@namaeganai Jacques Le Goff
ça me fait penser que j'ai Histoire du Corps au Moyen-Age du même auteur qui attend sagement dans ma PàL. Hâte aussi d'avoir ton avis sur L'heure des sorcières d'Anne Rice, car il attend lui-aussi sur mes étagères.
J'ai presque terminé La guerre n'a pas un visage de femme de Svetlana Alexievitch. Il s'agit d'un recueil de témoignages d'anciennes soldates qui ont servi dans l'armée soviétique pendant la Seconde Guerre Mondiale. C'est très touchant, poignant même. Beaucoup de femmes se sont engagées très jeunes, alors qu'elles étaient encore adolescentes sans vraiment se rendre compte des difficultés qui les attendaient. Outre les remarques des hommes qui apprécient peu de voir des femmes les rejoindre, elles sont mal équipées : l'armée ne prévoit pas d'uniforme à leur taille ou du linge pour leur période de règle, et elles doivent faire face à la violence extrême de la guerre. Certains détails sont même un peu gore. Les femmes interviewées ont toute fait preuve d'un courage incroyable. Certes elles étaient embrigadées par la propagande soviétique, mais c'est assez fou de constater qu'elles n'ont pas flanché et se sont battues jusqu'au bout. Il me reste une centaine de pages à lire. Je vais essayer de finir ce soir.
ça me fait penser que j'ai Histoire du Corps au Moyen-Age du même auteur qui attend sagement dans ma PàL. Hâte aussi d'avoir ton avis sur L'heure des sorcières d'Anne Rice, car il attend lui-aussi sur mes étagères.J'ai presque terminé La guerre n'a pas un visage de femme de Svetlana Alexievitch. Il s'agit d'un recueil de témoignages d'anciennes soldates qui ont servi dans l'armée soviétique pendant la Seconde Guerre Mondiale. C'est très touchant, poignant même. Beaucoup de femmes se sont engagées très jeunes, alors qu'elles étaient encore adolescentes sans vraiment se rendre compte des difficultés qui les attendaient. Outre les remarques des hommes qui apprécient peu de voir des femmes les rejoindre, elles sont mal équipées : l'armée ne prévoit pas d'uniforme à leur taille ou du linge pour leur période de règle, et elles doivent faire face à la violence extrême de la guerre. Certains détails sont même un peu gore. Les femmes interviewées ont toute fait preuve d'un courage incroyable. Certes elles étaient embrigadées par la propagande soviétique, mais c'est assez fou de constater qu'elles n'ont pas flanché et se sont battues jusqu'au bout. Il me reste une centaine de pages à lire. Je vais essayer de finir ce soir.
Dernière édition :
Je dois finir The Shadow Sister de Lucinda Riley d'ici vendredi, mais il ne me reste que 250 pages et j'ai envie de les savourer 

c'est un livre de la médiathèque donc je m'en remettrai
néanmoins j'espère le relire un jour, en dehors de la pression des partiels il est peut-être mieux!
Je veux bien qu'on réécrive des contes en version adulte, mais on est pas obligé de partir direct dans le gore et le sexe ultra-violent.
Après une petite dizaine ça devient effectivement vraiment très très chelou et plus porno qu'autre chose