Pour moi, dans ce cas là, la direction demande si c'est exceptionnelle, ou si la situation risque de se répéter. Si c'est exceptionnel, ok mais l'employé doit entendre que l'année prochaine, elle passera en dernier.@Lylia-B le truc c'est que je suis pas certaine que ce soit vraiment un CHOIX de direction que de prioriser les parents au bout du compte. Car comme je le disais, lorsqu'un employé demandant des congés sur une période donnée (vacances scolaires et donc Noël par exemple) avance l'argument "Je ne peux pas faire autrement car j'ai mon/mes enfant(s) et pas de mode de garde disponible" que peut répondre la direction ?
Alors bien sûr, une des réponses à cette problématique serait de multiplier la disponibilité des modes de garde ainsi que leur accessibilité. La "faute" n'en reviens pas au parent en question qui n'y peut pas grand chose non plus.
Mais voilà, au bout du compte à l'instant T c'est celui ou celle sans enfant qui se voit obliger de "céder" sur ses dates de congés...
Si c'est un problème structurel, soit l'employeur peut essayer de proposer des aménagements (par exemple télétravail si l'enfant est assez grand), soit il faut mettre à plat avec l'employé que non, ça ne sera pas possible de toujours lui donner la priorité.
Effectivement, si l'employé avec enfant est réellement coincé... ben oui y a pas trop le choix. Là y a une question limite vitale : un enfant de 3-4 ans ne peut pas se garder seul
Mais ça ne devrait pas être un problème récurrent