Mur des Lamentations

[AnonymousUser]

Je sature totalement. Je ne peux pas. Je ne veux pas y aller.

 

[AnonymousUser]

J'ai déprimé toute la journée parce que mon "copain" a été distant (et que accessoirement j'ai l'impression qu'il veut plus de moi) . Pour me changer les idées j'aurai voulu aller à cette fête, sauf que la personne avec qui je devais y aller est partie sans moi. Petite conne.

 

[Melss]

Quel connard. Il inverse les rôles et se place en victime.
J'suis en pleur. Ca fait un an et demi que je me détruis à cause de ce mec.

 

[Dies Irae]

Je crois que je vais fondre en larmes.
Je suis toujours incapable de différencier une aphasie type Broca d'une aphasie transorticale motrice, je ne sais pas comment rééduquer une paralysie laryngée unilatérale, ni expliquer ce qu'est l'exercice du cobra ailé, et je n'ai aucune idée du trajet du nerf récurrent.

Ça fait deux semaines que je passe mes journées à la bibliothèque et j'ai l'impression de remplir ma tête comme on remplit une bouteille percée.

Je ne suis pas venue sur le forum depuis 2 jours, et la première chose que je lis en revenant, c'est un énième débat plein de tensions, et je n'avais vraiment pas besoin de ça...

 

[AnonymousUser]

Je crois que je vais fondre en larmes.
Je suis toujours incapable de différencier une aphasie type Broca d'une aphasie transorticale motrice, je ne sais pas comment rééduquer une paralysie laryngée unilatérale, ni expliquer ce qu'est l'exercice du cobra ailé, et je n'ai aucune idée du trajet du nerf récurrent.

Ça fait deux semaines que je passe mes journées à la bibliothèque et j'ai l'impression de remplir ma tête comme on remplit une bouteille percée.

Je ne suis pas venue sur le forum depuis 2 jours, et la première chose que je lis en revenant, c'est un énième débat plein de tensions, et je n'avais vraiment pas besoin de ça...

L'exercice du cobra ailé ? Si ça peut te rassurer je n'ai absolument jamais entendu ce nom là...
Pour tout le reste, tu as droit à des bisous .

 

[danae-3]

J'ai vu mon père au café en fin d'aprem pour discuter de mon "orientation" l'année prochaine. Ma mère était avec lui depuis une heure quand je suis arrivée.
Pour une fois, on ne s'est pas enguelés, et pourtant ce genre de rendez-vous finit généralement de la même façon.
Mais je viens d'apprendre que mon père ne veut pas me payer un lycée hors contrat recommandé par tant de personnes (par qui j'avais un témoignage "direct" de l'établissement de l'enseignement). Il y a trois ans, il en a payé un à mon frère et qui plus est, aux tarifs plus élevés. Ce n'est même pas jalousie que je dis ça, mais simplement par dépit. Avec ma mère, ils m'ont proposé une solution alternative qui me paraît correcte et certainement plus adaptée à ma situation scolaire, mais au final, je resterai dans le même bahut que je déteste.
Enfin, je suis quand même rassurée qu'on ne se soit pas mis trop sur la gueule. Mais voilà quoi ; tout me renvoie à cette situation de merde, ce schéma à la boucle définitive. J'ai vraiment envie de pleurer, mais je suis trop crevée pour me donner en sanglots (et pourtant ça m'apaiserait).
En rentrant vers 19h30 avec ma mère, j'ai croisé mon voisin über craquant-au-sourire-de-ouf. Et putain, ça fait trois ans qu'on habite là maintenant et je suis pas foutue de me bouger pour aller voir la petite bande de jeunes qui s'est créée. Ca aussi, ça me renvoie encore à une de mes ruminations favorites ; je n'ai aucune vie sociale, je ne change pas, j'ai pas confiance en moi et ça se remarque instantanément, je ne fous rien de mes journées, je n'ai aucun "talent", ma mère et mon beau-père (et les autres...) me considèrent toujours de la même façon, et puis en fait, je me déteste, tiens.

 

[marion##]

Il craint putain. Je n'arrive pas à savoir ce que je veux avec son comportement. Il joue avec moi comme jamais. Je ne suis rien de plus qu'un jouet. Qu'un vieux plan cul. Et encore. Mais merde, c'est lui qui me cherche depuis le début, c'est lui qui est revenu vers moi quand j'ai commencé à faire la morte. Pourquoi il réagit comme ça ? J'en ai marre qu'il se place en victime alors que depuis le début c'est moi qui souffre de cette putain de situation ambigue.
J'ai envie d'avoir la force de couper les ponts, de tout arrêter, de ne plus jamais lui parler, de ne plus jamais lui adresser le moindre petit mot. Mais je n'y arrive pas, ça me bouffe, en attendant je me retrouve à ses pieds.

 

[Youlie.]

Bon, plusieurs aspects à développer pour le coup.

1/ Samedi soir et je suis chez moi
2/ Je devais rester à la maison pour réviser .. Résultat, je suis devant l'ordinateur à geeker.
3/ Je n'arrive pas à me mettre aux révisions, c'est horrible j'ai l'impression que c'est quelque chose qui est hors de moi, putain de bordel de chatte ca doit pas bien être complqué de se poser sur un bureau prendre ses cours et apprendre.
4/ En plus de ça, diffuser Roland Garros à cette période ne m'aide pas vraiment.
5/ J'ai un dossier de 10 pages à rendre avant lundi avec mon groupe, j'ai l'impression qu'on veut me refiler tout le taff. Non mais oh.
6/ J'ai une fiche de lecture à faire sur un bouquin concernant la mémoire. De la psychologie, cimer, j'ai pas choisi de faire de la comm' pour lire des bouquins de psycho, merde quoi.
7/ Ma vie sentimentale est un concept qui n'existe plus chez moi apparement.
8/ Je ne sais toujours pas si je pars cet été, YOUHOU.
9/ Je dois absolument prendre mes places pour les festivals de cet été, mais plus fauchée que moi, tu meurs.
10/ Et bon je crois que je vais m'arrêter là.

Mes plates excuses.

 

[AnonymousUser]

Hier mon train à renverser un jeune de 14 ans sur son vélo J'étais choquée, j'allais pas bien, puis aprés 3h d'attente j'ai pû arriver à Carcassonne et retrouver ma vie normale.
En fait c'est con mais je me sens comme coupable. Coupable d'avoir "survécu" (on a cru que le train allait dérailler), de continuer à vivre ma petite vie alors que des parents sont en train de pleurer la mort de leur fils...

Bref, je sais pas vraiment comment reagir à tout ça. J'ai l'impression que tout ça n'était qu'un cauchemars alors que je l'ai bel et bien vécu...

 

[AnonymousUser]

Je suis chez les parents de ma belle-soeur, j adore,mais on galère pour se sècher et lisser les cheveux : on doit aller dans la chambre de son frère mais il dort encore alors du coup on attend toutes. Leur prise èlectrique de leur salle de bain est cassée... c'est un détail mais qui a son importance.lol

 

[Crush]

Je suis tellement stressée, c'est invivable. Je me force à ne plus penser pour me calmer. J'ai pas envie de retourner en cours demain, je vais encore me prendre des claques, je vais deux fois plus angoisser. Je foire tout. Et le pire c'est que je n'ai plus d'issue.

Des bisous

Je suis fatiguée fatiguée fatiguée...
J'ai dormi jusqu'à midi mais je me sens toujours mal, en 4 jours j'ai pas du dormir plus de 15h et j'ai besoin du double.
Un des écouteurs ne fonctionne plus, et mon pc m'a lâché. J'ai pu récupéré les cours que je voulais sur clé usb et les remettre sur l'ordi de ma mère mais je n'ai même pas 4h pour réviser ça, vu qu'à 18h faut que je retourne sur Reims, sans pc donc...

Je sais même pas pourquoi je m'acharne encore sur mes révision alors que le plus gros des partiels est passé et que je sais déjà que c'est fichu, je suis quasiment certaine de devoir refaire une année. Et ce n'est pas la perspective de retaper qui me fout le plus la trouille, mais c'est de devoir l'annoncer à mon père. Je sais déjà qu'il ne criera pas mais qu'il gardera cette voix étrangement calme qu'il a lorsqu'il est déçu.
J'ai voulu l'appelé hier pour lui dire que certaines épreuves s'étaient plutôt mal passé mais j'arrive pas à le joindre. Ca aussi ça m'inquiète vu qu'il est du genre à m'appeler ou m'envoyer un sms tous les soirs, même lorsque se voit dans la journée.

 

[AnonymousUser]

Dans 23 heures commence le début de mon petit cauchemar personnel. Je ne sais encore comment réagir entre pleurs, crises et dédain, et mon corps stresse de partout. Jusqu'ici, je n'ai jamais abandonné l'idée d'apprendre, les cours, les études, je n'ai donc pas le réflexe de me dire "peu importe". Et pourtant peu importe...
Ma tête s'empêtre de "Et si" et de "Peut-être", m'enjoint de relire toujours un peu et plus, pour la forme et le superficiel. Alors que je ne rêve que d'oubli.
J'en ai assez de ce sale réflexe soi-disant salvateur. Assez de croire au miracle et à ma bonne conscience alors que je ne souhaite plus manifester ma conscience.
M'endormir.