J'ai fini Biographie de la faim d'Amelie Nothomb en audiobook. Roman autobiographique. C’était sympa, il faut avoir déjà lu plusieurs de ses autres livres autobiographiques je pense pour l'apprécier, car elle survole pas mal d'événements développés dans ceux ci. Le fil rouge de la "faim" est un peu bancal à mon avis, mais ça reste une lecture sympathique (et assez violente par moments, surtout un...)
Fini aussi Au bonheur des ogres. Gros mouais. J'avais vu que 2 de mes amis avaient mis 5 étoiles à ce livre sur Goodreads, donc je m'attendais à quelque chose de vraiment génial et drôle. En gros, on y suit l'histoire d'un type qui bosse dans un magasin et qui a pour métier "bouc émissaire". Si des clients se plaignent, le directeur le pourrit devant eux jusqu’à ce qu'ils culpabilisent suffisamment pour laisser tomber leurs plaintes. Et puis plusieurs bombes sautent au magasin et les flics suspectent le héros toujours présent.
Alors le concept était drôle, certains passages m'ont fait sourire, mais j'ai trouvé que ça retombait assez vite. Le coté enquête avec le poseur de bombe a pas réussi à me captiver et surtout j'ai trouvé que le roman était extrêmement bordélique. Le style très oral ne me dérange pas généralement, mais là ça part dans tous les sens, y a plein de passages que j'ai du relire plusieurs fois (et que parfois je ne suis toujours pas sure d'avoir capté).
Là en audiobook j'ai entamé Des hommes sans femmes de Murakami. Bon j'aime Murakami d'amour, donc ça me plaît, mais clairement c'est loin d’être un de ses meilleurs livres. On y suit plusieurs histoires autour des femmes qui quittent/vont quitter des hommes. Comme d'habitude c'est très mélancolique, mais pour l'instant 0 élément surnaturel ce qui me manque un peu. Ca parle beaucoup plus de choses intimes, de solitude etc.
Et en ebook, je lis le Sang de la cité tome 1. Je l'ai vu énormément passer sur insta cette année, avec beaucoup de retours positifs. C'est de la fantasy avec une ambiance méditerranéenne je dirais. Résumé :
Enfermée derrière deux murailles immenses, la Cité est une mégalopole surpeuplée, constituée de multiples duchés. Commis d’épicerie sur le port, Nox est lié depuis son enfance à la maison de la Caouane, la tortue de mer. Il partage son temps entre livraisons de vins prestigieux et sessions de poésie avec ses amis. Suite à un coup d’éclat, il hérite d’un livre de poésie qui raconte l’origine de la Cité. Très vite, Nox se rend compte que le texte fait écho à sa propre histoire. Malgré lui, il se retrouve emporté dans des enjeux politiques qui le dépassent, et confronté à la part sombre de sa ville, une cité-miroir peuplée de monstres.
J'en suis au tiers et c'est le genre de livre très "ambiance" avec un rythme lent qui prend le temps de poser son décor et ses personnages. Pour l'instant j'aime beaucoup.