bon ben j'ai repris du retard de lecture.
j'ai fini le tome 15 de pandora hearts. c'était bien, mais je trouve que ca s'essouffle, même si ca reste relativement épique. on commence à comprendre qui sont les véritables antagonistes.
défense de cracher, de pierre darmon. un livre d'histoire médicale et de politiques de santé publique à la belle époque. parfait pour angoisser.
dior, par amour des fleurs. un beau livre qui parle de l'amour de christian dior et de sa maison pour les fleurs, de comment ce fut transmis dans sa vie personnelle, son jardin, ses robes, ses parfums. c'est un des rares bouquins sur l'artiste qui parle aussi en profondeur de sa soeur résistante. le parfum miss dior, c'était pour elle. il y a une partie greenwashing aussi, qui explique à quel point la maison s'investir dans la durabilité. j'y crois moyen, perso, mais bien essayé.
people of abandonned character, de clare whitfield. pas mal, mais très prévisible, pourtant, c'est d'un genre que je lis rarement. ca se passe à londres pendant les attaques de jack l'éventreur. une femme se marie un médecin plus jeune qui s'avère violent. elle pense que c'est lui l'éventreur dont tout le monde parle.
la parfaitement dispensable bd pretty deadly 1 de klly sue deconnick. je n'ai pas aimé le dessin, ni l'histoire. trop violent pour moi.
je lis toujours en ce moment
la tempête des échos. je ne suis toujours pas arrivée au moment ou c'est sensé partir en sucette.
possession point de léa silhol. j'en suis au tout ébut depuis une semaine. j'ai trop lu de cette autrice cet été, même si c'est vachement sympa.
a history of the wife, de marilyn yalom. un essai passionnant sur ce que cela signifiait d'être une épouse au travere des âges. c'est très tourné anglo-saxon, en revanche.
city of readful delight de judith r walkowitz. encore une histoire de jack l'éventreur, cette fois sous forme d'essai, mettant en avant les conditions de vie des femmes de la classe laborieuse et les premiers mouvements féministes anglais.
j'ai fini le tome 15 de pandora hearts. c'était bien, mais je trouve que ca s'essouffle, même si ca reste relativement épique. on commence à comprendre qui sont les véritables antagonistes.
défense de cracher, de pierre darmon. un livre d'histoire médicale et de politiques de santé publique à la belle époque. parfait pour angoisser.
dior, par amour des fleurs. un beau livre qui parle de l'amour de christian dior et de sa maison pour les fleurs, de comment ce fut transmis dans sa vie personnelle, son jardin, ses robes, ses parfums. c'est un des rares bouquins sur l'artiste qui parle aussi en profondeur de sa soeur résistante. le parfum miss dior, c'était pour elle. il y a une partie greenwashing aussi, qui explique à quel point la maison s'investir dans la durabilité. j'y crois moyen, perso, mais bien essayé.
people of abandonned character, de clare whitfield. pas mal, mais très prévisible, pourtant, c'est d'un genre que je lis rarement. ca se passe à londres pendant les attaques de jack l'éventreur. une femme se marie un médecin plus jeune qui s'avère violent. elle pense que c'est lui l'éventreur dont tout le monde parle.
la parfaitement dispensable bd pretty deadly 1 de klly sue deconnick. je n'ai pas aimé le dessin, ni l'histoire. trop violent pour moi.
je lis toujours en ce moment
la tempête des échos. je ne suis toujours pas arrivée au moment ou c'est sensé partir en sucette.
possession point de léa silhol. j'en suis au tout ébut depuis une semaine. j'ai trop lu de cette autrice cet été, même si c'est vachement sympa.
a history of the wife, de marilyn yalom. un essai passionnant sur ce que cela signifiait d'être une épouse au travere des âges. c'est très tourné anglo-saxon, en revanche.
city of readful delight de judith r walkowitz. encore une histoire de jack l'éventreur, cette fois sous forme d'essai, mettant en avant les conditions de vie des femmes de la classe laborieuse et les premiers mouvements féministes anglais.