Je reviens avec un petit topo de mes lectures de vacances.
J'ai enfin lu le tome 2 de Culottées de Pénélope Bagieu.
Elle dresse le portrait de 15 femmes hors du commun auxquelles ce tome tente de donner la renommée qu'elles méritent!
Sur le plan graphique, les doubles pages intercalées entre chaque destin sont magnifiques.
Bref, comme pour le 1er, le fond est tellement riche que la forme est frustrante tant le livre donne envie d'approfondir nos connaissances !
Puis j'ai lu Sanditon de Jane Austen, son dernier roman inachevé que Hauteville publie avec la fin développée par Shapiro.
Au début du XIXe siècle, Charlotte Heywood visite la station balnéaire anglaise de Sanditon, petit havre de paix en apparence dont elle découvre les manigances et les secrets.
Une petite histoire plaisante au style et à l'atmosphère remplis d'un charme désuet.
L'héroïne s'inscrit dans la lignée des figures austeniennes ; fine, vive, curieuse, perfectible.
Mais la structure du texte est déséquilibrée avec les 2 premiers tiers assez anecdotiques et une fin un peu trop riche et précipitée.
Et puis j'ai lu King kong théorie!
Le texte tient plus du pamphlet que de l'essai, avec le ton rageux caractéristique de Virginie Despentes...
On adhère... ou pas... ou pas totalement.
Mais à l'heure de la récupération opportuniste des problématiques féministes, V.Despentes, pas consensuelle mais authentique, détonne par sa franchise crue.
Un bon coup de pied dans la fourmilière sur la place des femmes, le viol, la prostitution... Qu'on soit d'accord ou pas sur le fond et/ou la forme; ça reste percutant, bouleversant et destabilisant !
J'ai enfin lu le tome 2 de Culottées de Pénélope Bagieu.
Elle dresse le portrait de 15 femmes hors du commun auxquelles ce tome tente de donner la renommée qu'elles méritent!
Sur le plan graphique, les doubles pages intercalées entre chaque destin sont magnifiques.
Bref, comme pour le 1er, le fond est tellement riche que la forme est frustrante tant le livre donne envie d'approfondir nos connaissances !
Puis j'ai lu Sanditon de Jane Austen, son dernier roman inachevé que Hauteville publie avec la fin développée par Shapiro.
Au début du XIXe siècle, Charlotte Heywood visite la station balnéaire anglaise de Sanditon, petit havre de paix en apparence dont elle découvre les manigances et les secrets.
Une petite histoire plaisante au style et à l'atmosphère remplis d'un charme désuet.
L'héroïne s'inscrit dans la lignée des figures austeniennes ; fine, vive, curieuse, perfectible.
Mais la structure du texte est déséquilibrée avec les 2 premiers tiers assez anecdotiques et une fin un peu trop riche et précipitée.
Et puis j'ai lu King kong théorie!
Le texte tient plus du pamphlet que de l'essai, avec le ton rageux caractéristique de Virginie Despentes...
On adhère... ou pas... ou pas totalement.
Mais à l'heure de la récupération opportuniste des problématiques féministes, V.Despentes, pas consensuelle mais authentique, détonne par sa franchise crue.
Un bon coup de pied dans la fourmilière sur la place des femmes, le viol, la prostitution... Qu'on soit d'accord ou pas sur le fond et/ou la forme; ça reste percutant, bouleversant et destabilisant !
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