes de cette manière “le jeune homme”.
D’une manière similaire, je ne supporte pas les messages, les articles, les propos, les personnes qui opposent sans cesse “les hommes” et “les filles” dans leurs discours. J’y vois une infantilisation récurrente du genre féminin masquée par une prétendue volonté de paraître branché.e/décontracté.e/autre raison obscure. D’ailleurs, pour moi, quand on dit “les gars”, “les mecs”, 1) cela ne traduit pas l’infantilisation des femmes comme le fait “les filles” 2) cela ne comprend pas les personnes de genre féminin.
Bref, à chaque fois que je parle de cela, on me dit que j'exagère. Même problématique au niveau des femmes politiques qu’on mentionnerait bien plus souvent par leur prénom que leur nom.
“Cinderella était une jeune femme brillante.”
“Georgette était une jeune femme douce et attentionnée.”
“Linda était une jeune femme au caractère bien trempé.”
Que les adjectifs accolés soient mélioratifs ou non, cela ne change rien à ma perception du mot “jeune”, sans cesse englué avec le mot “femme” dans les fictions ou les journaux. J’ai l’impression de lire entre les lignes “chair fraîche aux fesses rebondies et aux seins opulents qui va servir de faire-valoir” ou “c’est une adulte mais elle demeure suffisamment ignorante pour être désirable”.
J’ai l’impression, peut-être à tort, que les livres décrivent moins souvent les hommes de cette manière “le jeune homme”.
D’une manière similaire, je ne supporte pas les messages, les articles, les propos, les personnes qui opposent sans cesse “les hommes” et “les filles” dans leurs discours. J’y vois une infantilisation récurrente du genre féminin masquée par une prétendue volonté de paraître branché.e/décontracté.e/autre raison obscure. D’ailleurs, pour moi, quand on dit “les gars”, “les mecs”, 1) cela ne traduit pas l’infantilisation des femmes comme le fait “les filles” 2) cela ne comprend pas les personnes de genre féminin.
Bref, à chaque fois que je parle de cela, on me dit que j'exagère. Même problématique au niveau des femmes politiques qu’on mentionnerait bien plus souvent par leur prénom que leur nom.
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