Je suis toujours dans Orgueil et Préjugés, j'avance bien et je trouve ça très simple et agréable à lire ce qui m'étonne plutôt. Les chapitres sont courts et y a beaucoup de dialogues donc on est presque sur une pièce de théâtre, ça tranche avec Tolkien que j'avais lu auparavant.
Ce qui est très rigolo aussi c'est que c'est le livre que je lis actuellement au travail (genre quand j'ai de la chance j'arrive à avancer d'un chapitre quand mes permanences sont tranquilles) et j'ai des retours dithyrambiques. Mes collègues veulent l'emprunter après moi au CDI et mes élèves trouvent ça trop cool et sont vachement impressioné·es que je lise de la littérature classique (en même temps moi aussi
)
Autre chose étonnante. Les interactions entre les personnages trouvent un écho dans mon travail. On a un élève qui est en crush sur une autre et lui fait savoir de manière insistante et mièvre et le premier truc que ça m'a évoqué c'est Lizzie éconduisant Mr. Collins qui se persuade que ce n'est qu'une preuve supplémentaire de son intérêt et de sa timidité. (lol)
Ce qui est très rigolo aussi c'est que c'est le livre que je lis actuellement au travail (genre quand j'ai de la chance j'arrive à avancer d'un chapitre quand mes permanences sont tranquilles) et j'ai des retours dithyrambiques. Mes collègues veulent l'emprunter après moi au CDI et mes élèves trouvent ça trop cool et sont vachement impressioné·es que je lise de la littérature classique (en même temps moi aussi
)Autre chose étonnante. Les interactions entre les personnages trouvent un écho dans mon travail. On a un élève qui est en crush sur une autre et lui fait savoir de manière insistante et mièvre et le premier truc que ça m'a évoqué c'est Lizzie éconduisant Mr. Collins qui se persuade que ce n'est qu'une preuve supplémentaire de son intérêt et de sa timidité. (lol)

j'ai lu la saga entière, j'avoue avoir apprécié le 2 mais le 3 je l'ai trouvé de trop 
Donc c'est un peu bizarre de dire que j'ai beaucoup aimé, mais c'est le cas ! Le récit se passe dans une ville non identifiée (on comprend que c'est en Irlande du Nord) dans les années 70 ou 80, en plein milieu des "Troubles". Il s'agit d'une sorte de descente dans les névroses non pas juste de l'adolescente qui est la narratrice, mais de toute la société autour d'elle. Le fonctionnement social et individuel relève de l'absurde et de la folie. On retrouve un humour qui rappelle celui de Beckett ou de Flann O'Brien. Je connais un peu Belfast, j'y ai séjourné plusieurs fois, je connais pas mal de gens, j'ai passé du temps à apprendre des choses sur l'Irlande du nord, donc je connais assez bien le contexte culturel, et je pense que ça a participé au fait que j'y reconnaissais quelque chose de l'absurdité que j'y avais vue / ressentie, ou dont j'avais été témoin.