@namaeganai ouf me voilà rassurée. J'avais beaucoup aimé le tome 1 mais la suite ne m'a pas du tout transcendée.
Merci @Sherynou ! J'avance dans le lien maléfique et j'aime bcp aussi. A vrai dire, c'est un livre que j'ai acheté quand j'étais ado dans la lignée de sa saga sur les vampires et j'ai retrouvé le marque-pages à la page 100 et quelques, manifestement cela ne m'avait pas emballé ! 15 ans après, j'apprécie bcp cette lecture. Et mon mari qui l'a lu il y a très lgtps aussi en garde un très bon souvenir (il est quand même capable de me ressortir le nom d'un personnage alors que sa lecture date d'il y a plus de 10 ans, alors que moi 5 min après j'ai déjà oublié
Merci @Sherynou ! J'avance dans le lien maléfique et j'aime bcp aussi. A vrai dire, c'est un livre que j'ai acheté quand j'étais ado dans la lignée de sa saga sur les vampires et j'ai retrouvé le marque-pages à la page 100 et quelques, manifestement cela ne m'avait pas emballé ! 15 ans après, j'apprécie bcp cette lecture. Et mon mari qui l'a lu il y a très lgtps aussi en garde un très bon souvenir (il est quand même capable de me ressortir le nom d'un personnage alors que sa lecture date d'il y a plus de 10 ans, alors que moi 5 min après j'ai déjà oublié
j'ai lu la saga entière, j'avoue avoir apprécié le 2 mais le 3 je l'ai trouvé de trop 
Donc c'est un peu bizarre de dire que j'ai beaucoup aimé, mais c'est le cas ! Le récit se passe dans une ville non identifiée (on comprend que c'est en Irlande du Nord) dans les années 70 ou 80, en plein milieu des "Troubles". Il s'agit d'une sorte de descente dans les névroses non pas juste de l'adolescente qui est la narratrice, mais de toute la société autour d'elle. Le fonctionnement social et individuel relève de l'absurde et de la folie. On retrouve un humour qui rappelle celui de Beckett ou de Flann O'Brien. Je connais un peu Belfast, j'y ai séjourné plusieurs fois, je connais pas mal de gens, j'ai passé du temps à apprendre des choses sur l'Irlande du nord, donc je connais assez bien le contexte culturel, et je pense que ça a participé au fait que j'y reconnaissais quelque chose de l'absurdité que j'y avais vue / ressentie, ou dont j'avais été témoin.
Pour le défi lecture de cette année, j'ai donc dû lire un roman par une autrice japonaise, j'avais choisi Le jardin arc-en-ciel de Ito Ogawa parce que je le vois recommandé depuis plusieurs années dans des listes de romances lesbiennes, de bouquins "cosy" et mignons... Et bah j'ai détesté. 
il fallait s'arrêter là en fait.