Je débarque, pourquoi vous avez cette conversation sur ce sujet dédié au réaction sur le bouquin de la puberté ?
En fait je crois que je situe où se trouve le conflit. Vous défendez l'idée que à 12 ans c'est impossible d'assumer seule de pas s'épiler ou d'avoir les tétons qui pointent sous ton t-shirt. Et pour le coup on est toutes d'accord.@Spill Tu crois pas que cette remise en question doit venir dans un second temps ?
Je ne suis pas certaine qu'a 12 ans on ai la confiance on soi nécessaire pour "affronter" le regard des autres et de la société en affichant des choix personnels "hors norme", alors même qu'on est en plein bouleversement hormonal, qu'on découvre les changements liés à la pubertés etc.
J'ai tendance à penser que pour remettre en question un dogme, un système, il faut dans un premier temps s'y conformer pour le comprendre de l'intérieur, puis le remettre en question si on le sent. C'est tout du moins comme cela que fonctionnent beaucoup d'enseignement, et ça ne marche pas trop mal.
C'est pour cela que ce livret ne me choc pas. On parle de très jeune fille qui n'ont encore qu'une vision très parcellaire du fonctionnement de la société et des rapports humains (et particulièrement H/F). Je pense que leur donner le toolkit basique qui permet de "survivre" sans se faire embêter à travers un livre qui se doit être succinct (car sinon il ne sera pas lu) n'est pas une mauvaise chose. Et quelques années plus tard, pourquoi pas, faire un "tome 2" pour des personnes un peu plus grande qui prend un peu de la distance avec ces normes.
La meilleure façon de ne pas décrédibiliser la lutte contre le racisme, c'est d'éviter de dire aux gens qu'ils voient le racisme là où il n'y en a pas, tout comme on a lu sur ce bouquin "vous voyez du sexisme là où il n'y a que de l'humour". @Nour + Nad a déjà dit tout ce que je voulais dire, je vais juste rajouter ceci :En fait, ça me dérange presque qu'on dise ça, parce que ça me donne l'impression qu'on trouve du racisme là où il n'y en a pas forcément, ce qui décrédibilise la lutte contre le racisme, pourtant présent à bien (trop) de niveaux.
désolé, mais franchement j'en ai un peu rien à faire que ça soit autobiographique ou pas« Il s'agit d'une BD largement AUTOBIOGRAPHIQUE, où je me représente MOI avec mes trois copines d'enfance, à qui j'ai dédié ces BD »
ok, apparemment elle a rien compris sur pourquoi la représentation est importante et pourquoi il est important pour les jeunes filles de se voir représentéespas des concepts commerciaux calibrés pour répondre à des quotas de représentativité inclusive
on vous pardonne, on peut pas toutes êtres parfaites[N]ous sommes toutes hétérosexuelles, désolée.
et paf un cliché de + dans la gueulePourtant j'avais pris soin de laisser volontairement la rousse “sans histoire d'amour” dans les BD, justement car il s'agit avant tout d'une militante passionnée par les combats féministe et écolo,
par contre qu'elles (les filles + les garçons d'ailleurs) soient obsédés par le sexe et la sexualisation du corps des jeunes filles, ça par contre, ça la gêne pas....et que je ne souhaitais pas voir toutes les héroïnes obsédées uniquement par les amourettes adolescentes »,
on trouve une fille passionnée par la littérature, et une autre qui défend les causes féministes et écologiques. « Ça s'appelle la diversité, parce que toutes les filles ne sont pas des clones. »
euh....« incroyablement agressifs, comme à chaque lynchage sur les réseaux sociaux : on appelle au retour de l'autodafé, sans avoir ouvert les bouquins et d'après des extraits hors-sol ».
Lesquels ? (J'ai pas tout lu)et de trucs scientifiquement faux