@Zym surtout que le bleu a été hyper popularisé grâce à Elsa, de la reine des neiges. Perso je vois clairement un avant/après dans les rayons depuis ce dessin animé, c'est plus facile de trouver des vêtements de cette couleur (en même temps il a apporté tellement de trucs cools ce DA).
@Treize t'as essayé Primark ? C'est cracra comme marque niveau éthique mais je trouve certains rayons plutôt intéressant sur la mixité (même si ya des parties très froufrou et dentelles, forcément).
Et effectivement je trouve ça important ce que soulève
@Frodon_. Ici on essaye au maximum d'ouvrir et de lui laisser marge, d'essayer petit à petit d'introduire que genre =/= sexe (en parlant d'une personne dans la rue "c'est peut être une dame", on utilise le mot "personne", "gens", des choses assez neutres). Elle a eu une période où elle se genrait au masculin d'ailleurs, on lui a laissé s'approprier ça et on l'appelait par son nouveau prénom (et pourtant celles qui ont déjà vu sa bouille savent qu'elle est typique de la petite poupée blonde/roux vénitien avec des anglaises

). On a pris de plein fouet pendant les vacances la difficulté que ça pouvait être d'élever un enfant qui était assignée fille (à trois ans on a déjà piétiné son consentement, cimer l'impression que j'ai depuis de pas avoir su la protéger) avec la pression qui allait avec. Pour ma part je n'avais aucune différence. Mon mec avait une préférence pour une fille pour des raisons justement purement sexistes : il savait qu'il n'arriverait pas à élever un garçon de manière aussi neutre qu'une fille (il offre une tronçonneuse à sa fille, il aurait eu du mal à offrir une robe de princesse à son fils, car comme l'ont dit certaines, ça rentre dans les moeurs de se rapprocher à ce qui est identifié comme masculin, mais pas l'inverse).