Oulala y en a eu des commentaires en une soirée
Je reviens sur des citations de mon 2ème message, ça a été un peu mal interpété, ou je ne me suis pas assez expliquée, quand j'ai dit que: si dans les conditions de l'expo on a dit aux gens de faire ce qu'ils voulaient, et si l'acteur a donné son consentement, ce n'était pas vraiment un viol.
Je m'explique un petit peu. Je suis tout d'accord que dans 100% des cas, une relation sexuelle sans consentement est un viol, et qu'il n'y a RIEN à imputer à la victime. Mais je trouve que ici la situation vraiment particulière et invite à se poser des questions. Premier point qui a été pas mal soulevé, c'est celui de la sécurité, comment les organisateurs avec des conditions pareilles n'ont pas pu penser à installer une caméra ou un systeme de sécurité ?
Ensuite quand le concept a été validé, j'ai du mal à croire que l'idée que quelqu'un le touche de façon inappropriée n'ait pas été envisagée. Ca parait dingue. Donc je ne comprends pas pourquoi il n'y ait pas eu un des deux cas de figure: ou on fout des caméras, ou l'acteur accepte et s'engage à ce que tout ce qui se passe dans la salle soit au nom de l'art.
Dans ce cas s'il donne son consentement sur l'utilisation que les gens peuvent faire de son art, et donc ici de son corps, est-ce toujours un viol ?
Alors oui il explique dans ses vidéos qu'il a été violé, et donc ça révoque cette hypothèse, mais y a quand même beaucoup de choses qui, personnellement, me semblent super bizarres.
Je pars dans un autre délire mais, autre question que je me suis posée, imaginons un autre scénario où les gens entrent 2 par 2 dans la salle, et Shia fait toujours sa "performance" (je suis assez insensible à ce genre d'art d'ailleurs...).
Imaginons que 2 personnes entrent, et l'une viole ou tue l'autre. Shia est le seul à pouvoir intervenir. Vu qu'il est dans sa performance, il restera immobile. Est-ce qu'il serait alors jugé coupable de non assistance ?
Je trouve réellement que dans certaines circonstances, dont celle-ci, l'argument de "c'est de l'art" va vraiment trop loin et en devient ridicule, risible, et dangereux.
Je reviens sur des citations de mon 2ème message, ça a été un peu mal interpété, ou je ne me suis pas assez expliquée, quand j'ai dit que: si dans les conditions de l'expo on a dit aux gens de faire ce qu'ils voulaient, et si l'acteur a donné son consentement, ce n'était pas vraiment un viol.
Je m'explique un petit peu. Je suis tout d'accord que dans 100% des cas, une relation sexuelle sans consentement est un viol, et qu'il n'y a RIEN à imputer à la victime. Mais je trouve que ici la situation vraiment particulière et invite à se poser des questions. Premier point qui a été pas mal soulevé, c'est celui de la sécurité, comment les organisateurs avec des conditions pareilles n'ont pas pu penser à installer une caméra ou un systeme de sécurité ?
Ensuite quand le concept a été validé, j'ai du mal à croire que l'idée que quelqu'un le touche de façon inappropriée n'ait pas été envisagée. Ca parait dingue. Donc je ne comprends pas pourquoi il n'y ait pas eu un des deux cas de figure: ou on fout des caméras, ou l'acteur accepte et s'engage à ce que tout ce qui se passe dans la salle soit au nom de l'art.
Dans ce cas s'il donne son consentement sur l'utilisation que les gens peuvent faire de son art, et donc ici de son corps, est-ce toujours un viol ?
Alors oui il explique dans ses vidéos qu'il a été violé, et donc ça révoque cette hypothèse, mais y a quand même beaucoup de choses qui, personnellement, me semblent super bizarres.
Je pars dans un autre délire mais, autre question que je me suis posée, imaginons un autre scénario où les gens entrent 2 par 2 dans la salle, et Shia fait toujours sa "performance" (je suis assez insensible à ce genre d'art d'ailleurs...).
Imaginons que 2 personnes entrent, et l'une viole ou tue l'autre. Shia est le seul à pouvoir intervenir. Vu qu'il est dans sa performance, il restera immobile. Est-ce qu'il serait alors jugé coupable de non assistance ?
Je trouve réellement que dans certaines circonstances, dont celle-ci, l'argument de "c'est de l'art" va vraiment trop loin et en devient ridicule, risible, et dangereux.