J'ai fini "Les Sept Maris d'Evelyn Hugo" récemment : j'ai adoré. Ça se lit tout seul, l'ambiance est très agréable, j'ai découvert Hollywood des années passées. Je ne vais pas spoiler, mais ça se lit comme du petit beurre.
Et là, j'ai commencé 'Le soldat oublié' de Guy Sajer, et pffiou, j'ai du mal à avancer. C'est l'histoire du front de l'Est de la seconde guerre mondiale depuis le point de vue allemand. D'un côté, j'apprends beaucoup de chose sur le quotidien de la guerre à l'époque (et du point de vue des "perdants"), d'un autre côté, le livre est un peu trop descriptif pour être une lecture fluide à mon goût. Mais bon, je m'accroche, et j'espère bien en venir à bout avant fin septembre (objectif d'un livre par mois !).
Et là, j'ai commencé 'Le soldat oublié' de Guy Sajer, et pffiou, j'ai du mal à avancer. C'est l'histoire du front de l'Est de la seconde guerre mondiale depuis le point de vue allemand. D'un côté, j'apprends beaucoup de chose sur le quotidien de la guerre à l'époque (et du point de vue des "perdants"), d'un autre côté, le livre est un peu trop descriptif pour être une lecture fluide à mon goût. Mais bon, je m'accroche, et j'espère bien en venir à bout avant fin septembre (objectif d'un livre par mois !).

Oui le personnage principal a eu une enfance et une adolescence horribles, et ? C'est pas comme si ce genre de situation n'existait pas... et (pour l'instant en tout cas), il n'y a aucune scène insoutenable ni particulièrement détaillée dans l'horreur.
Enfin, ça a eu le bénéfice de me faire réfléchir sur pourquoi certains auteurs cartonnent alors qu'ils n'ont objectivement pas plus de talent que d'autres, et qui décide que certaines œuvres valent le coup et pourquoi... Ce sont des réflexions passionnantes, mais je n'ai toujours pas trouvé de réponses 
