J'ai terminé Il faut qu'on parle de Kevin de Lionel Shriver.
Il s'agit d'un roman épistolaire constitué des lettres d'Eva au père de son fils Kevin qui, peu avant son 16e anniversaire, a abattu 9 personnes à son lycée.
Ce long monologue nous confrontent à des thèmes habituellement tabous et tus comme le regret maternel et la psychopathie infantile. Le portrait de la maternité éloigné des clichés s'accompagne d'une critique de la société américaine au vitriol. Politiquement incorrect, dérangeant, le texte nous laisse KO avec de multiples questions et réflexions. C'est une sacrée claque!
Il s'agit d'un roman épistolaire constitué des lettres d'Eva au père de son fils Kevin qui, peu avant son 16e anniversaire, a abattu 9 personnes à son lycée.
Ce long monologue nous confrontent à des thèmes habituellement tabous et tus comme le regret maternel et la psychopathie infantile. Le portrait de la maternité éloigné des clichés s'accompagne d'une critique de la société américaine au vitriol. Politiquement incorrect, dérangeant, le texte nous laisse KO avec de multiples questions et réflexions. C'est une sacrée claque!