@Azelais Tiens c'est drôle que tu parles d'On n'y voit rien : je l'ai retrouvé par hasard au fin fond de ma bibliothèque il y a quelques jours ! On m'en a toujours dit beaucoup de bien mais c'était une lecture "fortement conseillée" et je n'ai pas dû dépasser le premier quart. 
Ton enthousiasme me donne envie de lui redonner une chance.
Sinon je ne me sors pas de Night school. Je ne sais plus si je vous en avais déjà parlé ici. C'est un pavé en anglais que j'ai trouvé dans une boîte à lire. J'étais toute contente de trouver un policier en me disant que ça faciliterait encore plus le passage à l'anglais ... et c'est un échec. Premièrement je ne savais pas qu'il faisait partie d'une série. Enfin ça m'est déjà arrivé plusieurs fois, et quand le livre est bon, ça donne envie de lire les premiers tomes parce que les personnages sont intrigants. Là, ils sont surtout irritants. Deuxièmement, je crois que l'échec n'est pas seulement lié à la langue : j'avais déjà lu un thriller en anglais que j'avais trouvé plutôt mauvais, sans doute car ma compréhension de la langue n'est pas très fluide. Là je n'accroche pas au style, pas aux personnages, je trouve tout vulgaire et trop facile ...
Pour résumer je ne l'ai pas définitivement abandonné parce que j'aimerais bien savoir pourquoi le méchant a fait ce qu'il a fait (et non, pas de surprise, ce personnage non plus n'est pas très intéressant jusqu'ici), mais je m'ennuie terriblement avec ce livre. J'ai hâte de le remettre dans une boîte à lire ! 
En parallèle j'ai entamé Sourires de loup de Zadie Smith. J'aimais bien le titre, pas vraiment la quatrième de couverture, le livre était très peu cher et j'avais dû lire ou entendre le nom de l'auteure quelque part quelques jours plus tôt. Je n'en suis qu'au tout début (c'est un pavé écrit tout petit
) mais étonnamment ça se lit bien. J'ai toujours eu du mal avec les histoires qui se passent plus d'une dizaine d'années avant l'époque de ma lecture, pourtant je sens qu'on va tranquillement naviguer de décennie en décennie sans trop de problème (ça se passe forcément mieux avec des personnages un peu développés 
). Je n'ai pas encore grand chose à dire à son propos.
Ton enthousiasme me donne envie de lui redonner une chance.Sinon je ne me sors pas de Night school. Je ne sais plus si je vous en avais déjà parlé ici. C'est un pavé en anglais que j'ai trouvé dans une boîte à lire. J'étais toute contente de trouver un policier en me disant que ça faciliterait encore plus le passage à l'anglais ... et c'est un échec. Premièrement je ne savais pas qu'il faisait partie d'une série. Enfin ça m'est déjà arrivé plusieurs fois, et quand le livre est bon, ça donne envie de lire les premiers tomes parce que les personnages sont intrigants. Là, ils sont surtout irritants. Deuxièmement, je crois que l'échec n'est pas seulement lié à la langue : j'avais déjà lu un thriller en anglais que j'avais trouvé plutôt mauvais, sans doute car ma compréhension de la langue n'est pas très fluide. Là je n'accroche pas au style, pas aux personnages, je trouve tout vulgaire et trop facile ...
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En parallèle j'ai entamé Sourires de loup de Zadie Smith. J'aimais bien le titre, pas vraiment la quatrième de couverture, le livre était très peu cher et j'avais dû lire ou entendre le nom de l'auteure quelque part quelques jours plus tôt. Je n'en suis qu'au tout début (c'est un pavé écrit tout petit
) mais étonnamment ça se lit bien. J'ai toujours eu du mal avec les histoires qui se passent plus d'une dizaine d'années avant l'époque de ma lecture, pourtant je sens qu'on va tranquillement naviguer de décennie en décennie sans trop de problème (ça se passe forcément mieux avec des personnages un peu développés ). Je n'ai pas encore grand chose à dire à son propos.
Dernière édition :
Sans doute parce que c'est le premier que j'ai lu et que j'ai préféré ce format à celui d'Histoires de Peinture, qui est un peu plus "incarné" et a un style un peu moins incisif (et du coup moins divertissant pour moi). Mais Daniel Arasse avait de toute manière une plume formidable 
(surtout qu'en plus, je déteste tellement un des personnages que j'ai du mal à lire les chapitres qui le concernent... Et en même temps, ça rehausse encore mon admiration pour Robin Hobb : je suis toujours impressionnée par les auteurs qui arrivent à écrire des personnages insupportables tout en créant une certaine empathie pour eux... pas au sens où on les aime quand même, mais on comprend leur logique, leurs buts, et même si on a envie de les 
, ils demeurent aussi intéressants que les autres...)
. Pour le moment, j'aime bien, je suis intriguée.
Il me restera en mémoire, ça c'est certain. 
J'ignorais qu'il y avait un livre à l'origine !
)
