Après clairement, faut faire selon votre feeling. Mon neveu était HYPER difficile et ne mangeait rien voire pas grand chose. Mon frère et sa femme ont été très patients avec lui (bien plus qu'on ne l'aurait été nous), ils l'ont vraiment accompagné sur le sujet et nombre de repas se sont finis en vache qui rit + biberon cacaoté le soir même à 3 ans parce qu'elle ne voulait pas qu'il se couche le ventre vide et qu'il refusait de goûter à tout. Et à plus de 4 ans, il mange plutôt bien maintenant
. C'est toujours un moment un peu touchy le repas mais il suffit de ne pas se focaliser dessus et ça passe.
C'était un bébé qui était difficile même au biberon donc ils en ont pris leur parti.
Je m'étais mis une pression de malade sur la bouffe et finalement un jour je me suis détendue en me disant que s'ils n'avaient pas goûté le rutabaga à 2 ans c'était pas très grave, qu'un Kinder c'était pas la fin du monde etc. J'ai un peu lâché de lest mais je sais que je suis déjà plus rigide sur la bouffe que la normale (quand je regarde le caddie de parents d'enfants du même âge, je culpabilise parfois de ne pas leur acheter de "desserts d'enfants", de jus de fruits et autres trucs estampillés enfants). Mon mari c'était encore un autre délire (lui devait finir totalement ses assiettes sinon il se les trainait sur plusieurs repas). Donc au final on est arrivés à force de compromis et discussions à notre fonctionnement actuel qu'on ne regrette pas du tout.
Tout ça pour dire que c'est vraiment très personnel. On a chacun des points plus sensibles que d'autres et du coup faut faire en fonction de ça et de l'enfant.

C'était un bébé qui était difficile même au biberon donc ils en ont pris leur parti.
Je m'étais mis une pression de malade sur la bouffe et finalement un jour je me suis détendue en me disant que s'ils n'avaient pas goûté le rutabaga à 2 ans c'était pas très grave, qu'un Kinder c'était pas la fin du monde etc. J'ai un peu lâché de lest mais je sais que je suis déjà plus rigide sur la bouffe que la normale (quand je regarde le caddie de parents d'enfants du même âge, je culpabilise parfois de ne pas leur acheter de "desserts d'enfants", de jus de fruits et autres trucs estampillés enfants). Mon mari c'était encore un autre délire (lui devait finir totalement ses assiettes sinon il se les trainait sur plusieurs repas). Donc au final on est arrivés à force de compromis et discussions à notre fonctionnement actuel qu'on ne regrette pas du tout.
Tout ça pour dire que c'est vraiment très personnel. On a chacun des points plus sensibles que d'autres et du coup faut faire en fonction de ça et de l'enfant.