nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
J'ai terminé Les filles du Nightingale.
Les moins:
- Ca a été traduit avec les pieds (je précise que mon édition est québecoise donc je comprends certaines tournures "il closit le fermoir". Par contre certaines constructions de phrases relèvent au mieux d'une langue très pauvre, au pire de véritables fautes. Par exemple les tournures types "le moment où", "l'histoire dont elle..." et vous remplacez "où" et "dont" par "que": c'est moche, beurk!)
- On démarre d'emblée avec TW viol qui se poursuit en filigrane sur tout le livre. En soi c'est pas un défaut mais je suis sensible à ça.
Les plus:
- L'autrice a su trouver les mots pour parler de viol (je précise que ça tombe pas comme un cheveu sur la soupe comme dans 80% des romans où c'est glissé vite fait parce que ça fait juste bien d'en rajouter une couche sur la vie misérable de l'héroine. Ici c'est motivé). C'est le genre de détail qui me fait refermer un livre d'habitude, mais là j'ai pu encaisser.
- Le contexte de la formation infirmière dans les années 1930 m'attirait beaucoup, mais au final on ne rentre pas vraiment dans le détail, on a un petit aperçu de la routine et c'est tout, l'intérêt étant axé sur la vie privée de quelques étudiantes en prise avec leurs émois de jeunes filles entourées de beaux mâles. Je caricature. J'aurais dû être déçue, mais en fait ça fonctionne: c'est loin d'être un roman "médical" ennuyeux, ce n'est pas non plus un roman niais à l'eau de rose, il y a un équilibre.
- je sais pas si je suis en mode romance, mais justement les scènes de baisers romantiques sont vachement bien réussies je trouve.
C'est le 1er tome d'une longue série. Pas sure que je lise les autres (parce que je pense que les hésitations sur "qui vais-je marier après avoir fini ma formation?" vont me courir sur le haricot) mais si je le fais je prendrai la VO en anglais.
Les moins:
- Ca a été traduit avec les pieds (je précise que mon édition est québecoise donc je comprends certaines tournures "il closit le fermoir". Par contre certaines constructions de phrases relèvent au mieux d'une langue très pauvre, au pire de véritables fautes. Par exemple les tournures types "le moment où", "l'histoire dont elle..." et vous remplacez "où" et "dont" par "que": c'est moche, beurk!)
- On démarre d'emblée avec TW viol qui se poursuit en filigrane sur tout le livre. En soi c'est pas un défaut mais je suis sensible à ça.
Les plus:
- L'autrice a su trouver les mots pour parler de viol (je précise que ça tombe pas comme un cheveu sur la soupe comme dans 80% des romans où c'est glissé vite fait parce que ça fait juste bien d'en rajouter une couche sur la vie misérable de l'héroine. Ici c'est motivé). C'est le genre de détail qui me fait refermer un livre d'habitude, mais là j'ai pu encaisser.
- Le contexte de la formation infirmière dans les années 1930 m'attirait beaucoup, mais au final on ne rentre pas vraiment dans le détail, on a un petit aperçu de la routine et c'est tout, l'intérêt étant axé sur la vie privée de quelques étudiantes en prise avec leurs émois de jeunes filles entourées de beaux mâles. Je caricature. J'aurais dû être déçue, mais en fait ça fonctionne: c'est loin d'être un roman "médical" ennuyeux, ce n'est pas non plus un roman niais à l'eau de rose, il y a un équilibre.
- je sais pas si je suis en mode romance, mais justement les scènes de baisers romantiques sont vachement bien réussies je trouve.
C'est le 1er tome d'une longue série. Pas sure que je lise les autres (parce que je pense que les hésitations sur "qui vais-je marier après avoir fini ma formation?" vont me courir sur le haricot) mais si je le fais je prendrai la VO en anglais.