Wow. J'ai remonté le topic parce que je voulais vous répondre, mais je suis un peu sous le choc du tweet que @Fab a linké sur la réaction d'une perspective zimbabwéenne...
Je vais quand même poser les questions qui me sont venues à l'esprit à vous lire :
où est-ce que l'article dit que c'est ridicule de s'indigner pour le lion ?
où est-ce qu'il dit que cette indignation est illégitime ?
En quoi est-ce que expliquer les facteurs de l'ampleur de l'indignation collective (comme la nationalité et le métier du chasseur) dé-légitimise les indignations individuelles ?
En quoi le végétarisme del'auteur (ou mon véganisme, au passage) nous confèrent une supériorité morale ? (Il me semble que la critique - et non le jugement, il n'y a pas de jugement, uniquement de la critique et des questions - la critique exposée dans l'article repose justement sur des éléments divers, et non pas sur un argument d'autorité déplacé à base de "je suis végé donc je suis supérieure moralement lol" ? )
En quoi est-ce que prendre du recul sur l'ampleur de l'indignation collective dé-légitimise les indignations individuelles ?
En quoi est-ce que prendre du recul sur les facteurs qui ont favorisé l'indignation collective réduisent les impacts potentiels (et vivement souhaités) de cette vague d'émotion ?
En quoi souligner le poids de l'émotion dans cette vague d'indignation est-il condescendant ? (pourquoi considérez-vous que l'émotion serait inférieure à la raison / au jugement critique ?)
En quoi poser ces toutes questions, est-ce condescendant ?
Je ne veux pas parler à la place de Clemmm, mais pour avoir contribué au brainstorm qui a mené à cet article (rédigé et publié 48h après le début de la vague d'indignation sur les réseaux sociaux), je constate que vous lui prêtez des intentions bien éloignées des siennes (et des nôtres) (ce que Fab a d'ailleurs souligné). En tant que rédactrice (qui aurait pu signer cet article, d'ailleurs), je me demande simplement et très sincèrement en quoi faire une analyse critique reviendrait à juger celles et ceux qui sont plutôt dans l'émotion ; c'est vraiment pas un jugement, je suis dans l'émotion sur d'autres sujets qui potentiellement ne vous touchent absolument pas, et je ne vous le reproche pas pour autant, je sais pas, j'ai vraiment du mal à comprendre pourquoi on ne pourrait pas rationaliser ce sujet ?
Je vais quand même poser les questions qui me sont venues à l'esprit à vous lire :
où est-ce que l'article dit que c'est ridicule de s'indigner pour le lion ?
où est-ce qu'il dit que cette indignation est illégitime ?
En quoi est-ce que expliquer les facteurs de l'ampleur de l'indignation collective (comme la nationalité et le métier du chasseur) dé-légitimise les indignations individuelles ?
En quoi le végétarisme del'auteur (ou mon véganisme, au passage) nous confèrent une supériorité morale ? (Il me semble que la critique - et non le jugement, il n'y a pas de jugement, uniquement de la critique et des questions - la critique exposée dans l'article repose justement sur des éléments divers, et non pas sur un argument d'autorité déplacé à base de "je suis végé donc je suis supérieure moralement lol" ? )
En quoi est-ce que prendre du recul sur l'ampleur de l'indignation collective dé-légitimise les indignations individuelles ?
En quoi est-ce que prendre du recul sur les facteurs qui ont favorisé l'indignation collective réduisent les impacts potentiels (et vivement souhaités) de cette vague d'émotion ?
En quoi souligner le poids de l'émotion dans cette vague d'indignation est-il condescendant ? (pourquoi considérez-vous que l'émotion serait inférieure à la raison / au jugement critique ?)
En quoi poser ces toutes questions, est-ce condescendant ?
Je ne veux pas parler à la place de Clemmm, mais pour avoir contribué au brainstorm qui a mené à cet article (rédigé et publié 48h après le début de la vague d'indignation sur les réseaux sociaux), je constate que vous lui prêtez des intentions bien éloignées des siennes (et des nôtres) (ce que Fab a d'ailleurs souligné). En tant que rédactrice (qui aurait pu signer cet article, d'ailleurs), je me demande simplement et très sincèrement en quoi faire une analyse critique reviendrait à juger celles et ceux qui sont plutôt dans l'émotion ; c'est vraiment pas un jugement, je suis dans l'émotion sur d'autres sujets qui potentiellement ne vous touchent absolument pas, et je ne vous le reproche pas pour autant, je sais pas, j'ai vraiment du mal à comprendre pourquoi on ne pourrait pas rationaliser ce sujet ?