Je sors tout juste de Tree of Life, et c'est fou ce que les films de Malick sont beau. Ça m'avait déjà marqué dans la Ligne Rouge, que j'avais adoré, mais c'est véritablement magnifique.
J'avais beaucoup entendu parler de la séquence de "création du monde" et j'avais entendu pas mal de critique de cet aspect là ( au Masque et la Plume notamment, avec un mec qui avouait avoir aimé mais s'être quand même un peu endormi) et en fait, ça doit être quelque chose de propre à Malick, mais ça à totalement marché sur moi, il y à cette "grâce" justement, qui fait que les images s'enchainent d'une manière très belle, très cohérente, avec la musique que j'ai trouvé sublime.
L'histoire centrale de la famille m'a parfois un peu désarçonné. En fait, Malick semble donner des réponses dès le début du film,
. Ce qui aurait tendance à me faire tiquer, à me déranger même, mais j'ai davantage l'impression qu'on se retrouve face à un questionnement constant, un balancement perpétuel. C'est aussi très beau cette manière qu'il a de faire revenir les souvenirs, par petite touche fragile.
Enfin bref, j'étais dans une ambiance très particulière en le regardant, sans savoir ou je me trouvais, parfois très détachée, parfois au bord des larmes ( voire totalement en larme) J'ai mis beaucoup de temps avant de quitter la salle, avant de "sortir" de l'état dans lequel j'étais.
J'avais beaucoup entendu parler de la séquence de "création du monde" et j'avais entendu pas mal de critique de cet aspect là ( au Masque et la Plume notamment, avec un mec qui avouait avoir aimé mais s'être quand même un peu endormi) et en fait, ça doit être quelque chose de propre à Malick, mais ça à totalement marché sur moi, il y à cette "grâce" justement, qui fait que les images s'enchainent d'une manière très belle, très cohérente, avec la musique que j'ai trouvé sublime.
L'histoire centrale de la famille m'a parfois un peu désarçonné. En fait, Malick semble donner des réponses dès le début du film,
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Enfin bref, j'étais dans une ambiance très particulière en le regardant, sans savoir ou je me trouvais, parfois très détachée, parfois au bord des larmes ( voire totalement en larme) J'ai mis beaucoup de temps avant de quitter la salle, avant de "sortir" de l'état dans lequel j'étais.