@La Dame Grise Je te pardonne, tu as des circonstances atténuantes

(mais quand-même: il faut lire
Le Comte de Monte-Cristo, dans un livre qui ne tombe pas en miettes si possible
Super @nezentrompette ! Du coup je reviens à la charge avec La chute
Je note, je note

(qu'est-ce que c'est génial d'avoir une aussi chouette communauté de lecteurs/lectrices avec plein d'échanges

Mon moment niais du jeudi matin

)
Hier aprèm, mon fils a décrété qu'il voulait aller jouer au centre de loisir. Je me suis retrouvé toute désoeuvrée alors j'en ai profité pour lire.
D'abord je me suis fait un kiff en lisant
Qui veut la peau de Maori Cannell? de Marie-Aude Murail, qui fait partie d'une série jeunesse que j'avais découverte au collège (et j'avoue que le héros, un trentenaire étruscologue qui résout des énigmes, me plaisait bien malgré la différence d'âge). A l'époque il n'y avait que 4 volumes de sortis et j'ai découvert récemment que M-A Murail avait enrichi la collection. 25 ans après, l'écart d'âge a sacrément diminué mais je suis toujours aussi fan. Ma madeleine de Proust (maintenant j'ai envie de relire
L'assassin est au collège en mangeant des maltesers comme à l'époque)
Et puis j'ai enchaîné sur une non-fiction
Dead Mountain: the untold true story of the dyatlov pass incident de Donnie Eichar. Il s'agit d'une investigation pour savoir ce qui s'est passé en 1959, lors d'une randonnée en haute montagne où le corps de 9 jeunes randonneurs expérimentés ont été retrouvés à divers endroits, comme s'ils avaient fui leur tente, sans chaussures, certains morts de froid, d'autres morts de manière plus étranges, portant des signes de radioactivité et bien sûr sans témoin. Le mystère reste entier jusqu'à ce jour et Donnie Eichar tente de reconstituer les événements. N'ayant aucune affinité avec la montagne et la randonnée, et n'ayant jamais entenndu parler de cet incident aupravant, c'est clairement le titre vendeur qui est venu titiller ma curiosité malsaine. Ceci dit, l'investigation est bien menée, des photos émaillent le texte, on se prend d'affection pour ces randonneurs autant que l'auteur lui-même. A voir si la poursuite de ma lecture me conforte dans ce ressenti.