Hier matin ils ont évoqués la possibilité d'augmenter petit à petit les doses de morphine, pour qu'il parte calmement ... Et comme par "miracle" il allait presque mieux l'après-midi, n'était plus encombré, plus creusé mais plus apaisé aussi ... Les infirmières disent qu'il part petit à petit, et je suis finalement plus sereine qu'il puisse le faire "seul".
Je me sens mieux. C'est vraiment terrible à dire, et je trouve ça presque "rapide", mais je crois que j'me suis mangée une mise à jour un peu violente dans la tronche, mais nécessaire.
Je crois que le plus dur désormais, c'est tout ce chagrin que ma mamie commence un peu à lâcher, la voir courber et pleurer sur lui en demandant ce qu'on lui a fait, dire que c'est trop dur, ça c'est vraiment à la limite du soutenable. Mais je sais qu'elle est entourée, qu'elle va y arriver, j'ai confiance, on sera là.
Ce qui est étrange, c'est que la précédente fois qu'il avait été à l'hopital, il y a 3 ans, c'était finalement plus grave, le pronostic vital avait été mis en danger aussi, ça avait duré 3 semaines, mais bizarrement, même si on avait eu peur, ça n'avait rien à voir avec cette fois-ci. Là je crois que tout le monde a senti/su dès le début que c'était fini ... C'est très étrange.
Maintenant, je vais devoir gérer ça, je ne suis absolument pas rodée, si tant est qu'on puisse l'être, mais je n'ai pas peur, j'essaye de beaucoup réfléchir et au final, c'est bien comme ça.
Je me sens mieux. C'est vraiment terrible à dire, et je trouve ça presque "rapide", mais je crois que j'me suis mangée une mise à jour un peu violente dans la tronche, mais nécessaire.
Je crois que le plus dur désormais, c'est tout ce chagrin que ma mamie commence un peu à lâcher, la voir courber et pleurer sur lui en demandant ce qu'on lui a fait, dire que c'est trop dur, ça c'est vraiment à la limite du soutenable. Mais je sais qu'elle est entourée, qu'elle va y arriver, j'ai confiance, on sera là.
Ce qui est étrange, c'est que la précédente fois qu'il avait été à l'hopital, il y a 3 ans, c'était finalement plus grave, le pronostic vital avait été mis en danger aussi, ça avait duré 3 semaines, mais bizarrement, même si on avait eu peur, ça n'avait rien à voir avec cette fois-ci. Là je crois que tout le monde a senti/su dès le début que c'était fini ... C'est très étrange.
Maintenant, je vais devoir gérer ça, je ne suis absolument pas rodée, si tant est qu'on puisse l'être, mais je n'ai pas peur, j'essaye de beaucoup réfléchir et au final, c'est bien comme ça.