@Anera @123pourquoi @Solemnia
J'ai bien lu vos messages
et effectivement, je n'avais pas conscience de ce genre de situations. Je vis parfois (souvent) dans un monde de Bisounours où les parents peuvent et subviennent aux besoins de leurs enfants et j'oublie que ce n'est pas toujours le cas, que ce soit par manque de moyen ou autre. 
Ce qui me gêne par rapport à ça, c'est que dans cette situation là que je raconte, la miss touchait la même bourse que quelqu'un qui a dû prendre un appartement, qui a dû gérer l'absence de bourse en décembre, qui a dû aussi prendre les transports en commun et qui éventuellement sortait le soir de temps en temps.
Et effectivement, 150€, ce n'est pas grand chose. Et à choisir, je préfère encore une situation où la miss touche sa bourse et où les personnes qui ont dû prendre un appart touchent une bourse plus importante, ou des aides supplémentaires (parce que même avec l'APL, c'est pas gagné).
Ça n'a pas forcément grand chose à voir, mais je suis pour un revenu de base inconditionnel, et surtout, ça m'exaspère qu'on laisse les étudiants dans un état avoisinant le seuil de pauvreté, à gérer finalement leurs études et un job à côté et/ou pendant les vacances.
Je peux reformuler mon JNCP en « Je ne comprends pas qu'une personne devant se loger, se nourrir, et subvenir à ses besoins touche la même bourse qu'une personne nourrie-logée chez ses parents ». Mon but n'est pas d'enlever à l'un, mais plutôt d'en rajouter à l'autre.
Et si à nouveau, j'ai été maladroite dans mes propos, n'hésitez pas à me le dire, mon but n'est absolument pas de stigmatiser les boursiers, quelles que soient leurs situations ; je n'ai jamais été boursière, mais j'ai vu des camarades de fac galérer à mort pour manger, parce que la bourse ne couvrait pas toutes les dépenses, que le RU augmente chaque année, ainsi que les transports en commun, l'électricité, le gaz, etc. Et que quelqu'un puisse vivre sa scolarité de façon confortable, que ce soit grâce à ses parents et/ou aux bourses, je trouve que c'est tant mieux pour cette personne.
(Edit : faute de conjugaison)
J'ai bien lu vos messages
et effectivement, je n'avais pas conscience de ce genre de situations. Je vis parfois (souvent) dans un monde de Bisounours où les parents peuvent et subviennent aux besoins de leurs enfants et j'oublie que ce n'est pas toujours le cas, que ce soit par manque de moyen ou autre. 
Ce qui me gêne par rapport à ça, c'est que dans cette situation là que je raconte, la miss touchait la même bourse que quelqu'un qui a dû prendre un appartement, qui a dû gérer l'absence de bourse en décembre, qui a dû aussi prendre les transports en commun et qui éventuellement sortait le soir de temps en temps.
Et effectivement, 150€, ce n'est pas grand chose. Et à choisir, je préfère encore une situation où la miss touche sa bourse et où les personnes qui ont dû prendre un appart touchent une bourse plus importante, ou des aides supplémentaires (parce que même avec l'APL, c'est pas gagné).
Ça n'a pas forcément grand chose à voir, mais je suis pour un revenu de base inconditionnel, et surtout, ça m'exaspère qu'on laisse les étudiants dans un état avoisinant le seuil de pauvreté, à gérer finalement leurs études et un job à côté et/ou pendant les vacances.
Je peux reformuler mon JNCP en « Je ne comprends pas qu'une personne devant se loger, se nourrir, et subvenir à ses besoins touche la même bourse qu'une personne nourrie-logée chez ses parents ». Mon but n'est pas d'enlever à l'un, mais plutôt d'en rajouter à l'autre.
Et si à nouveau, j'ai été maladroite dans mes propos, n'hésitez pas à me le dire, mon but n'est absolument pas de stigmatiser les boursiers, quelles que soient leurs situations ; je n'ai jamais été boursière, mais j'ai vu des camarades de fac galérer à mort pour manger, parce que la bourse ne couvrait pas toutes les dépenses, que le RU augmente chaque année, ainsi que les transports en commun, l'électricité, le gaz, etc. Et que quelqu'un puisse vivre sa scolarité de façon confortable, que ce soit grâce à ses parents et/ou aux bourses, je trouve que c'est tant mieux pour cette personne.
(Edit : faute de conjugaison)
Dernière édition :
, surtout que je me suis prise le même genre de réflexion par des proches... Mais je te rejoins pour l'augmentation des frais, c'est vraiment affolant, on n'est pas des vaches à lait.
Cette histoire de revenu de base est vraiment intéressant, je vais aller lire les 14 pages données par 
On n'est jamais *vraiment* l'esprit totalement libre (enfin, je parle des étudiants qui s'investissent dans leurs études hein), car dans le fond on a toujours un truc à faire en dehors des heures de cours. Une fois que je me suis mise à travailler, ou même durant des jobs d'été, j'appréciais vraiment l'aspect "fini rideau fermé" de la fin de journée de boulot, que je ne trouvais pas durant mes études (je sais pas pour vous, mais quand je glandais, y'avait toujours cette pointe de culpabilité car toujours un truc à faire/relire/réviser...).
Genre la majorité des étudiants espèrent, a priori, trouver un boulot suite aux études qu'ils ont faites, et dans ce cas le temps passé en études est la condition sine qua non pour ensuite pouvoir contribuer à la vie en société.
(Exemple : le film d'animation Vice-Versa en français, Inside Out en anglais)
et ne parlons pas du clip...ces paroles, cette danse, c'est, je sais pas comment dire, c'est tout mielleux et tout collant, en fait je ne peux pas m'empêcher d'être dégoûtée, en plus d'être énervée !
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je trouve plus productif de râler en "tirant vers le haut", plutôt que vers le bas. En gros, pour moi, oui c'est injuste, mais ce qui est injuste c'est que des jeunes soient obligés de travailler en étudiant, c'est injuste que des jeunes ne puissent tout simplement pas accéder aux études supérieures... mais ce n'est pas "injuste" que des jeunes puissent étudier ET avoir des loisirs, pour moi ça c'est NORMAL et ce à quoi on devrait aspirer, pour tous.
)