Je n'ai jamais vraiment apprécié les Enfoirés. Les Restos du cœur, oui. Car ce sont des personnes qui font des actions concrètes qui aident véritablement. Pas de paillettes mais de l'humanité et de la solidarité. Les Enfoirés sont très agaçants dans la mesure où cela fait très faux. J'ai du mal à voir quelque chose de spontanée là-dedans. Cela ressemble plutôt à une technique de com' un peu foireuse où ils tentent de passer pour de bons samaritains. Le fait que TF1 soit l'enseigne qui filme tous les spectacle me rend encore plus sceptique.
Alors, quand j'ai vu la chanson, cela m'a énervé. Caricaturer les jeunes, ne pas les écouter, faire la sourde à oreille, mépriser toute une génération en la stigmatisant avec des argument très cons. C'est ridicule, c'est agaçant. Ils n'ont rien compris. Rien du tout.
Depuis que je suis gamine, j'ai bien compris que ma vie serait bien plus difficile que celle de mes parents. Malgré des études. Malgré la persévérance. Nous sommes la génération à qui on a répété que le diplôme est nécessaire mais non promesse à un emploi. J'ai l'impression d'avoir été élevé par les médias dans une peur constante du lendemain. Mais malgré tout, je vois une jeunesse engagée et en mouvement qui ne se laisse pas abattre. C'est trop facile de taper sur les jeunes et cela commence à m'agacer sérieusement. Avec les nouvelles technologies, on est une génération connectée, sensibilisée, bien plus au fait que nos parents par certains aspects. Voir les personnes les plus protégées de la société sur le plan économique et social, taper sur la jeunesse je trouve cela un peu facile. C'est du foutage de gueule.
Alors, quand j'ai vu la chanson, cela m'a énervé. Caricaturer les jeunes, ne pas les écouter, faire la sourde à oreille, mépriser toute une génération en la stigmatisant avec des argument très cons. C'est ridicule, c'est agaçant. Ils n'ont rien compris. Rien du tout.
Depuis que je suis gamine, j'ai bien compris que ma vie serait bien plus difficile que celle de mes parents. Malgré des études. Malgré la persévérance. Nous sommes la génération à qui on a répété que le diplôme est nécessaire mais non promesse à un emploi. J'ai l'impression d'avoir été élevé par les médias dans une peur constante du lendemain. Mais malgré tout, je vois une jeunesse engagée et en mouvement qui ne se laisse pas abattre. C'est trop facile de taper sur les jeunes et cela commence à m'agacer sérieusement. Avec les nouvelles technologies, on est une génération connectée, sensibilisée, bien plus au fait que nos parents par certains aspects. Voir les personnes les plus protégées de la société sur le plan économique et social, taper sur la jeunesse je trouve cela un peu facile. C'est du foutage de gueule.