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J'ai fini "Cuisine tatar et descendance" d'Alina Bronsky
J'étais à fond dans ma lecture, sur cette grand-mère tyrannique qui contrôle et plie tout son entourage à sa volonté en étant persuadée de faire le bien. Malgré le fait que ça raconte la vie d'une personne toxique le fait que son personnage soit haut en couleur et de la fiction ça gardait un côté amusant jusqu'à ce que ça bascule dans le sordide...
Et là c'était brusquement beaucoup moins amusant comme lecture, je l'avais pas vu venir...
J'étais à fond dans ma lecture, sur cette grand-mère tyrannique qui contrôle et plie tout son entourage à sa volonté en étant persuadée de faire le bien. Malgré le fait que ça raconte la vie d'une personne toxique le fait que son personnage soit haut en couleur et de la fiction ça gardait un côté amusant jusqu'à ce que ça bascule dans le sordide...
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J'ai terminé de lire La horde du contrevent de Alain Damasio
J'ai eu trois phases durant la lecture :
1- C'est quoi cette manière de changer de narrateur avec des signes de ponctuation ? Pourquoi ça commence par 700 ? Ils savent reconnaitre le vent ?
2- Plus ça allait, plus j'ai compris et aimé, plus ça continuait aussi avec les spécifiés et sensibilité des personnages envers le dit vent et autres.
3- C'est allé un peu trop loin pour moi à ce niveau, c'est devenu n'importe quoi oo
En gros, j'ai bien aimé, j'ai pas tout compris, mais je le conseille car c'est un univers que je n'ai jamais vu nulle part, très bien écrit (et l'écriture varie selon le narrateur). Par contre, ça peut être violent et sexiste.
J'ai eu trois phases durant la lecture :
1- C'est quoi cette manière de changer de narrateur avec des signes de ponctuation ? Pourquoi ça commence par 700 ? Ils savent reconnaitre le vent ?
2- Plus ça allait, plus j'ai compris et aimé, plus ça continuait aussi avec les spécifiés et sensibilité des personnages envers le dit vent et autres.
3- C'est allé un peu trop loin pour moi à ce niveau, c'est devenu n'importe quoi oo
En gros, j'ai bien aimé, j'ai pas tout compris, mais je le conseille car c'est un univers que je n'ai jamais vu nulle part, très bien écrit (et l'écriture varie selon le narrateur). Par contre, ça peut être violent et sexiste.
Je me suis lancée dans histoire de l'Allemagne, XIX-XXe siècle, le long chemin vers l'occident. Un pavé de 1200 pages. Je pensais qu'il en faisait la moitié. Malgré la surprise, c'est passionnant et extrêmement dense. De l'histoire bien écrite, contextualisee , bref, tout ce qu'il faut.
J'ai donc fini le vampyre de hohlbein, très manichéen, avec un seul personnage féminin et ce n'est qu'un love interest. J'ai emprunté les deux suivant s à la bibliothèque, mais bof quoi. C'est vraiment à l'ancienne, pourtant la série n'a que vingt ans.
J'ai donc fini le vampyre de hohlbein, très manichéen, avec un seul personnage féminin et ce n'est qu'un love interest. J'ai emprunté les deux suivant s à la bibliothèque, mais bof quoi. C'est vraiment à l'ancienne, pourtant la série n'a que vingt ans.
@Geny j'ai de mon côté beaucoup aimé ce livre. J'ai vraiment très vite accroché à l'univers, et cette narration à plusieurs personnages, bien qu'un peu perturbante au début, j'y ai finalement bien accroché. Pas de problème de compréhension pour ma part, impossible de lâcher le livre pendant les quelques jours qu'a duré ma lecture. Pour le côté violent, oui c'est vrai, cela dépend de ce que tu as l'habitude de lire. À côté de l'assassin royal je trouve ça plutôt soft, mais c'est vrai que c'est pas tout rose non plus. Pour le côté sexiste, je dirai que certains personnages le sont, mais que le roman et l'histoire ne le sont pas. Oui certains perso ont des comportement sexistes, mais ça fait partie du personnage et à côté de ça on a des perso féminins bad ass.
Du même auteur j'ai lu récemment Les furtifs (son dernier roman). Ci-dessous mes impressions, sans vrai spoiler mais si jamais vous voulez le lire sans rien savoir dessus (ce qui était mon cas après avoir lu La horde du contrevent), je cache au cas où.
Pour finir, je suis très contente d'avoir découvert les livres d'Alain Damasio, un auteur français. Il a une façon de jouer avec les mots que je trouve incroyable. Jeux de mots, rimes, allitérations, etc. je trouve que ses romans sont une vraie déclaration d'amour à la langue française. Quitte à rendre la lecture un peu compliquée par moments il est vrai.
Du même auteur j'ai lu récemment Les furtifs (son dernier roman). Ci-dessous mes impressions, sans vrai spoiler mais si jamais vous voulez le lire sans rien savoir dessus (ce qui était mon cas après avoir lu La horde du contrevent), je cache au cas où.
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Dernière édition :
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
Je termine à l'instant un livre d'une autrice du Bénin: Gény, petit ange sorcier du Bénin de Eugénie Dossa-Quenum. Pris complètement au hasard, je n'aurai pas pu tomber mieux. Il s'agit d'une autobiographie axée sur son enfance/adolescence et son parcours du combattant pour accéder à l'instruction (aujourd'hui, la dame est biologiste, ingénieur en biotechnologie, diplômée en Administration et Economie de la santé et chercheuse en sciences politiques et sociale) dans un Bénin contemporain dont elle décrit les us et coutumes, l'éducation des enfants "en groupe", le côtoiement des religions et des croyances vaudoues/sorcières, les langues parlées, les plats...
Dès les premières pages, elle me fut sympathique, et son parcours édifiant jalonné de bâtons dans les roues (les adultes qui maltraitent les enfants, les hommes qui abusent des jeunes filles, etc...) me fait avoir beaucoup de respect pour elle. Eugénie Dossa-Quenum est inspirante.
Une excellente lecture malgré les nombreuses coquilles dans le texte (soit que la maison d'édition, qui n'existe plus, était trop petite pour bénéficier d'une relecture de qualité par un pro, soit qu'elle n'a pas placé assez d'espoir dans cet ouvrage et l'a bâclé...)
Dès les premières pages, elle me fut sympathique, et son parcours édifiant jalonné de bâtons dans les roues (les adultes qui maltraitent les enfants, les hommes qui abusent des jeunes filles, etc...) me fait avoir beaucoup de respect pour elle. Eugénie Dossa-Quenum est inspirante.
Une excellente lecture malgré les nombreuses coquilles dans le texte (soit que la maison d'édition, qui n'existe plus, était trop petite pour bénéficier d'une relecture de qualité par un pro, soit qu'elle n'a pas placé assez d'espoir dans cet ouvrage et l'a bâclé...)
J'ai essayé de lire "Oreo" de Fran Ross, un échec.
Entre tous les mots en yiddish et les très nombreuses références à la culture juive et afro-américaine des années 70 je suis absolument pas rentrée dedans et c'est vite devenu pénible à lire quand il faut à quasi toutes les phrases chercher le mot yiddish dans le glossaire à la fin du livre.
Tous les commentaires (en anglais) sur Goodreads encensent l'humour, les jeux de mots et toutes les références culturelles du livre. Cela me fait penser qu'en dehors de la traduction je suis peut-être pas équipée culturellement pour ce livre...
Le marque page trouvé dans le livre à la page 60 (un peu avant là où j'ai baissé les bras) me fait penser que peut-être la personne qui avait emprunté ce livre avant moi à laisser tomber rapidement aussi.
Je retourne dans quelque chose où j'ai beaucoup plus mes marques : le Japon avec "Le restaurant de l'amour retrouvé" de Ito Ogawa
Entre tous les mots en yiddish et les très nombreuses références à la culture juive et afro-américaine des années 70 je suis absolument pas rentrée dedans et c'est vite devenu pénible à lire quand il faut à quasi toutes les phrases chercher le mot yiddish dans le glossaire à la fin du livre.
Tous les commentaires (en anglais) sur Goodreads encensent l'humour, les jeux de mots et toutes les références culturelles du livre. Cela me fait penser qu'en dehors de la traduction je suis peut-être pas équipée culturellement pour ce livre...
Le marque page trouvé dans le livre à la page 60 (un peu avant là où j'ai baissé les bras) me fait penser que peut-être la personne qui avait emprunté ce livre avant moi à laisser tomber rapidement aussi.
Je retourne dans quelque chose où j'ai beaucoup plus mes marques : le Japon avec "Le restaurant de l'amour retrouvé" de Ito Ogawa
Survivance des lucioles, de Georges Didi-Huberman. 
@Chou_ette je l'ai pas trouvé très violent non plus, je faisais juste prévenir car je sais qu'il y a plus sensible que moi à ce niveau. Pour le sexisme, je ne pense pas que ce doit juste certains personnages.
Sinon je suis très contente de cette lecture aussi.
Sinon je suis très contente de cette lecture aussi.
Je comprends !Je pense qu'il ne faut pas s'attendre à les appliquer tout de suite, au quotidien. Je crois d'ailleurs que l'auteur évoque que c'est justement un long cheminement. En fait, il faut tendre vers. Par exemple, je l'ai lu il y a déjà une paire d'années, je n'arrive vraiment à appliquer que le 4e (Faites toujours de votre mieux).
Bon après, personnellement j'ai toujours besoin de défendre ce bouquin (c'est un truc sur lequel il faut que je travaille je pense) : il faut dire qu'il m'a grandement aidé à sortir d'une phase dépressive.
Les 4 accords ont été affichés au travail (oui, oui ! ) et je continue de les regarder de temps en temps pour piqûre de rappel. Mais en ce moment, c'est très dur d'avoir une parole impeccable. Il suffit d'une personne...
@Geny Hello, merci pour ta réponse. Est-ce que tu peux me dire pourquoi tu trouves le livre sexiste si ça t'embête pas? ça m'a complètement échappé et ton avis m'intéresse. Merci 
@Dame Verveine merci pour ton retour, ce sont des choses qui m’avaient complètement échappées. Il me reste encore du chemin ! 
