Retour de la panne de lecture en ce moment, j'ai du mal à me concentrer et avancer dans ce que j'ai en cours (Simetierre de Stephen King traîne à côté de mon lit misérablement... pourtant j'ai bien aimé les 100 premières pages...).
J'ai tout de même lu :
Sur les cimes du désespoir de Cioran. Première fois que je lis du Cioran ! Le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est profondément pessimiste et dépressif... Certains passages un peu ardus m'ont sans doute échappés, mais dans l'ensemble j'ai complètement accroché aux réflexions de cet hymne désespéré du jeune Cioran. Dire qu'il a écrit ce premier essai à 22 ou 23 ans... c'est bluffant de maturité et de profondeur ! Très envie de poursuivre avec ce philosophe, notamment par la lecture de De l'inconvénient d'être né, qui semble être son incontournable.
Je suis en vie et tu ne m'entends pas, de Daniel Arsand. L'histoire d'un "triangle rose", un jeune allemand de retour des camps, déporté pour cause d'homosexualité... Son retour auprès de ses proches, la difficile reconstruction après les horreurs vécues, la honte de sa famille... une histoire terrible et extrêmement bien mené par cet auteur que je ne connaissais pas. Le style peu dérouter, c'est dur, âpre, parfois très haché, comme si les mots étaient crachés par le personnage. Ca m'a donné envie de me renseigner davantage sur les triangles roses, qui me semblent encore aujourd'hui être souvent absents de la mémoire de la Shoah.
L'arabe du futur, tome 4, de Riad Sattouf. Enfin j'ai lu ce tome 4 !! Je ne trouve pas grand chose à en dire si ce n'est que c'est brillant
Riad Sattouf n'a pas son pareil pour nous raconter son enfance et son adolescence tout à la fois de manière attendrissante, drôle et dramatique (la fin de ce tome est 
). Le personnage du "beau-grand-père", Charles, me touche énormément, je le trouve génial ! J'ai écouté un paquet d'interviews de Riad Sattouf ces derniers jours, j'adore ce type 
J'ai tout de même lu :
Sur les cimes du désespoir de Cioran. Première fois que je lis du Cioran ! Le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est profondément pessimiste et dépressif... Certains passages un peu ardus m'ont sans doute échappés, mais dans l'ensemble j'ai complètement accroché aux réflexions de cet hymne désespéré du jeune Cioran. Dire qu'il a écrit ce premier essai à 22 ou 23 ans... c'est bluffant de maturité et de profondeur ! Très envie de poursuivre avec ce philosophe, notamment par la lecture de De l'inconvénient d'être né, qui semble être son incontournable.
Je suis en vie et tu ne m'entends pas, de Daniel Arsand. L'histoire d'un "triangle rose", un jeune allemand de retour des camps, déporté pour cause d'homosexualité... Son retour auprès de ses proches, la difficile reconstruction après les horreurs vécues, la honte de sa famille... une histoire terrible et extrêmement bien mené par cet auteur que je ne connaissais pas. Le style peu dérouter, c'est dur, âpre, parfois très haché, comme si les mots étaient crachés par le personnage. Ca m'a donné envie de me renseigner davantage sur les triangles roses, qui me semblent encore aujourd'hui être souvent absents de la mémoire de la Shoah.
L'arabe du futur, tome 4, de Riad Sattouf. Enfin j'ai lu ce tome 4 !! Je ne trouve pas grand chose à en dire si ce n'est que c'est brillant
Riad Sattouf n'a pas son pareil pour nous raconter son enfance et son adolescence tout à la fois de manière attendrissante, drôle et dramatique (la fin de ce tome est ). Le personnage du "beau-grand-père", Charles, me touche énormément, je le trouve génial ! J'ai écouté un paquet d'interviews de Riad Sattouf ces derniers jours, j'adore ce type 
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Allez facteur dépèche-toi!
